Je te protégerais toujours /tom-tord fanfiction\

Retour à la case départ

*Etats Unis 15h32*

Tord:

Je ne peux pas bouger. Je compte les secondes dans l'espoir de pouvoir me repérer une fois arrivé mais surtout pour ne pas tomber de sommeil.

Même si les décharges qui me paralysaient ont cessées, je ne peux pas utiliser mes mains, ni mes jambes d'ailleurs.

Je suis ligoté au niveau de mes poignets, de mes coudes, des mes genoux et finalement au niveau de mes chevilles.

Malgrés mon agacement, je ne peux que féliciter le travail de pro qu'à fait la femme, prénomée Nathalia. Elle au moins ne me sousestime pas... ou elle est au courant pour de mon statut... imprévisible.

Elle devait bosser dans une charcuterie avant vu comment elle m'a saucissonné. Xd

Ils m'ont enfermé dans le coffre.
Autre précaution de Nathalia. Les contrôles policiers étant soit-disant fréquent dans le secteur.

Dommage! J'aurais aimé voir la tête des policiers en voyant un boudain humain: Help me! Je vais passer au barbecue!! Ah ah ah!

Quand il n'y a plus d'espoir, le seul moyen de s'en sortir est de s'abattre.
Euh... non! Je voulais dire de... oh et puis zut!

Bref, une chose qu'Edd m'a apprise c'est que y a toujours le temps pour un peu d'humour.
Et il a raison! Car de son malheur: mourrir est chose facile, en rire, chose plus difficile.

La voiture s'arrète. J'ai compté plus de 4000, c'est-à-dire que l'on est à une heure de route de l'appartement.
La circulation m'a semblée correcte.

Le coffre s'ouvre et le gars me soulève.

Nous sommes garés dans un endroit plutôt ouvert. Même s'il y a quelques habitations étaient éparpillées, il y a surtout une grande forêt.

Nous sommes donc toujours proche de la ville.

Nathalia nous presse pour entrer dans une baraque en bois à un étage.

On arrive directement dans le salon.
Puis l'homme me porte jusqu'en haut.

D'après ce que j'ai vu David ne doit assurer sa sécurité qu'avec deux agents... enfin trois moins un.

L'étage est divisé en deux pièces spacieuses: le bureau/chambre de David et une pièce vide à l'exception d'une chaise et d'un lit avec un matelas décousu.

Dès qu'ils me détâcheront, je les assomes et je me barre par la forêt!

Nathalia me retase. Pu#$&/!

Ils profitent de ce handicape pour me reficeler sur la chaise. Ils se sont franchement améliorés les agents de David.

"Ne t'inquiètes pas poussin. David-sama ne tardera pas." Me prévient-elle avec froideur. "Viens Charlie! On doit préparer ce que Master David a réclamé."

Sur ce, elle quitte la pièce en fermant la porte.
Les épais rideaux qui couvrent les fenêtres bloquent la lumière du soleil et je suis plongé dans le noir. Encore.

Ça me donne envie de dormir. Mais j'ai plus peur du Red Leader que de David.
Jamais je n'aurais cru penser ça un jour, mais à côté du démon de mes cauchemards David, c'est de la gnognote.

Je souris à cette pensée malgrés que je sois à nouveau à la case départ.

Enfermé.
Attaché.
Dans une pièce sombre.
À la mercie de David.

Il a mit... six jours poure retrouver et me《récupérer》.
Parce qu'à ses yeux, je ne suis qu'un objet. Un objet de valeur, certes mais un objet quand même.

De plus je peux comfirmer que David ne prend pas soin de ses affaires.
Bien avant qu'il ne se montre mauvais il a brisé des outils en verre (aiguilles, lentilles de lumière...) sur un coup de colère.
Ça aurait DÛ me mettre la puce à l'oreille!

Des bruit de pas me tirent de mes pensées.
La porte d'à côté s'ouvre en grinçant, puis peu de temps après se referme.

Un flôt de lumière jaillit dans ma pièce me faisant cligner des yeux.

David entre, il allume la lumière et s'arrête à un mètre de moi, me regarde souriant comme un sadique.

"Bienvenue à la maison mon petit Torrrd."