Plions les gaules

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J'adore le regard qu'il me lance qui est à moitié entre la gêne, le dégout de soi et l'excitation. On peut même dire que je sens particulièrement bien son excitation à cet instant. A moi d'en profiter du mieux que je peux pour pouvoir le remettre à sa place et calmer le petit cornu.

Thomas : Je... Excuse... Ce n'est...

Moi : Tais-toi un peu et relax, c'est amusant à vivre d'ailleurs, j'ai une idée.

Je lui fais un clin d'oeil et lui fait un sourire vicieux en passant ma langue sur ma lèvre. J'avais peur que ça me donne un air ridicule, mais au final, ça à l'effet escompté et je sens une contraction frotter contre moi.

Thomas : Arrête un peu. Tu as gagné ! C'est toi le meilleur Newty boy !

Moi : Je ne fais que commencer, mais arrête moi si ça te dérange vraiment et je descends immédiatement.

Je m'allonge sur lui et colle mes lèvres à son cou. Je commence par un baiser et je finis pas aspirer pour y laisser une trace qui, je l'espère, restera là durant des jours. Je suis sûr d'avoir marqué mon territoire et de l'avoir satisfait au ressenti des gémissements et des tapotements que le corps de Thomas produit.

Moi : Je vais mettre fin à tes souffrances petit monstre.

Je commence à frotter mon bassin sur le corps de Tommy en faisant des va-et-vient tout en mettant ma main sur sa bouche pour calmer les bruits qu'il fait et qui gagnent en intensité à chaque fois que je durcis le frottement. Son regard est presque vide tellement il se sent pris par le feu de l'action quand soudain, il pousse un léger cri et je sens un ultime spasme au niveau de son entre-jambe et une sensation humide qui transperce son pantalon de jogging et vient sur le mien.

Moi : Tu as bien travaillé. Tu mérites un cadeau Tommy

Et je me penche pour l'embrasser.

Une bonne vibrationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant