Quand les ombres envahissaient les rues,
Le temps semblait suspendu,
Il murmurait d'une voix des vérités perdues,
Promesses d'une paix tant attendue.Le soleil coulait des rivières d'or à l'horizon,
Faisant voguer sur ses vagues l'espoir,
Et, sans plus aucune cage, aucune prison,
Enfin et sans regret, l'on pouvait y croire.Juste parce que c'était beau
Et que la beauté n'avait pas encore fané.
Parce que c'était nouveau
Et que l'on pouvait s'autoriser à aimer.S'autoriser des baisers, des larmes, des sourires,
Tant que la vie pouvait se montrer brève,
Et puis, dans un murmure, parfois se dire
Que le monde n'était qu'un rêve.Dredre.
Au monde et à ses rêves...
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Poesya III. Delirii Insulae
Poetry(Ce recueil fait suite à Poesya : Somnium Terra et à Poesya II. Mundus Illusionis et est le 3eme de la série Poesya) Mensonges et réalités se dissimulent Sous un même voile de nuages Surplombant la péninsule, Près de l'île sans orages. Mille temp...