Phoenix. Le jour viendra

Chapitre 1: 125

Mes yeux reste clos, encore une nuit pleine d'horreur, je ne me rappelle pas d'une nuit sans cauchemar, cela fait deux semaines que le même me hante.

[ Une femme jolie, même magnifique, à en faire jalousé toutes les filles, et moi la 1er. Un homme arrive, je le reconnais mais je n'arrive pas à distinguer son visage, il l'embrasse avec passion et tendresse, se retourne en me regardant stupéfait, comme si j'étais au mauvais endroit au mauvais moment, c'est à cette instant que je reconnais Hugo, c'est yeux marron foncé, sont petit nez retroussé, son teint pâle et ses joues rose, il rougit, je panique et court sans m'arrêter, quand soudain je tombe dans un trou sans fin que je ne peu éviter]
Je me réveille en sueur,les cheveux plaquées à mon visage, pâle, sans aucune force, suffoquant, comme si je venais de reprendre vie, mes larmes coulent, anéanti à la recherche de réconfort je cherche mon téléphone et essaye de reprendre ma respiration, je le trouva, cela devais faire cinq minutes que je chercher à mettre la main dessus, j'essaye de ne pas tremblé, et de lire se qui était inscrit sur le téléphone, mes yeux imbibé de larmes la vision flou, pour moi cela faisais déjà une éternité, je n'arrivais pas à reprendre le contrôle, quand soudain par chance c'était le bon numéro, au bout de la troisième sonnerie Hugo décrocha enfin.
"-Encore se cauchemar ? Dit t'il d'une voix endormi et roque
Aucun son ne sorti mise à part un gémissement
- Ferme les yeux, tout ira bien dit t'il"
Il y avais deux option quand je l'appeler les soir, sois ses discours interminable ne disant jamais qu'il ne voulais pas m'abandonner comme dans mes rêves, ni même un simple je t'aime qui pourrait sûrement me réconforter, quand à celle que je préfére ou il se rendor pendant que je pleurer les larmes de mon corps, mais peu importe cela se terminer toujours pareille, la lame entre mes doigts, à la regarder tournoyer, à m'imaginer un monde sans souffrance, à me demander comment continuer à tout cacher.
125 traits sois 125 souffrances,125 jours et nuits, la lame se pose sur mes côtes, un instant à essayer de trouver une raison de ne pas le faire, mais rien ne me viens, personne ne le sais personne ne m'en empêche, pourquoi le ferais t'il personne ne me porte vraiment d'attention.