Samedi 28 juin

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Pdv Alex: 

Il y a quelque jours ma tante, Valériane et son conjoint, Ludovic, m'ont invitée avec Stéphanie a venir passer l'anniversaire de Luce, ma cousine, chez eux. Je sais qu'il y aura mes parents car ma tante me la dis.  Au départ je pensais ne pas y aller mais Stéphanie m'a convaincu d'y aller, elle a raison après tous je ne suis pas obligé de leur parler. 

Nous sommes, ma chérie et moi sur ma moto pour nous rendre chez ma tante. Une fois devant le portail je remarque la Mustang de mes parents. J'attrape la main de Stéphanie, comme pour me donner du courage et nous nous dirigeons vers la porte d'entré qui se situe sur la façade Est de la maison. 

Je toque a la porte et une mini tornade viens de ma sauté dans les bras. Je rigole, discute quelques minutes avec Luce avant d'aller chaleureusement Valériane et Ludovic, je fais un simple signe de tête à mes parents.

Ma tante me lance un regard réprobateur et Stéphanie me chuchote d'aller leur parler, mais quand est ce que les gens comprendrons que ce n'est pas moi qui est en fautes mes bien mes parents, c'est agaçant a la fin. 

Je ne prête pas plus attention que cela a mes parents, je me contente d'écouter ma cousine et ma copine qui parle de princesse Disney. Ma tante me fais signe de la suivre. je demande a Stéphanie de se levé de mes genoux en embrassant sa tempe. ce qu'elle fait en embrassant ma joue.

Je suis ma tante jusqu'à sa cuisine et l'aide a préparer les morceaux de viande et les légumes pour le barbecue. 

— Alex parle leur. 

— Non, avec tout le respect que je te dois tata c'est eux qui sont en tord, je ne m'excuserais pas d'être moi. 

— Je comprend, mais ça deviens pesant pour tous le monde, Marie, Ella même si elle comprenne en souffre, Karl aussi. Tes parents souffrent, je leur ai dit la même chose, et ta mère ma tenue le même discours que toi. 

— C'est ma génitrice. 

— Alex ! ne parles pas ainsi de ta mère !

— Tata, sincèrement, je compte me Marié avec Stéphanie. 

je regarde au alentours avant de reprendre ma conversation. 

— J'ai acheté la bague il y a quelques jours, et je la demanderais en mariage dans quelque jours. 

— C'est super sa ! dit ma tante en m'écrasant contre elle dans une étreinte serrer. 

Alors que nous étions dehors, à prendre l'apéro ma mère commença le dialogue. 

— Alex, je vois que tu as encore ta pouf avec toi ? tu ne la change pas elle ? 

— Maman ! Non je ne la change pas comme tu dis car je l'aime, et sincèrement elle mérite d'être aimé car par rapport à vous elle n'a pas fuis devant la maladie, devant mes blessures, devant moi. Alors je veux bien que ce ne soit pas facile pour toi, pour vous, de savoir que j'ai un cancer, que j'ai pu avoir des lésions de la colonne vertébrale, que j'aime la moto, que j'aime les femmes, qu'au fond je ne suis en rien l'enfant que vous vouliez.  Mais est-ce que cela vaut vraiment une guerre ? Sincèrement, et je le dit clairement : Je n'es plus la force de me battre. 

Ma mère se met à pleurer, je ne comprend pas tous a fait ce qu'il se passe.

— Je- On est totalement désolé, nous aurions aimé être la en temps que parents, que vrai parents, j'ai essayer, nous avons essayer,  mais sa nous a dépassé, je sais que rien ne nous excusera mais s'il te plaît comprend nous, tu es né fille tu te comporte comme un garçon, tu aime les femmes, je te retrouve dans ton lit entourée deux deux jeunes femmes te faisant l'amour, puis après Adelle qui te tue à petit feu, tu t'éloignait de moi, de ton père aussi, jamais tu ne t'es confier a nous, nous avons jamais eu de relation fusionnel, et enfin tu as un cancer, cette foutu maladie qui a emporter ma petite soeur.  J'ai paniqué, je voulais pas voir sa, je ne pouvais pas voir sa sans m'écrouler moi même, nous aurions jamais du réagir ainsi, c'est vrai, encore désolé Alex. 

Mon père pris la parole, alors que Stéphanie passa ses bras autour de mon abdomen. 

— Je sais que j'ai très mal agis aussi, et ceux depuis que vous êtes toutes petites, ce que je vais dire ne te concerne pas que toi, mais aussi tes soeur, enfin surtout Ella. Je suis désolé d'avoir fallut a mon amour de père qui doit être égal entre ses quatre enfants. Je suis sincèrement désolé Alex. J'espère que tu nous pardonnera. 

— J'ai besoin de temps. 

Pdv Stéphanie: 

Alex se réconcilie avec ses parents, enfin sur la voit de la réconciliation, ce qui me fait très plaisir, je sais que même si elle ne veux pas le montrer, cela l'affecte bien plus qu'elle ne le laisse paraître. 

Elle la dit elle même elle n'a plus la force de se battre. Je comprend très bien. C'est dernier temps n'on pas été facile, le bac c'es terminé hier, et a peine est-elle rentré a la maison qu'elle s'est écrouler dans le canapé, endormie dans un coma léthargique.

 Entre le bac, les rayons thérapiques, et les rumeurs du lycée sans compter que j'ai bien remarquer que plus personne ne lui parle, elle a clairement perdu tous ses amis et sa me fait mal. 

Emilie aussi s'en ai rendu compte, d'ailleurs elle n'est pas rentrée hier soir, et de ce que j'ai comprit elle passe du bon temps avec aurélie et son en pour parler de se mettre en couple. Je suis contente pour elle, elle le mérite très clairement. 

— Mon coeur, on y va. 

— Oui, je conduis ? demandais-je à Alex en voyant la fatigue sous ses yeux. 

— S'il te plait, enfin si tu as le permis A... bailla-t-elle. 

Whao... je n'en reviens pas elle doit vraiemnt être à bout pour qu'elle me laisse conduire sa moto, mais je n'est pas ce permis là.

— Non j'ai pas ce permis, désolé mon coeur. 

— On vas y aller doucement et si je vois que ça va pas on s'arrêtera. 

Nous montons sur sa moto, je m'accroche a elle, et nous repartons tranquillement après près de trois heures de route, dont vingt minutes de pause pour qu'Alex puisse se reprendre, nous sommes arriver saine et sauve chez nous. 

Alor que nous defaisions nos cuirs des gémissement, enfin des cris de plaisir nous arretames. Avec alors nous partimes dans un fou rire, Emilie cache bien son jeu. Je ne la savait pas si bruyante. 

Nous montons dans notre chambre avec Alex. Après avoir enfiler un maillot d'Alex et qu'il ne me reste qu emon tangua je me glissa sous la couette où Alex m'attendais simplement vétu d'un caleçon. 

C'est gestes se firents plus aventureux, ses baisers plus passionnel, charnel. Nous nous embrassons, puis elle grimpe sur moi, et nous partimes dans un round unique d'ébats charnel avant de sombrer dans le sommeil, alex sur le dos, moi dans ses bras protecteurs que j'aime tant. 

StéphanieWhere stories live. Discover now