encore un chapitre plus long, stoppez-moi dans mon inspiration x')
plus ça va, plus je me dis que je suis devenue incapable de faire court et concis–bref, sinon, j'espère que vous allez bien ! comme je l'avais dit sur le chapitre précédent et sur insta, je suis actuellement en train de bronzer (c'est faux je brûle mdr) en vacances et toutes les réponses se font à mon retour (y compris sur les chapitres précédents, merci aux nouveaux lecteurs qui rejoignent l'aventure :D) !
ah, juste pour info : j'ai vu pas mal de gens prendre la décision de quitter watty suite au hack dont on ne nous a pas informés ; pour ma part j'ai choisi de rester pour le moment. je changerai peut-être d'avis dans quelques jours, semaines, mois, mais voilà, pour le moment je serais toujours là pour vous hanter avec mes intrigues :)
(de toute manière même si je quittais watty j'irais hanter une autre plateforme ~)bref, je vous donne rendez-vous le 07 août pour le chapitre vingt-et-un, et je vous souhaite une bonne lecture !
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𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐕𝐢𝐧𝐠𝐭 ─ 𝐃𝐮 𝐯𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜œ𝐮𝐫𝐬 𝐛𝐫𝐢𝐬𝐞́𝐬
Le jeune homme poussa un soupir désabusé et prit sa tête entre ses mains pendant de longues minutes. Il passa mécaniquement ses doigts dans ses cheveux bruns, comme pour essayer de se rattacher à quelque chose de matériel, avant de relever la tête soudainement en entendant des bruits de pas.
« Tu m'attendais ? » demanda la voix grave de celui pour qui il était effectivement resté assis sur cette chaise inconfortable pendant des heures. Il sourit avant de se relever et de décréter :
« Bien sûr ! Tu as les clés de la voiture. » Assumer une potentielle inquiétude n'était pas dans ces habitudes, alors il se rabattit sur sa nonchalance habituelle. L'autre laissa échapper un petit rire avant de l'observer, puis de faire glisser son regard sur le téléphone qu'il tenait dans la main.
« Des mauvaises nouvelles ? »
Il envisagea pendant quelques instants de jouer la carte de l'honnêteté, avant de décider que non. Il n'avait pas envie de s'étendre sur ses rapports tendus avec son père, sur son manque de lien avec sa mère et sur les ennuis qui lui pendaient au nez s'il continuait de mépriser absolument tout le monde comme il le faisait. Il se contenta de sourire innocemment une nouvelle fois, avant de répondre que non et de tourner les talons et de planter l'autre là quelques instants.
Il l'entendit soupirer, mais il ne fit aucun commentaire et le suivit après quelques secondes. C'était pour cela qu'il appréciait autant son mentor. Il n'essayait pas absolument de le faire changer par des réprimandes.
Il l'acceptait tel qu'il était.
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J + 1
18 JANVIER.⋆✩⋆
L'inspecteur de police Osamu Dazai se laissa tomber dans l'herbe fraîche et laissa échapper un petit soupir mêlant frustration et contentement. À ses côtés, Chuuya le dévisagea avec un certain amusement dans les yeux, avant de chercher du regard sa chemise tombée quelque part autour d'eux.
« Tu comptes m'abandonner dès nos affaires terminées ? se moqua l'inspecteur, un grand sourire sur les lèvres.
– N'essaye même pas de prétendre qu'on a fait autre chose que s'embrasser, le rembarra le rouquin – il disait la vérité, même si c'était seulement parce qu'il l'avait arrêté. Et je te signale qu'on est au mois de janvier. Les températures sont trop basses pour rester dehors aussi peu couvert.
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AUSSI ROUGE QUE LES ÉTOILES - 𝘀𝗼𝘂𝗸𝗼𝗸𝘂, 𝘀𝗵𝗶𝗻 𝘀𝗼𝘂𝗸𝗼𝗸𝘂
Fanfiction─ (⭐) ❝ JE N'AI PAS PEUR D'UN HOMME QUI SE CACHE POUR COMMETTRE SES CRIMES. J'ATTRAPERAI FYODOR DOSTOÏEVSKI, QUEL QU'EN SOIT LE PRIX. ❞ Yokohama, de nos jours. La ville connaît son taux de criminalité le plus bas depuis les émeutes d'il y a dix ans...