sms seventeen

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Mercredi 18 septembre 2018.
10h10.
Francais.
Levi Ackerman.

Je me mets tout au fond de la classe, parce qu'elle met attribuer. Bah oui j'ai mis mon nom dessus et alors ? Tu va pas me casser les couilles.

Je m'assois à ma place quand la chaise à mes côtés se met subitement à bouger, je prends mon sac et le jette sur la chaise repliquant :

- La chaise est attribué à mon sac, peux-tu revenir quand mon sac ne sera plus d'actualité ?

La personne s'en va et se dirige vers le devant à côté d'une fille. J'avais pas remarqué les têtes de ma classe..
PTTDR y'en à ils ont des têtes de cornichons et d'autres de rats congelés.

« Mais t'as vu ta gueule ?! »

Ouais. Superbe.
J'allais regarder par la fenêtre quand la chaise recommence encore à bouger. Bon là je crois que je vais mettre une pancarte.

- Laisse moi m'asseoir, Levi. Je me tourne à moitié vers cette personne et remarque qu'il s'agissait d'Edward et qu'il a un putain de bleu sur la joue et un pansement à l'arcade sourcilière.

J'enlève mon sac pour qu'il s'assoit et le regarde de haut en bas et je vois une sorte de plâtre...enfin bref, j'm'en fous, c'est pas mon problème.

- Bonjour les enfants !, débute la prof de français.. Bon aujourd'hui, nous allons faire une lecture analytique mais tout d'abord nous allons parler d'administration. C'est-à-dire que nous allons faire des sorties au cours de l'année au théâtre. Et pour cela je vous demande de me ramener tous 9€. Toute la classe commence à râler.

Non mais sérieusement, une sortie au théâtre ?! On va foutre quoi au théâtre ?

Un élève de la classe lève la main.

- On n'est obligé de venir ?, demande t-il faisant sourire la prof.

- Oui ! Sinon quatre heures de colle pour ceux et celles qui seront tentés de ne pas venir.
Bon je crois que ça a calmer mon envie de sécher. Allez, on reviens à ceux que j'ai dis plus tôt : qu'est ce qu'une lecture analytique ?

Des réponses étaient sortie de nulle part mais elles étaient quand même bonnes d'après la prof.

Elle commence à nous sortir un livre et nous dit de l'acheter pour la semaine prochaine et qu'il y aura un contrôle dessus.

- Madame ? Je peux aller à l'infirmerie ?, demande cette personne calmement.

Je regarde à ma droite pour savoir qui avait parler et je remarque que c'était Edward.

- D'accord, ton camarade de gauche t'accompagnera. Je vais vous écrire un mot, ramène moi ton carnet.

Edward se lève et lui donne son carnet et la prof me regarde en me désignant des yeux mon carnet.

- Tu dois m'accompagner., répète simplement Edward.

Putain...déjà que j'ai la flemme de lever la main tu veux que je bouge mon corps tout entier ?

Bref c'est avec flemmitude que je me lève de ma chaise prenant mon carnet pour le donner à la prof.

Après qu'elle ai écrit le mot, on sort de la salle pour aller à l'infirmerie. Je l'accompagne alors que je sais même pas où est l'infirmerie.

Je marche à côté d'Edward puis sans le comprendre, il me plaque contre le mur, une de ses mains à côté de ma tête, je le regarde avec incompréhension.

- Il t'arrive quoi là ? T'as vu un surveillant ou quoi ?, il ne me réponds pas, mais à la place, il avance sa tête vers la mienne. Euh..j'sais pas c'est quoi ton problème mais t'es chelou mon pote. Donc bouge toi., je le pousse et il se décale légèrement de moi, je reprends alors ma mâcher vers l'infirmerie mais je remarque que l'idiot derrière moi, ne me suis pas.. Mais tu voulais pas aller à l'infirmerie, toi ?


- T'es amoureux de lui, n'est-ce pas ?, demande t-il la tête baissée vers le sol.

- Hein...? Mais de qui tu parles ?, légèrement sonné dû à mon incompréhension, je me cale contre le mur pour qu'il me supporte.

- Le mec de la dernière fois, dans la salle de colle, c'est ton mec ?, il avait levé la tête cette fois-ci, encrant son regard froid sur moi.

- Quoi ?!, m'indignais-je. Mais n'importe quoi ! Je le connais même pas.

- Alors pourquoi est-ce qu'il m'a raconté que vous sortiez ensemble ?, sa voix était comme presque éteinte. Néanmoins son regard n'avait pas changé, ses sourcils s'étaient froncés jusqu'à la base et ses joues avaient prit une teinte colorés. Sûrement de la colère.

- Tsk ! Je sors pas avec lui., précisais-je voyant que sa mine était devenue un peu plus joyeuse que celle énervé de toute à l'heure.

Il s'approche de moi en souriant, caressant ma joue avant de prendre ma main nous emmenant à l'infirmerie.

Ce mec est d'une bizarrerie absolue.

i need you ; sms ereriren Où les histoires vivent. Découvrez maintenant