Chapitre 137 : Son choix

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Ce chapitre est très très long.

Et j'ai chialé en l'écrivant.

C'était 4h du mat' jugé pas.

Oui je poste comme j'ai envie. Je crois que je suis une des auteures les plus prolifiques de Wattpad.

Gné.

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La rose releva un regard rempli d'effroi vers son amie au cheveux noirs alors qu'elle finissait son récit.

Son visage se décomposait d'horreur et elle posa une main sur son ventre.

Son bébé...

Leur bébé !

Elle avait envie de pleurer.

Elle demanda, livide :

- Il n'a pas fait ça... Il a... Il n'a pas pu...

Momo s'affola et se précipita vers la rose en clarifiant les choses.

- Non non non ! Il n'a rien fait sans ton accord ! Il culpabilise déjà rien qu'à la pensée d'avoir pu envisager cette possibilité. Il m'a dit qu'il savait pertinemment qu'il ne réussirait jamais à vivre avec où à te regarder dans les yeux si il l'avait fait. Il s'en veut car il trouve que ses raisons sont égoïstes.

La rose poussa un soupire de soulagement.

- Dieu merci...

Elle se remémora ce rêve. Cet oiseau qui volait vers elle. Son bébé...

Elle sursauta soudainement :

- Eri-chan ? Où est Eri ?

- Avec ta mère qui l'a emmenée se coucher. Shiratori-san va bientôt revenir.

C'est vrai l'heure était tardive pour une enfant de cet âge...

- Et Shoto... où est-il parti ?

La brune hésita à répondre.

- Lui est les autres garçon sont partis pour tenter de trouver une solution à ton problème.

La brune passa sous silence les véritable raison du départ des garçons.

La jeune femme tourna vers une nouvelle teinte de blanc.

La rose n'ayant pas vu dans quel état était le salon après l'explosion de rage de son fiancé il était normal qu'elle pense de cette manière...

- Ta mère, Ochaco, Mei, Mina et moi sommes restées ici pour être avec toi. Les garçons ont promis qu'il allait être prudent. J'ai dit à Kyoka de les surveiller.

La jeune femme se recrocevilla sur elle même. Momo s'assit à côté d'elle.

- Je suis désolée. fit la rose en cachant son visage dans les draps. À peine suis-je revenue dans vos vies que je remets déjà le bazar.

La brune tenta de la consoler.

- Rien de tout cela n'est de ta faute et personne ne t'en veux.

La rose posa une main sur son ventre et se crispa :

- Bien sûr que si ! Si je n'était pas revenue vous ne souffririez pas autant ! Je passe ma vie à inquiéter mon entourage alors que la seule chose que je demande c'est une vie paisible ! Je... J'aurais eu mieux fait de repartir... où de me laisser mourir...

La brune senti un frisson la parcourir en entendant ces mots, elle prit les mains de son amie et déclara avec un regard sombre.

- Ne dit pas ça.

OMEN  {Terminé}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant