MEMORIES

Chp10 : La bague au doigt 💍

J'ai tellement attendue ce moment que je n'arrive pas à croire que j'y suis enfin !
J'ai vécus tant de choses, d'aventures, de peines, d'épreuves, pour arriver à cette étape de ma vie. Cet unique instant où je serais la, face à lui, pour jurer devant Dieu que je suis prête à tout pour finir mes jours auprès de cet homme que je chéris du plus profond de mon cœur, le père de mon fils, le seul et l'unique Draco Malfoy. Je ne savais pas qu'il était possible d'aimer autant une personne que cela nous matraque le cœur sans cesse. Quand j'étais enfant, je rêvais de décrocher la lune, de devenir la femme la plus intelligente de la terre... Et maintenant mon seul rêve et de les serraient dans mes bras, lui et Léo, et de ne plus jamais les lâchaient.

Je suis la, seule face à l'immense miroir que ma mère a fait installé dans ma chambre de jeune fille. Bien que je ne vive plus au manoir, je n'imaginais pas d'autres endroits pour me marier, et puis Drake était cent pour cent d'accord puisqu'il vient au manoir depuis qu'il est bébé. J'observe le reflet de la femme que je suis devenue et je ne me reconnais même plus. En quelques mois je suis passé d'une jeune femme intelligente et obsédée par ses amis et les sorties a une jeune mère aimante, étudiante en fin de première année de medicomagie et surtout future épouse de l'homme de mes rêves. C'est étrange mais je n'ai pas peur du mariage, c'est comme si je marchais vers mon avenir  en suivant une ligne tracée à la craie. Je ne sais pas où je vais exactement mais tout ce qui compte c'est l'amour inébranlable qui nous lie, Draco, Léo et moi. Je pourrais allé au bout du monde et affrontée toutes les tempêtes tant qu'ils sont à mes côtés.
TOC ! TOC !
Les bruits des claquements sur ma porte me ramenèrent sur Terre et je répondis doucement :
- Oui entrez.
La porte s'ouvrit alors sur ma mère, habillée d'une magnifique robe blanche :

Cissy, qui portait une robe verte qui lui allez à ravir :

Et enfin mes meilleures amies, celles que je considéraient comme mes sœurs, Ginny et Pansy. Elles étaient toutes deux vêtus de leurs robes de demoiselles d'honneur (et témoins) que l'on avaient choisis ensemble qui les faisaient ressembler à des anges tombées du ciel :