Le dernier Homonculus. [Fullmetal Alchemist: Brotherhood]

Chapitre 1: Retour à Central.

Lentement la locomotive arriva en gare, accompagné d'un épais nuage de fumée le crissement des freins se tut. Le vacarme ambiant reprit peu à peu le dessus sur celui du train. Des portes de chaque wagon sortirent un à un les passagers engourdis tenant fermement leurs bagages à main.

Une silhouette s'extirpa du lot de voyageur, ses cheveux blonds remontés en une queue de cheval balayaient de temps à autre ses épaules au rythme de ses pas. Il n'était pas spécialement grand se qui lui facilitait la tâche pour s'extraire de la foule. La mine crispé, il se frotta l'épaule de sa main libre, l'autre tenant fermement sa petite valise.

- Quel confort, ironisa Edward en tentant de s'étirer. 

Il poursuivit sa marche agilement afin de quitter la gare au plus vite, son cota d'heures de voyage était amplement rempli et il n'attendait que ça de pouvoir quitter les chemins de fer. 

Enfin sortit de cet établissement qu'il maudissait intérieurement, l'Elric emplit ses poumons d'une énorme bouffé d'air frais. Central lui avait manqué, il fallait l'avouer et fouler à nouveau les rues pavées de cette ville, sous ce soleil radieux d'octobre, était clairement agréable. 

La dernière fois qu'il était venu à la capitale était lors de cette fameuse journée,  où enfin Alphonse et lui avaient pu retrouver leurs corps. Depuis lors, ils s'étaient reposés à Resembool pour, par la suite, voyager chacun de leur coté afin d'étudier l'alchimie.

- Il faudrait que j'appelle Al, songea l'ainé. 

Alphonse était encore au royaume de Xing à la conquête de l'élixirologie auprès de May, accompagné de Zampano et Jerso, qui tout deux cherchaient à retrouver leurs corps originels. Il était vrai que l'aventure des deux frères avait eut un impact important sur la vie de plusieurs personnes, comme sur celles de ces chimères à présent résolues à avancer vers l'avenir et à retrouver leurs corps originels, comme l'avaient fait les deux frères il y a deux ans et demi de cela. 

Le blond ne mit pas longtemps à trouver une cabine téléphonique, dans laquelle il s'engouffra aussitôt. Posant son sac au sol, il sortit de sa poche de manteau quelques pièces en argent qu'il glissa dans le combiné avant de saisir le numéro du palais de l'Est puis attendit qu'on lui réponde. Sans trop tarder, une petite voix prit la place des bips sonores, May. 

- Allo May ! Comment vas-tu ? [...] Je vais bien merci, Al est avec toi ? [...] Oui s'il te plait, je voudrais prendre de ses nouvelles. [...] Oui oui j'attends merci. [...] Allo ? Alphonse c'est bien toi ? [...] Haha ! Content de t'entendre, comment tu vas frérot ? [...] Moi aussi. Alors, raconte moi comment ça se passe à Xing ? [...] Vraiment ?! Il va falloir que tu m'apprennes tout ça en rentrant ! [...] Raah, j'aurais dût venir avec toi, l'élixirologie à l'air tellement intéressante ! [...] Oh bah tu sais de retour à Central, il n'y avait rien d'intriguant à Creta. [...] Je pense aller voir la famille Hugues et aussi notre bon vieux borgne de colonel. [...] Ha.Ha. Très drôle Alphonse. [...] Très bien, d'accord. [...] Oui je te laisse, à plus frérot.

La conversation ayant prit fin, il replaça le cellulaire sur son socle et laissa échapper un soupir. Son cadet avait vraiment l'air de s'amuser ainsi que de découvrir une multitude de choses attrayantes et enrichissantes. Pendant que lui croupissait depuis plusieurs semaines voire plusieurs mois dans la région de Creta à rechercher de la documentation inexistante dans les bibliothèques délabrées de l'Ouest. 

Il sortit de la boite métallique, l'air boudeur et reprit son chemin cette fois-ci en direction de l'appartement des Hugues.

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Bonsoir, bonsoir ! 

Avant toute chose, j'ai envie de m'en vanter et excusez-moi par ailleurs, mais aujourd'hui le 25 juillet 2018, je suis M.A.J.E.U.R.E !!!!!! 

Donc voilà pour la parenthèse. Ensuite je m'excuse encore et aussi pour le temps que je prends à publier les chapitres (comme les 37 quarts des wattpadien(ne)s héhé..). J'espère que cette réécriture apporte ses fruits et que vous préférez ce format là, c'est-à-dire ; chapitres plus courts, détails des évènements plus approfondis et intérêt plus engagé envers les scènes même avec peu d'importance pour le scénario. 

Vis-à-vis des petits chapitres, je pense les raccourcir "énormément", cela est plus agréable pour moi, pour les corrections, pour passer moins de temps sur un même chapitre car parfois ça peu franchement être décourageant de rester 100 ans sur un même chapitre et puis aussi, de ce fait, je posterai plus souvent (je pense lel). 

J'attend votre avis et j'espère ne pas vous ennuyer pour ceux ayant déjà lu avant la réécriture. 

PS: Par rapport à poster, je poste donc celui-ci ce soir, et je vais commencer à en écrire d'autre que je posterai (si je les écrits) durant la semaine prochaine car jusqu'au jeudi 2 aout 2018 je n'ai pas mon ordi et surtout pas le temps d'écrire. 

Voilà, je suis désolée de tout ce blabla qu'on pourrait un peu qualifier d'inutile mais j'aime vous tenir au courant. Sur ceux,

La bise double.

(853 mots)