Chapitre 3

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Arrivée à ma destination, je pris la même place à mon arrivé. Je m'assis. J'entendis quelqu'un fredonné dans la cuisine. Je me dirige vers cette pièce en question. Je vis Reiji cuisiné. Je ne fis pas de bruit pour ne pas le déranger pendant dans sa chanson. À la fin de sa chanson, je l'applaudis. Il se retourna vers moi . Il retourna à la préparation du souper. Il me demande:
REIJI- As-tu aimé la chanson que je viens de chanter ?
ALICE- Oui, je trouve que tu as beaucoup de talent et une superbe voix quand tu la chantes.
REIJI- Mes frères disent que je chante faux.
ALICE- Il n'apprécie pas ton talent à sa juste valeur. J'étais dans la salle à manger et je t'ai entendu et je voulais absolument savoir qui avait chanté. j'adore beaucoup la musique.
REIJI- Bon, va t'installer à la table avec les autres.
Je lui fis signe de tête. Je m'assis à côté de Subaru. Je viens Reiji arrivé avec une marmite. Il me servit. Il me sert une coupe de sang. J'attends que  tout le monde soit servis avant de commencer mon repas qui a l'air délicieux. J'entame la nourriture qui est dans mon assiette. Une demie heure plus tard, le repas est terminé. J'aide Reiji avait débarrassé les couverts. Je les dépose dans l'évier. Je pris le linge à vaisselle qui traînait sur le plan de travail. Reiji me dit:
REIJI- Je peux le faire seul. J'ai l'habitude.
ALICE- Je peux t'aider ça me fait plaisir ,puis tu as fait le souper. Tu en as beaucoup fait, alors je peux te passer un coup de main.
REIJI- J'aime mieux que tu te reposes pour demain que tu m'aides.
ALICE- Je refuse catégoriquement que tu la fasses seul, puis il y en beaucoup.
REIJI- D'accord et après tu vas dormir pour que tu sois prête pour demain à huit heures le soir.
ALICE- Oui, Reiji, je serais à l'heure demain.
REIJI- Demain, je frapperais à ta porte à sept heures quarante-cinq.
ALICE- Merci.
Reiji lava la vaisselle. Je l'essuie et la range dans les armoires appropriées. Je serre le linge mouillé, puis je dis:
ALICE- Bonne nuit Reiji.
REIJI- Bonne nuit et merci de ton aide.
Je lui fis un sourire. J'allais à ma chambre à l'étage. Je prépare mes vêtements pour l'école demain soir. Mon jean que j'avais sur le dos que Raito avait arrangé avec une chemise blanche. Je trouve une veste de l'école dans mon placard. Je les mis sur le dossier de ma chaise. Je repasse une brosse dans mes cheveux. Je partis me coucher dans mon lit. Je m'endormis en une fraction de seconde. Vingt minutes avant que Reiji frappe à ma porte, j'allais à la salle de bain. Je me lave le figure. Je me brosse mes dents. Je repartis dans ma chambre. Je me déshabille et mis les vêtements que j'avais préparée la veille. Je mis mon chapeau. J'entendis frappé à la porte. Je répondis:
ALICE- Je suis déjà réveillé. J'arrive.
Je me tresse ma chevelure. Je sortis de ma pièce à moi. Je me dirige vers le hall d'entrée. Ils y avaient que Reiji , Shu et Kanato qui étaient arrivés. Je pensais très intensément aux retardataires. Je les vis descendre à la course qui me fait éclatée dans un fou de rire. Reiji me regarde. Je finis par me calmer. Je pris la parole:
ALICE- On peut y aller maintenant que tout le monde est arrivé.
On partit tous dans le transport pour se diriger à l'école. À notre arrivé, je vis une foule de fille. Les garçons sortirent en premier, puis je sors. Le regard des filles sur moi étaient mauvais de me voir arrivés avec eux. Shu me rejoint . Il me chuchota à l'oreille:
SHU- Notre famille est comme des idoles à l'école si quelqu'un de fait du mal viens voir un de nous et fait super attention qu'il ne touche pas ce chapeau.(chuchotant)
ALICE- Je le ferais. Je ne veux pas qu'elles touchent mes attributs félin.(chuchotant)
Je lui fis un clin d'oeil. Je marche vers l'entrée au côté de Shu. Soudain, une fille que je ne connaissais pas, me tira la queue. Des larmes me picotaient le coin des yeux. Shu remarque que je n'ai plus là. Il vit la fille. Il prit une voix très en colère:
SHU- Tu la lâches maintenant ma meilleure amie immédiatement.( en colère)
LA FILLE- Elle n'a pas de beauté, puis elle porte un cosplay même si c'est interdit.
