Mélusine, elle est mal. Comme beaucoup, me diriez vous. Mais, le mal de Mélusine n'a jamais connu le bien. Il vit pour (la) tuer, fin de l'histoire. 

On commence comme ça, mais on sait que ça va mal se terminer, cette histoire. Mélusine pleure, la nuit, lorsqu'elle était bien trop seule avec sa souffrance. Et, on sent ses pleurs aux sanglots étouffés de son âme en peine.

Mélusine, elle est comme la vie. Personne sait si c'est un compliment de dire ça, mais beaucoup de monde le dit. Elle est douce comme la plus belle des vitalités, rugueuse sur les bords (et les bras aussi) et coupante à l'extrême extérieur pour évacuer sa douleur foudroyante.

Mélusine, elle a mal, alors elle prend des (putains) de médocs.

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