Chapitre 1

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- Votre altesse le conseil des ministres vous attends dans la grande salle.

- D'accord Iman, j'arrive tout de suite.

J'attends le départ de mon assistant pour expirer toute ma frustration. Ce que je déteste le plus dans mon travail c'est de devoir affronté les ministres en poste pour la plus part d'entre eux depuis le couronnement de mon père, le Roi Omar El Hassade.

Je reprend mon courage à deux mains et prend une expression impassible. Je sort de mon bureau accompagné de ma garde personnel, en direction de la salle des conseils. Lorsque je fais mon entrée toute la salle me fais la révérence par protocole et non pas par respect pour la plus part d'entre eux.

J'ai remplacer mon père sur le trône il y a six mois car il avais subit un infarctus. Heureusement il s'en est sorti indemne grâce a dieu, mais le médecin lui a conseiller de prendre du repos.

Il m'a préparer toute ma vie à ce moment. Mon père a donc décréter qu'il était temps de me donner la régence du Royaume d'Aljanna.

Depuis ce jour je me retrouve confronté à des conseillers aux idées archaïque. ILs ne veulent pas faire évoluer le royaume dans le monde moderne mais ils ne connaissent pas encore l'incroyable détermination dont j'ai hériter de ma mère.

- Bonjour messieurs, je vous en prie installez vous.

La réunion démarre comme d'habitude on me fait part de l'ordre du jour. Après avoir parler de certains problèmes du royaume. Je me renseigne sur l'avancer des projets donc j'ai soumis le conseil lors de la dernière réunion. Un silence pesant règne dans la salle.

- J'attends !

Les ministres se regarde tous entre eux aucun n'ose parlez. Après ce long silence je vois Mohamed Al kaffi qui était le plus proche de mon père et qui lui ce range souvent de mon coté, lever la main.

- Je t'en prie Mohamed parle librement lui dit-je.

- Votre altesse les ministres n'ont pas avancer sur votre projet car ils estime que le pays n'a pas besoin de plus d'université ou d'autre établissement scolaire me répond-t-il avec dans le regard un air désolé.

- Messieurs je crois que l'on ne sait pas bien compris dit-je d'un ton calme qui cache une fureur extrême. Je ne vous demande pas votre autorisation mais d'exécuter MES ORDRES commençai-je en insistant sur les derniers mots. Le royaume d'Aljanna à besoin de ce modernisé pour cela il faut acquérir des connaissances. Mon peuple ne pourras jamais avancer avec le peu d'opportunité qu'offre notre système scolaire. La plus part des parents n'ont pas les moyens d'envoyer leur enfants dans des universités hors de prix à l'étranger. Nous devons donc les éduqués et garder nos meilleurs élément au lieu de les envoyer étudier et travailler pour des pays étranger, leur place est dans leur pays natale auprès de leur famille !

Les conseillers étaient sur le point de répliqué lors que je leur demande de disposé. Après leur départ je m'affaisse sur ma chaise épuiser par cette réunion qui comme d'habitude me montre l'irrespect de mes conseillers.

On toque à la porte.

- Oui ? lorsque je vois Mohamed s'avancer vers moi.

- Votre altesse, je suis venu présenter mes excuses pour le manque de respect donc vous avez était infliger me dit-il.

- Merci Mohamed mais ce n'est pas à toi de t'excuser, ces vieux renard ne perds pas une occasion pour me désobéir répliquai-je en souriant. Je te laisse mon ami j'ai rendez-vous avec les Asmara lui dit-je en me dirigent vers la porte.

- Faite attention à vous votre altesse et passez une bonne après-midi me dit-il avec le même regard qu'un père qui veut protéger sa fille.

- Toi aussi Mohamed.


Je monte dans ma chambre afin de me changer et d'enfiler la tenu traditionnelle des Asmara. J'ai hâte de les retrouver je me sens tellement bien avec elles lors de nos sorties dans le désert.

Les Asmara sont une tribu nomade du désert donc les femmes sont les guerrière et non les hommes comme dans les autres tribu. Ma mère la Reine Azel El hassade est originaire des Asmara elle était la fille de la chef de la tribu Zahra Bent Asma. C'est d'elle dont j'ai hériter mon courage et ma force. Depuis ma tendre enfance ma mère m'a enseigné avec l'aide de sa tribu l'Art de la guerre, les Art Martiaux ainsi que le maniement de l'épée. Elle voulait que je sois l'une des meilleures guerrières des Asmara.

Ma mère a rencontrer mon père lors d'une de ses visites d'en leur campement, au premier regard selon les dires de mon père sa était le coup de foudre mais il a du batailler avec ma mère avant qu'elle ne cède a lui donner sa main. La Reine voulait tester le courage et l'amour de son prétendent. Elle m'a raconter qu'elle l'a défier dans un combat à l'épée pour savoir si il était digne d'elle. Il a accepter malheureusement pour lui ma mère manier l'épée comme la plume d'un poète. Après un long combat ma mère a gagner mais l'amour qu'elle éprouver pour lui et la détermination qu'il avait mit dans son combat eu raison de son cœur. Trente années c'est écouler et leur amour est comme au premier jour.

Je suis prête, je me dirige donc dans écuries. Je prépare mon pure sang Arabe et enfile mon chèche. A l'entrée du palais les Asmara m'attendent, je les salut chaleureusement car elles m'avaient manquées avec mes obligations au palais je n'ai guère de temps pour moi. Ce sont les seuls amies que j'ai.

- Bonjour Tante Fatima dit-je à ma tante qui était devenu à son tour la chef de la tribu

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- Bonjour Tante Fatima dit-je à ma tante qui était devenu à son tour la chef de la tribu

- Bonjour ma chérie comment vas-tu ?

- Heureuse maintenant que je suis avec vous ! m'exclamais-je en souriant sous mon chèche

- Allons y ! me répond-elle

Nous passâmes notre après-midi dans le désert à rire et nous raconter des anecdotes sur dos de nos chevaux. Sur le chemin du retour au palais nous observons un convoi de trois Range Rover blinder ce diriger vers le palais. J'ordonne à la tribu de nous mettre au gallo afin d'intercepté ce convois avant son entrée au palais. De ce fait en quelque minute nous arrivons à la hauteur des voitures et leur ordonnons de s'arrêter.

Pour l'Amour d'Une GuerrièreWhere stories live. Discover now