SHU- Vas-y porter plainte au directeur si ça te chante.(en colère)
Elle partit en courant. Il me fait un câlin. Il me relâchait. Il me reconduit à mon casier et Reiji était toujours là. Je le remercie. Il partit. Reiji me demande:
REIJI- Qu'est-ce qu'il s'est  passé pour que tu sois arrivé avec Shu ?
ALICE- Un petit accident avec l'une de vos fans. Shu m'a défendu contre elle et il ne voulait que ça se reproduit jusqu'à ce que je sois à mon casier.
REIJI- Attend, je vais te peigner ce qui est ébouriffé.
Il sort un peigne de son casier. Je me retourna. Il la peigne avec une douceur. Il termine. Je le remercie. Je pris mon cours du matin. Je ferme mon casier. J'entre dans la salle. Je m'assis à la table à côté de celle de Reiji qui est au fond de la classe. Je replace le couvre-chef que j'ai. Je sortis une feuille mobile et un stylo. La classe se remplit petit à petit. Je viens de remarquer Shu entrer dans la classe. Je me trouve assis entre Shu et Reiji. La cloche sonne. Le professeur rentre. Il me remarque. Il me demande:
PROFESSEUR- Mademoiselle, vous pouvez venir vous présentez devant la classe, s'il te plaît.
Je me lève et vais en direction pour me mettre devant le tableau de la classe. Je dis :
ALICE- Bonjour, tout le monde, je m'appelle Alice. J'ai dix-sept ans. C'est tout ce que vous devez savoir sur moi.
PROFESSEUR- Vous pouvez retournée à ta place.
Je retourne à ma place. Le professeur reprit la parole:
PROFESSEUR- On reprend notre exercice ce mathématique. Page 34 dans la cahier.
J'ouvris et je vis que j'ai déjà appris la leçon. Le professeur vient me voir pour m'apprendre la leçon. Je lui dis:
ALICE- Monsieur, je peux le faire. je sais comment le faire.
Il retourne à son bureau. Je le fis en moins de cinq minutes. Je me leva. Je donne le cahier à l'enseignant. Il regarde l'exercice avec le corriger et j'ai commis aucune erreur. J' ai eue le droit à un regard impressionné de sa part. Je pris un cahier et je m'assis. Et Reiji me posa une question:
REIJI- C'est impossible que tu ailles tout bien sans avoir vue la matière pour faire l'exercice.
ALICE- Enfaite, je suis une surdouée, mais j'aime allé à l'école, sinon je m'ennuie d'une manière ou d'une autre. J'ai toujours été comme ça. Ne dis rien aux autres. Shu était déjà au courant depuis qu'on est ami.
Reiji continua son travail. Shu est sur le bord de s'arracher les cheveux. Je lui souffle une formule mathématique. Puis il écrit. Il finit par comprendre l'exercice ce qui me fit un petit sourire. Je repris mon air neutre. Je pose ma tête sur mon pupitre. Mon chapeau me couvre un peu les yeux. Je m'endormis. Un peu plus tard, quelqu'un me secoua doucement. J'ouvris les yeux. Je vis Shu. Il me dit:
SHU- Allez, il faut que tu prennes le matériel pour le prochain.
Je me leva. Shu m'agrippe le poignet. Je m'arrête. Il replace mon chapeau. Il me laisse partir maintenant. Je pris mes choses. Je vais rejoindre la salle B5. Je m'installe encore au pupitre proche de Reiji. Cette heure de cours qui est moins ennuyante que la précédente. Je note le cours. Les travaux ne m'ont pas pris que cinq minutes pour les faire. J'entendis ce que le professeur remarqua. Il dit:
PROFESSEUR- Remets- toi au travail.
ALICE- J'ai fini monsieur.
PROFESSEUR- C'est impossible d'avoir terminer en même pas sept minutes.
ALICE-Venez vérifié monsieur si vous ne me croyez pas.
Il s'approche de ma table et il regarde ma feuille. Ses yeux deviennent ronds comme des balles de golf. Il ne dit aucun mot. Il ne bougea pas. Les élèves me fixaient tous. Je baisse ma tête pour ne pas voir tous ses yeux sur moi. Je trouve que le sol était beaucoup plus intéressant. Shu qui était à côté de moi. Il se lève et s'agenouille devant moi. Je me sentis un peu gêné de geste de sa part. Il me parle en utilisant petite soeur :
SHU-Petite soeur, tu vas bien.
ALICE-Non, il me regarde.
Il leur jeta un regard noir. Ils se retournent leurs regards sur leurs feuilles. Il retourne s'assoir. Je me leva. Le prof revient finalement à lui. Je pris mes affaires. Je me dirige vers la porte. L'enseignant m'arrête. Il me dit:
PROFESSEUR- Retourne à ta place.
