Lemonade (Histoire d'amour YURI ^^)

Chapitre 11 : Vie en peluche

Tout les muscles de mon corps se relâchèrent. Ayuno se leva calmement, enleva le coussin, et m'embrassa langoureusement. Sans penser un instant que j'étais la, dans la pièce, a la regarder, sans pouvoir rien faire. Elle enleva la couette et me tira par les pieds. Mon crane se fracassa lourdement par terre ce n'était dans tout les cas plus un très grand souci mais mon cadavres laissait maintenant des grandes trainé de sang.

J'étais sa petite chose son objet. Cela m'excitait malgré que mon enveloppe corporelle de rechange actuelle ne semble pas dotée d'attribut qui pourrait le montrer, je le savais intérieurement.

En trainant mon corps, elle traversa la cuisine, dans lequel elle prit un couteau avant de continuer sa route jusque dans son jardin. Debout, nu dehors elle tremblota mais cela ne la découragea pas d'accomplir son sombre dessein. Après avoir vérifié qu'il n'y avait personne au alentour elle me fit passer par la porte de sortie de son jardin. Avant de m'emmener dans un champ désert. Elle m'abandonna devant un arbre perdu dans le champs vide, et elle repartit. Je m'énerva, ça ne pouvait pas finir comme ça après tout ce que l'on avait vécu ensemble.

Je la revit avec soulagement, elle avait maintenant une corde qui lui passait entre les seins, un pot de colle dans une main et des graines pour oiseau dans l'autre. Elle déplaça mon corps de ses mains, que je devinait froide, pour le mettre a plat. Malgré que je ne soit plus dans mon corps je m'imaginait encore toute les sensation qui le parcourait.

Elle dessina de ses doigts imprégnés de salive un trapèze sur mon ventre avant de se saisir de son couteau. En suivant les lignes imaginaire qu'elle venait de tracer elle ouvrit mon tronc en enfonçant vigoureusement son couteau dedans.

La forme s'arrêtait de ma poitrine a mon bas ventre. Je la comprenais une cage thoracique était trop dur pour un couteau. Elle me permit de voir toute les belles choses que j'avais en moi.

Elle retira ensuite mes organes en prenant soin de laisser mon cœur qui lui glissait dans les mains. Elle semblait apprécier l'odeur de mon foie. Une fois cela fait, elle prit une pause avant de reprendre avec le même aplomb sensuel qu'avant.

Elle caressa mon cou avant d'y enrouler lentement un nœud coulant qu'elle sera si fort qu'il en déforma la forme de ma trachée en y faisant apparaître des traces .

Elle vu quelqu'un passer, elle se jeta par terre dans les feuilles mortes et les brindilles. Elle se releva piqué de partout mais ne s'en préoccupa aucunement.

Elle ouvrit son pot de colle et m'en versa sur les bras. Le liquide chaud et gluant me coula dessus, tandis qu'elle y incrustait quelques graines pour oiseaux.

Finalement grâce a un ingénieux système de poulie elle me fit monter en haut d'un arbre