océan.

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« Tu sombres dans l'abyssal,
Et disparais comme l'écume.
Tu as l'amertume du sel,
Lorsque tu mords mes lèvres.

Les continents sont trop loins,
Et les vagues trop féroces.
Tête haute et marée basse,
Il est temps de lâcher ma main.

La mer dans tes poumons,
Et les écailles de ta peau.
Le corail de ton squelette,
Qui t'entraîne sous la surface.

Et les perles de tes yeux,
Qui scintillent sous la Lune,
Ruissellent de gouttes d'océan
Lorsque les naïades s'endorment. »



(02/01/20)

La Lune Déborde Où les histoires vivent. Découvrez maintenant