ALICE- Je peux partir. Je connais toute la matière de ce cours.
PROFESSEUR- Si tu connais les cours. Donnes- les à ma place mademoiselle.
ALICE- Je ne fais pas votre job à votre place. Je suis juste très intelligente.
Sans dire un mot de plus, je partis. Je cours jusqu'au toilette. J'entre dans une cabine. Je suis pris d'une crise d'anxiété. Je suis prise de nausée ça m'arrive quand je fais une crise. Je pris de grande respiration. J'entendis des pas se rapprocher. J'écoute la discussion de l'autre côté de la cloison.
FILLE1- Elle est bizarre. La fille aux chapeaux de ma classe en prétendant de savoir tout savoir.
FILLE2- Ce matin, Shu l'a défendu. Elle porte un cosplay et c'est interdit, puis les enseignants ne l'avaient  pas renvoyé à la maison. En plus, elle arrive avec les plus beaux garçons de l'école.
FILLE1- Puis, elle n'est même pas belle.
Ma crise devient très violente. Je me sentis compressé par les murs de la cabinet de toilette qui me donne l'impression qui se ressert sur moi.J'essaye de contrôler ma respiration pour quelles ne puissent pas m'entendre.
Je sentis une présence s'approcher. Je dois m'enfuir le plus vite que possible. Je pense très fort à l'un des frères. J'entendis la porte des toilettes s'ouvrir. J'entendis qu'elle s'en va. La porte où j'étais, s'ouvrit à la volée. Ma respiration ne se calme pas pour autant. Je le vis les yeux vers la personne. Je vois Subaru face à moi avec un air inquiet sur le visage en entendant ma respiration très rapide. J' essaye de sortir me lever du sol. Je n'y arrive pas. Subaru me souleva en mode princesse. Je replace mon couvre- chef. Je pose ma tête sur son torse. Je sens les regards sur moi ce qui me fit serré le chandail de Subaru. Ma queue de félin est enroulée autour de son poignet. Subaru ne dit aucun mot. Il se stoppe net. Il ferme une porte. Il s'assit. Il me garde sur ses genoux. Il enlève ce qui cacha mes oreilles. Il se mit à caresser ma tête. Il me dit:
SUBARU- Il n'y a personne à part nous deux. Tu peux relâché mon poignet.
J'avais les yeux embués de larme. Elles tombèrent une après l'autre. Je mouille le chandail de Subaru. Je sentis la surprise de la personne qui essaie de me calmer. Il essuie mes larmes avec mon pouce. Il me dit:
SUBARU- Une chance que j'étais proche dans le coin quand tu appelais au secours.
ALICE- Merci et attends. Tu n'es pas sensé être dans ta classe quand j'étais là- bas.
SUBARU- Toi, non plus je te signale.
ALICE- Je devais partir. Je déteste être regarder comme une moins que rien. J'ai attendu dire que je serais une menteuse en faisant un travail en dix minutes.
SUBARU- Ne les écoute pas. Tu es géniale et ceux qui pense que tu es laide. Non, pas une beauté intérieure comme la tienne. Moi, je trouve belle, mais ils n'ont aucun goût personnellement.
ALICE - Merci, Subaru. Shu avait essayé de me rassurer en classe, mais il a échoué. Tu as réussi. Merci pour tout que tu as fait.
SUBARU- Pourquoi tu dois caché tes belles oreilles?
ALICE- Je ne veux pas qu'on les touche et je déteste que les gens les regardent.
SUBARU- Mes frères et moi, alors ça te dérange.
ALICE- Bien sûr que non. Vous êtes mes frères de coeur, alors non. Tu peux le remettre s'il te plaît.
Il le remit avec une douceur hors du commun parce qu'il a frappé le mur sur le coup de la colère ce qui l'a fissuré. Je me relève doucement. Mes jambes me lâchent. Subaru me rattrape de justesse. Non, pas maintenant, je ne veux pas me transformer pas ici. Je me mis à paniqué. Je me transforme et mes vêtements tombent au sol. Subaru me fit entré dans sa veste. Il ramasse mes vêtements . Il alla à son casier. Il y pose mes vêtements. Il me transporte avec lui. On arrive dans sa classe. Il fait attention de bien me cacher. Il s'assit. J'écoute son professeur donné son cours. Il se mit au travail. Je vis qu'il n'écrit pas. Je lui plante mes griffes dans sa cuisse. Il fit une petite grimace de douleur. Il se mit à écrire. J'entendis la cloche sonné. Il me dit par télépathie.
À suivre...

La grande famille  SamasakiWhere stories live. Discover now