Mafia - Affaires Familiales

Chapitre 3

Mardi 11 Juin Maison Bellagio Tokyo

Kohana entre sans taper dans le bureau de son père. Il tient son épouse dans ses bras en buvant adossé à un mur. Une blonde aux cheveux courts, dans une mini jupe serré sans culotte et un débardeur blanc, tends un plateau rond et fin en marbre. Elle posent le plateau avec leurs verres à moitié vide sur le bar.

- Assieds toi Kohana. Dit-il en poussant gentiment sa femme à se redresser.

- Ma.eu.co dit Kohana en exposant son trouble du langage

- Marco, reprends sa mère froidement en avançant le dos droit et le menton levé vers sa fille

Le visage de Kohana est mouillée par ses larmes, elle ne sait peut-être pas qu'elle est en train de pleurer à ce moment. Elle est debout les jambes outrageuse ouverte comme si elle essayait de prendre tout l'espace.

- Il me laisse pas ... bâtons MA chambre.

Adriano s'assoit sur le canapé et appelle sa fille à venir dans ses bras, avec dans ses yeux un amour sincère pour son enfant. Il fronce les sourcils lorsqu'elle s'assoit sur la table basse à ses genoux au lieu d'être sur ses genoux.

- Kohana, tu es la plus belle fille que papa ai vu de sa vie. Papa ne veut pas que Kohana pleure. Il essuie de son mouchoir un filet de bave de la bouche de sa fille, puis réajuste sa robe qui est sans dessus dessous.

- J'aime pas Maco, avoue Kohana en faisant grossièrement la respiration lente relaxante.

- Moi non plus chérie mais le monsieur de l'église a dit c'est Dieu qui le dit. On doit obéir à Dieu. Dit-il en cherchant le regard de sa fille. Elle s'allonge sur le canapé et cache sa tête sur les cuisses de son père.

- On peut demander gentiment ou lui donner plein d'argent, tu as dit que...

- Dieu a toujours raison Kohana, va dans ta chambre et obéit à Marco ou j'en parlerais au monsieur de l'église. Gronde t-il avant de relever la tête de sa fille pour se libérer. Il tire sa femme contre lui fièrement. Kohana, Dieu a dit à ta mère de m'obéir et il la protège et la

- C'est pas Dieu c'est toi. Affirme Kohana en criant, maladroitement, sans colère. Son visage se crispe et il poursuit Kohana qui n'est pas terrorisée, plutôt amusé. Il la déshabille et la fesse sévèrement sous le regard approbateur de sa femme.