Manga|Anime x Reader • Fermeture Temporaire

• I| Osamu Dazai x Reader

Personnage : Osamu Dazai
Manga|Anime : Bungou Stray Dogs.
Commande faite par HanJisung16 Bonne lecture !
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Je corrigerai les fautes plus tard.

- Dis-moi T/n, comment, ou avec quoi compares-tu l'amour ? Dit-il d'une voix enjoué.

- Dazai, pourquoi, et encore cette question débile ? Retorquai-je sèchement.

Dazai commença à se plaindre en agitant ses bras de haut en bas. Ce garçon n'est vraiment pas possible à géré. Toujours entrain de faire l'enfant, à énerver Kunikida et me mettre hors de moi.

Je suis entrée dans l'agence il n'y a même pas un mois, et je me sens terriblement mal à l'aise. Pourquoi ? Question super facile. Dazai est mon "patron" on va dire, et je suis sous sa responsabilité. Tous les jours il me demande des choses pas croyable et essaye de se sucider. Tous ses suicides ou ses petites manies retombe sur moi, je ne lui dis rien, mais j'en ai vraiment assez.

Kunikida entra d'un seul coup, d'abord calmement mais une fois près de Dazai, celui-ci attrapa le col de Dazai et le secoua en lui criant encore des plaintes de quelques clients, ou plutôt clientes. Je m'interposa entre les deux et demanda à Kunikida de me montrer les "fameuses" plaintes.
Il se dirigea vers mon bureau, ouvrit une autre page et me les montra.

Je pris place et commençais à lire. Je m'en doutais tellement que je soupirai laissant tomber ma tête sur mon bureau. Dazai me disait que c'était pas ce que je croyais et esseya de chercher des excuses.

- Dazai, écoute, pourquoi tu proposes à toutes les filles de faire des suicides amoureux ou encore des conseils ? Tu es vraiment désespérant.

- Serais-tu jalouse par hasard ? Me répond-il d'un regard que j'aimais voir.

- SÛREMENT PAS ! M'exclamai-je au plus au point en tapant mes mains sur le bureau.

Un sourire de satisfaction se dessina sur ses lèvres. Je me mise à rougir d'aventage. Je partis pris par la honte sous les regards des autres. Je me dirigeai vers le bar que l'agence avait l'habitude de côtoyer. Je pris place et commandai-je une boisson fraîche pour me rafraîchir les idées.
Dazai apparu peu de temps après et se plaça devant, toujours avec le même expression de tout à l'heure.

J'aurai beau le détesté, je l'aime quand même. J'ai développé des sentiments pour cette homme. Ce qui m'a le plus attiré ses son vrai côté et pas celui qu'il laisse apparaître devant tout le monde. Quand il seul avec moi, il réagi différemment. Il est plus sérieux et plus sincère. Mais dès qu'il y a des personnes qu'il connaît ou pas il reprend son côté plutôt idiot.

Je soupirai et detrounai le regard gêné. Lui il continuait à me fixer. Je me levai, laissant l'argent que je devais sur la table et sortis le plus vite possible de cette endroit. Je marcher le plus vite possible vers chez moi mais Dazai me suivait toujours. Il attrapa mon poignet et me retourna pour que je lui fait face. Il me plaqua contre le mur et avec son autre main, il attrapa mon menton pour me forcer à le regarder.

- Tu n'as toujours pas répondu à ma question. À quoi compares-tu l'amour ?

- D'abord lâche moi.

- Non, temps que tu ne l'aura pas dit.

- D'accord... Je compare à l'amour à la mort.

- Plus sérieusement.

- Quoi ? Je dis la vérité, dis-je Irrité. L'amour c'est comme la mort, on ne peut pas deviner quand, où et comment il vient.

Il lâcha comme prévu, et me regarda abasourdi de se que je venais de dire. Un sourire vint s'installer sur son visage. Il prit ma main et se mis comme un homme demandant la main de quelqu'un. Il me regarda dans les yeux et sous tous les regards des personnes il me dit enfin :

- Veux-tu faire un double suicide amoureux avec moi ? Me proposa t'il le plus sérieux possible.

Je lui repoussa sa main tout en lui faisant un regard noir, et répartis jusqu'à chez moi. En entrant chez moi, je m'étais jetée sur le canapé. Soupirant, je regardais le plafond tout en songeant. Puis mon attention se trouva sur une photo en face de moi. Il y avait toute l'agence. Je le dirigea vers celle-ci et le retira de son cadre.

Une fois sortis, je pris la photo et vis une petite étiquette, en bas de celle-ci. Une photo sur une photo ? Je retira donc la photo sur lequel il y avait toutes les personnes de l'agence, et je vit une photo ou il avait des personnes qui m'étais totalement inconnue. Je lui demanderai demain.

Je me dirigea vers la cuisine et ouvra le frigidaire, mais il n'y avais rien. Je regardais l'heure, les magasins doivent être fermer. Je pris possessions de mon portable et me dirigea vers mes contactes. Après avoir passé un coup de fil à Dazai, je me dirigeai vers son appartement avec la photo dans ma veste.

Quand je fut arriver là-bas, il me laissa entrer. Je m'excusais de devoir manger chez lui, mais il ne me dis que c'étais pas grave. Nous nous installons pour manger, et pendant le repas Dazai prit la parole :

- Si tu voulais sortir avec moi, fallait le dire ! Se moqua-t-il. Tu sais que sa pourrais marcher entre nous deux.

- Oh ! Ça va les chevilles ? Repondis-je en entrant presque dans la jeu, presque.

- T/p, j'étais sérieux.

Je le regardais droit dans les yeux. Je savais que quant il m'appeler par mon prénom, il était vraiment sérieux. Je me mis à rougir comme une tomate et je detrounais le regard, gêné, vraiment gêné, très gêné. Dazai lui souriait, comme d'habitude.

- En fait, dis-je en changeant de sujet, j'ai trouvée, enfin découvert cette photo derrière la photo d'équipe. Tu y es. (Photo en média)

Dazai pris la photo que le je lui montrai et la regarda. Son sourire s'effaca. Il me regarda tristement et n'osa pas dire un mot. Mais après un bonne minute, il reprit la parole :

- Tu n'as vraiment plus de souvenir ? Me questionna t'il.

- Comment ça ?

- Et bien, T/p, tu étais une ancienne membre de la mafia... Tu étais même amoureuse de Oda, le garçon se trouvant à côté de moi, lui, dit-il en me le montrant.

- Je... Je n'ai vraiment aucun souvenir... dis-je honteuse.

- Mais bon... Cria t'il en déchirant la photo et l'offrant son sourire de tout à l'heure, maintenant que Oda n'est plus là, j'ai peut-être une chance avec toi.

Il se leva et jeta la photo dans la poubelle et revint vers me plaquant sur le sol. Sa tête s'avança vers moi puis il me dit :

- Accepterais-tu enfin mes sentiments ? J'éliminerai tout les obtascles qui passeront devant nous. Je te protegerai à en mourir. Sinon je mourrai pour te prouver mon...

Il ne pu finir sa phrase que je déposa mes lèvres sur les siennes. Il me demanda l'entrer de ma bouche et je me laisser faire. À la fin du baiser, je pris en lui disant :

- Tu parles pour rien, un je t'aime aurais suffit.

- Je ne cessais pas de te le dire à chaque fois. Je t'aime T/p, me dit-il en m'embrassant encore.

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J'ai brevet blanc demain... Souhaitez moi bonne MerdeCREDI T^T