Jotakak ( Jotaro x Kakyoin ) Terminée

Chapitre 9 ( Narrateur )

Un jolie blonde dans la quarantaine se promène doucement dans sa maison pour aller finalement,dans la chambre de son fils , et où ils hébergent leurs ami . Elle n'entendait rien provenant de la porte , et se demandais ce qu'ils étaient en train de faire. Elle décida d'ouvrir la porte , ce qu'elle vit lui fit fondre son cœur. Malgré leurs âge de jeune adultes , endormis , ils était paisible et ressemblaient à des enfants .
C'était l'heure du dîner ( déjeuner pour les européens) , mais elle fermit la délicatement la porte et retourna à ses taches.

Entendant les pas de sa mère dans le couloir balcon , Jotaro se réveilla , ayant le sommeil fragile. Le roux à côté de lui , n'était pourtant pas éveiller , lui par contre avait un sommeil plus profond.
Il doit être vraiment fatigué, se dit le noiraud.
Il le regarda durant quelque seconde , et se dit que les traits reposé du rouquin lui allait bien. Il se leva et sortit silencieusement pour évitez de le réveiller.
Jotaro s'en alla vers sa cuisine pour se préparer une collation , quand soudain il entendit un bruit venu de sa chambre. On aurait dit que quelque choses s'étaient brisés. Jotaro accouru vers sa chambre , paniqué. Kakyoin est peut-être en danger ! Fut sa première pensée .
Il tourna la poignée de la porte , mais elle ne s'ouvrait pas. Au diable la pauvre porte ! Il donna un grand coup de pied dans celle-ci et elle tomba vers l'avant.
Dans la chambre , Kakyoin debout se défendait contre un attaquant.
Quand le roux remarqua la presence du Kujo , il cria pour lui dire que c'était un utilisateur de stand .
Jotaro serra les dents et avança doucement vers l'ennemi.
Celui-ci se mit a rigolé. « Tu crois vraiment pouvoir m'attaquer » répéta-t-il sans cesse.
Le noiraud décida d'en finir rapidement et s'approchait de lui . En un clignement de yeux , l'adversaire disparu. Jotaro ne comprenait plus rien , il était bien devant lui il y a quelques seconde , non ?
Il se tourna vers Kakyoin et lui demanda quel était son stand. Celui-ci hocha les épaule et lui répondit qu'il croit que l'ennemi peut se téléporter ou quelque chose du genre.
Ils entendirent soudainement des bruits rapides de pas dans le couloir-balcon.
Jotaro accouru et vit leurs adversaire le sourire diaboliquement. Noriaka le suivait de près. L'ennemi s'amusait a lancé des mini-bombes partout sur la maison , mais l'homme de jais avança en un éclair et l'attaqua de son " Ora , ora" . L'adversaire bougeait dans tout les sens , mais Jotaro ressentit à un moment qu'il ne frappait plus rien .
Merde , pensa-t-il , il n'a pas du aller bien loin avec les blessure que je lui ai causé.
Le choc et l'horreur fut trop grande à ce moment , quand il le vit derrière notre cher auburn. Puis tout de passa vite.
Jotaro cria " KAKYOIN" celui n'eu même pas le temps de comprendre le sens de ses mots que l'adversaire sourit diaboliquement et lança une de ses mini-bombes dans le bas dos du jeune roux.
Kakyoin fit un bond du à l'impact et s'effondra au sol . C'en fut de même pour l'homme derrière lui , blessé par Jotaro auparavant.
Le jeune adulte fu pétrifié pendant une demi-seconde , non pas encore Kakyoin se répétait-il sans cesse.
Il réagi ensuite rapidement , pris le rouquin et appela son grand-père.
Celui-ci arriva rapidement avec sa fille et Avdol.
Jotaro lui dis de contacter son association Speedwagon le plus vite possible.
Sa mère était pétrifié par l'horreur, la majeure partie de leur maison était en feu et son ami Kakyoin était à moitier mort.
Les médecins arrivèrent 10 minutes après. Il prirent en vitesse le corps inconscient du roux et l'emmenèrent.
Jotaro insistait vulgairement qu'il allait resté avec eux.
N'ayant pas le choix d'accepter , ils acquisèrent et ils montèrent tous dans la voiture ambulance.

Tout le long du trajet , Kujo regardait le visage de Kakyoin crispé par la douleur. Les médecins affirmèrent qu'il avait de la chance , il bombe n'avait pas explosé devant un endroit fragile , vitale. Juste à côté. Ils pouvaient peut-être le sauver . Il y a avait même beaucoup de chance. Mais il sera en convalescence durant beaucoup de temps.
Cela donnait un peu d'espoir à Jotaro.
Tout de passait trop vite.

Peut-être , ces mots se répétait en boucle sa tête. Peut-être.

Si seulement il avait été plus rapide.
Si seulement il l'avait achever l'ennemi sur le coup.
Si seulement il n'avait pas baisser sa garde.
Jotaro se sentait rongé pas la culpabilité. Rare sentiment chez lui.
Mais les "si" n'arrange rien , on le sait malheureusement tous.
Jotaro restait calme , pour lui , il ne devait absolument ne pas perdre son sang-froid.

Quand ils arrivèrent au centre , les médecins s'empressèrent de brancher le blessé à une de leur technologie.
Ils se tapotèrent les épaules joyeusement et affirmèrent à Jotaro que la vie de Kakyoin n'était plus en danger.
Il soupira , il avait vraiment cru , durant un instant que Kakyoin était devant , les portes du sommeil éternel.
Il pouvait remercier les technologies Speedwagons . Il vint s'asseoir sur une chaise à côté du lit , et les médecins sortirent de la salle.
Le métis leva le regard , et le dirigea vers l'inconscient. Il avait l'air plus détendu , plus serein.
Un long silence régnait dans la salle , mais il fut coupé par de petit bruit continu sur le sol.
Du sang ? Non . De l'eau ? On se rapproche. Des larmes ... ?
Impossible, mais pourtant ...
Des larmes de quoi ? Quel sentiment le dominait ? Un mélange peut-être? Effectivement. Un mélange de soulagement, culpabilité mais surtout tristesse. De choc. Il avait tellement cru , que par sa faute , la mort allait venir chercher une autre vie.
Et pas n'importe laquelle ... son ami ....  ??
Il était confus , mais savait une chose , il tenait à lui . Pourquoi? Personne ne le sait , mais vous pouvez imaginer ce que vous voulez.
Ce qui vous fera plaisir.
Pareil pour notre noiraud , il essaya d'imaginer l'auburn sourire , rougir , gonfler ses joues quand il est mécontent, tout ces petits gestes innocents qui le rend content.
Même si la réalité est différente , on aime bien la cacher pour quelques temps ,pour imaginer .
Et c'est en imaginant , que s'endormit finalement le japonais.