1/

278 16 0
                                    

- Emma, dépêche toi ! me criât mon père depuis sa voiture

- Oui ... J'arrive, c'est bon ...

Je voulue monter à l'arrière mais mon père l'interpella :

- Monte devant ! Nous devons avoir une discussion sérieuse jeune fille !

Le vieux grincheux se serait-il enfin réveiller ? Me chuchote ma conscience... Pour une fois elle n'avait pas tord.
Sur ceux, j'obéis à mon père.

Le début du trajet se fit en silence puis il décide enfin de brisée la glace :

- Aujourd'hui, tu as 18 ans. Je voudrais un instant que tu prenne conscience que la vie n'est pas que souffrance et qu'elle est unique.

- Ta conscience t'aurait-elle avertit que tu avais une fille ? Par que si oui il est en peu trop tard pour s'en rappeler. Dis-je sarcastiquement

Il me fusilla du regarde puis continua :

- Tu mérite de connaître la vérité sur le monde qui t'entoure car tes souffrance ne sont rien. Dans ce monde, il y a des danger que nul personne ne pourrait imaginer. 

Je fut curieuse de savoir la suite. De quelle vérité parlait-il ? Et puis je n'allais pas l'interrompre sa fessait longtemps que nous n'avions pas discuter de père à fille.

- Les vampires, les loup-garous et les sorcières existent mais sont bien différent de ceux des conte de fée. Dans ce recueille, que l'on se donne de génération en génération depuis des année, tu pourras trouver tout se dont tu as besoin de savoir sur ceux sujet.

Il me tendit un vieux bouquin à l'allure très ancienne. Je me plia en deux tellement mon rire fut intense, je m'attendais à ce qu'il me parle de garçon et de tout le tralala qui vas avec. Sa fait longtemps que je n'avais pas rit comme sa d'ailleurs. J'aurais mieux fait de rester loin de mon cinglée de père après tout. Face à son expression froide, je me calme pour le laisser continuer.

- Ta mère à eu la même réaction quand le lui ai annoncé. Mais elle en fit qu'à sa tête en voulant me prouver que je déraillais, que j'étais fou et que ma conscience me jouait des tours. Elle a voulu jouée avec le feu, regarde où elle en ai aujourd'hui. Cloîtrée en fond d'un cercueil, c'est vraiment ce que tu veut ?

Je lui fit signe que non de la tête. Pas très subtile mon père dis donc surtout sur les sujet sensible. Une question me trottait dans la tête pourtant .

- Mais toi, que vient tu faire dans toute cette histoire ?

- Ce n'est pas une histoire mais la réalités, des centaines de gens sont tuée, l'état camoufle ces meurtre en disant qu'il s'agit de bête sauvage. Ils ne font rien car ils sont impuissant face à ses ennemie de première catégorie ou alors ils sont hypnotiser pour tout oublier. Je suis un tueur de surnaturel sur gage. Mais exceptionnellement, je vais devenir chasseur dans notre nouvelle ville car d'après les rumeurs cette ville est atteinte de nombreuse attaque "sauvages". Quand aux sorcières, tu n'en a rien à craindre, elles ne te feront jamais de mal sauf si tu t'oppose à leurs entourage. 

Je ne l'écoute plus, perdue dans mes pensé. Avais-je un père fou ? Ou disait-il la vérité ? 

  Sur la route un panneau " Bienvenue à Mystic Fall" nous accueillis. Mon père avait un sourire sadique collée au lèvre. Déduction on est arrivée ! Si cette ville est pleine de monstre pourquoi prend t'il le risque de m'emmener avec lui ?
En tout cas, J'ai hâte de faire la tournée des bars dans cette villes ! Je laisserais mon père et ces tendances sadique seul, pendant que j'irais dans le premier bar qui me tomberais sous la main.

Une fois arrivée , je descend de la voiture et commence à décharger tout les cartons de la voiture, les déménageurs avaient déjà tout installée devant la maison. Étonnant de leur part, non ?

La maison est blanche, typique de celle que l'on peut trouver en Amérique dans les quartiers de classe moyenne. Les voisins ont l'air calme du moins pour l'instant. J'ai hâte de voir leur tête quand je vomirais sur leur belle pelouse verte à 1h du mat. 

Une fois tous les meubles installé et les cartons déballé et rangée, je pris une veste en cuir noir et enfile mes basket grise pour aller au bar. Je savais son emplacement à peu près puisque on était passée devant en voiture. Quand au reste de la ville, je n'en ai rien retenue.
Le bar se nommait "Mystic Grill", il avait quelque chose de convivial que je ne saurais expliquée. J'entre, observe les gens au alentour et remarque que la plupart sont sûrement des étudiant.
Je m'installe sur une chaise haute au comptoir et attend le barman.

- Bonjour, que voulez - vous ?

- Hmm, qu'elle est l'alcool le plus fort que vous avez ?

- Du bourbon mais est-ce raisonnable pour une belle étudiante ?

- J'ai l'habitude alors un verre de l'alcool le plus fort c'est comme de l'eau pour moi. dis-je impatiente d'avoir mon verre.

Il me regarde perplexe puis rigole avec moiIl était blond au yeux bleu,  un corps assez musclée pour un serveur, sur son badge était écrit son prénom, je suppose, "Matt". Il m'apporte mon verre puis continue de discuter avec moi :

- Tu es nouvelle ici ?

- Sa se voit tant que sa ?

- C'est pas tout les jour que l'on voit des nouvelles tête dans le coins tu sait. D'ailleurs que nous vaut ta présence dans notre ville paumée ?

- Le boulot sadique de mon père. Dis-je en fessant mine de réfléchir

Il me regarde avec méfiance puis explose de rire.

- Je pense qu'il y a plus sadique au monde qu'un père qui travaille.

- Mouhais, des fois j'ai l'impression qu'il préfère son boulot qu'à sa fille. Quand il rentre, il laisse juste un mot sur la table pour m'informée qu'il repart. Même pas un petit "Coucou ma chérie, comment tu vas ?" ou "Comment c'est passée ta journée ma puce ?" ! dis-je irritée du comportement de mon père

-Tu sais je suis sure qu'il t'aime mais refoule ces sentiment. Tu as la chance de connaître ton père alors profites-en. D'autre non pas cette chance et j'en fait partie. Au fait moi cette Matt, Matt Denovan. Bienvenue dans notre ville au fait !

- Et moi Emma Anderson, ravie d'avoir fait ta connaissance.

Je lui sourie, bois mon verre et réfléchis à ses parole à propos de mon père. Je ne l'ai jamais vue avoir un pointe d'affection envers moi alors sa m'étonnerais. Je finie mon verre puis partie. Perdue dans mes pensée, je bouscule un homme sans le vouloir. Il se retourne rapidement m'attrape par le col de mon pull, me soulève au dessus. Pret à me frappe lui envoie mon genou dans l'entre-jambe et mon coude dans son ventre. Avant de quitter le bar je lui dit :

- On ne frappe pas les dames. 

Je jette un coup d'œil dans le bar et remarque je toute l'attention était dirigez vers nous, je déteste sa. J'ai réussi à me défendre grâce aux cours de self-défense que j'avais pue me payer avec mon argent lorsque j'était au collège. Je sort du bar et marche en direction de ma maison. C'est pas aujourd'hui la veille qu'un homme arrivera à me rabaisser.

Le temps d'un Instantحيث تعيش القصص. اكتشف الآن