chapitre 18

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       PV de Rockaya
Je savais que cet imbécile m'aimais  bien il peut pas me quitter tout simplement. J'essuie mes larmes et je m'assois à nouveau. Je souriais presque la victoire était à ma portée. Pensais intérieurement.
Boubacar repris la parole.
- vous nous avez marié moi et Rockaya, nous sommes toujours dans le lien du mariage ?
-oui répondis l'autre tonton
- alhamdoulilah alors, puisque vous aviez noué le mariage vous serez les témoins alors: Rockaya je te divorce 7fois.
Non non ce salaud ne peut pas me faire ça. Il vient de briser mon rêve noooooooooooooôooon.
- tout est fini maintenant alhamdoulilah nous allons prendre congé de vous fis  le père de Rockaya.
-toi que je ne te devance pas à la maison. Fille de satan.

            Retour à Coumba
Les deux hommes sont partis mais Rockaya était toujours là
- mère Yacine pardonnait moi je promet de changer , Jaime Boubacar et je resterai tranquille.
-Coumba amène moi hors d'ici je t'en prie. J'accepte et nous sommes monté en haut. En escaladant les escaliers j'entendis.
-je m'en fout de toi ce qui m'importe c'est comment avoir le pardon de mon fils et de ma belle fille que j'ai longtemps fait de mal.
                PV de Rockaya
- tu es de son côté maintenant ?
-j'étais aveuglée maintenant je regrette je ne ferai plus de mal dans ma vie, toi aussi tu as intérêt à changer, et va te marier avec le père de ta fille.
-je ne l'aime pas mère Yacine en plus il peut pas me prendre en charge.
-tu ne l'aime pas mais tu ouvrais tes jambes pour lui. Regarde Rockaya lève toi et sors d'ici, cette fois ci c'était Fama qui parlait
-Fama tu me renvoie d'ici ?
- oui tu nous as  assez manipulé, assez fait du mal. Tous nos malheurs c'est toi, sors de cette maison où je te jette dehors par force, toi tu me connais bien.
-ton malheur c'est toi même j'y suis pour rien même pas 1mois de mariage ton mari te répudie, et qui nous dit que tu te donnais pas à un autre.
-salle vipère je vais te tuer aujourd'hui.
Cette peste attrape mes cheveux en me donnant une gifle.
J'entends la vielle cruche crier
-au secours, fama laisse là venez m'aider.
Coumba et Anta sont descendu Boubacar poussait péniblement sa chaise.
Elles nous ont séparées et on me demande de quitter la maison. J'avais les habits déchirés.
-si je te revois dans cette maison je vais te tué prostituée criait fama
Je sortis de la maison et marcha vers je ne sais où
          Retour à Coumba
Boubacar était en colère très même. Il fixait fama des yeux puis.
-hey assis toi et tais toi.
Fama obéit on était encore dans le salon
- tu penses que ce que tu vient de faire ça t'honore? En plus tu te battais avec ton allié. Vous voyez comment la vie est cruelle. Non elle n'est même pas cruelle elle est juste car tout ce que tu fais en bien elle te le rends tout ce que tu fais en mal aussi pareil. Si Rockaya est fautive vous l'êtes autant qu'elle, car c'est vous qui l'aviez amené ici, c'est vous qui l'aviez donné la force qu'elle avait. Nous sommes une famille, après la mort de papa jetais le seul à m'occuper de vous, c'était difficile mais je ne voyais pas ça pour lamour que je vous porte. À un moment de la vie si la famille n'est plus en cohésion il faut s'assoir et voir ce qui n'a pas marché tout en sachant que tout le monde est fautif. On a toujours été une famille uni et soudé, j'ai épousé pour moi mais pour vous aussi une fille qui viendra consolider les liens familiaux. Et elle a était à hauteur de mes attentes. Mais vous n'aviez pas respecté mon choix. Fama lorsque tu voulais te marier tu m'avais présenté ton copain je l'ai accepté et tu ne m'a jamais vu m'immiscer  dans ta vie. Maman tes désirs ont toujours été des ordres tu as toujours été ma priorité. Tu es ma maman et rien ne peut changer cela. Je t'aime comme toujours et c'est des paroles sincères. En tant que fils je te demande pardon si je t'ai fait du mal où si j'ai dit des paroles déplacées à ton encontre.
-Non..... Fis  mère Yacine entre des pleurs tu ne m'a rien fait de mal c'est à moi de te demandais pardon... Mon fils sniiif
-jacceperai jamais que ma mère me demande pardon, le statut que tu as c'est Dieu qui te l'a donné. Ne me demande jamais pardon. Coumba viens saluer ma mère et que la paix règne dans cette famille.
Je me suis levée et me suis accroupi près de Belle mère.
-yaaye balma akk (maman pardonne moi)
-,ma fille sniiif, tu as toujours été exemplaire, tu as toujours été polie envers tout le monde. Je prie pour toi et je te demande de me pardonner. Boubacar prend soin de ta femme tu ne peux pas avoir mieux qu'elle sniif, vous verrez tous vos maux vont disparaître par la grâce de Dieu.
-amine maman, bon je vais monter pour me détendre un peu. Cette discussion m'a fait du bien.
Fama maida cette fois ci à faire monter Boubacar, jetais choquée je vous jure mais je ne laissais rien paraître. Je me retourne et je vois Anta qui souris. La paix c'est bien.
Après avoir installé Boubacar dans la chambre Fama me dit:
-Coumba je veux te parler s'il te plait.
-bien-sûr
Nous nous sommes installé dans sa chambre et elle commença.
- Je ne sais même pas par où commencer. Je vais juste être sincère avec toi, y'a des choses parfois qui nous arrivent et qu'on ne contrôle pas comme lamour la tristesse la jalousie. Tout mon problème avec toi viens de ce dernier mot la jalousie car en en fait Coumba tu as toujours été la personne que j'ai voulu être et que je ne pouvais pas être.

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Coumba! Une Femme ExemplaireWhere stories live. Discover now