Chapitre 65 - Ek Parivaar ( Une famille)

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Alhem descendit de la berline et intima à Alvir de l'attendre devant .

- Tu es toujours armé, n'est-ce pas ? Demanda il a celui ci en regardant les petit groupe de jeunes rassemblés dans un coin qui lorgnait vers la voiture rutilante avec envie .
Leur intention n'avait pas l'air des plus saintes , il préférait donc prendre ses précautions.

- Oui, monsieur , toujours , repondit se dernier et décalant le bas de sa veste de costume , découvrant le révolver magnum coincé dans sa ceinture .

Il porta a présent son regard vers son homme de main qui refermait la portière qu'il venait de lui ouvrir .

- Moi aussi , monsieur , murmura ce dernier en décalant également sa veste avant de la remettre rapidement en place .

- Ne vous en servez qu'en cas d'extrême necessitez surtout , rappella t'il.

Alhem regarda les alentour , un peu surpris parse qu'il découvrait.
Absorbé par le dossier dont il était en train de prendre connaissance , il n'avait pas vu la berline traverser ce quartier très pauvre et visiblement mal famé de Navi Mumbai.

Ce n'était pas un bidonville mais on en était pas loin .

Il s'adossa une dernière fois à la voiture et ouvrit le dossier que lui avait remis un de ses détectives conscernant la jeune indienne qu'il avait rencontré au restaurant.
Tout de suite lui apparut la photo de la serveuse et il senti une vague de désir déferlente le happer de nouveau , léchant sa peau comme un perturbant tsunami de sensation .

Il se renfrogna et ferma violement le dossier en pestant avant de récupérer la pochette rose et le portable qui allait avec qu'il avait glissé dans la poche à l'arrière du siège .

Il avait attendu une bonne semaine avant de pouvoir se libérer et de venir jusqu'ici, préférant également patienter histoire d'avoir le rapport du détective entre les mains .
Il ne savait rien de cette fille et quelque renseignement sur son entourage et se qu'elle faisait exactement de sa vie n'était pas négligeable avant de l'approcher pour quelque raison que ce soit .

- Allons y , Nicolaos , ordonna t'il a son homme de main qui pris place à son côté alors qu'il évoluait dans la ruelle.

Nicolaos était à ses côtés depuis 1000 ans également, tout comme zarana ,et sa protection dans des moment un peu glauque comme celui là n'était pas à cracher dessus bien qu'Alhem aurait pu décapiter un homme à main nu .

Valait mieux ne pas se faire remarquer et laisser Nocolaos gérer ce genre de détail encombrant .

Alhem s'approcha du numéro 9 de la ruelle Pariaki sundra et fronça les sourcil en découvrant la maison qui tenait à peine debout et semblait vouloir s'envoler ou s'écrouler à la moindre bourrasque de vent qui pourrait souffler .

- c'est ici , monsieur.

Alhem hocha la tête . Il avait été surprit en lisant le rapport de découvrir qu'à 20 ans elle vivait toujours chez ses parents .
Mais en Indes les choses se passaient comme ça apparement . Tant que la fille n'était pas encore mariée elle vivait sous le toit de ses parents avec toute la famille .
Pas d'indépendance pour elle tant qu'elle n'était pas mariée...enfin même Mariée on ne pouvait pas dire que la femme indienne était vraiment indépendante. Tout comme la femme arabe d'ailleurs . 

La jolie Angha vivait avec son père et sa mère et faisait partie d'une grande fratrie de frères et sœurs.

Pourquoi faire autant d'enfant dans une telle précarité, bon sang ?
La misère était elle devenu un mode de vie a laquelle on s' habituait avec le temps ? Ces parents étaient inconscient !

Écume d'or ( Terminé ) Where stories live. Discover now