Drogo une nouvelle vie à 3 (tome 2)

Chapitre 11

Aujourd'hui c'est le jour de la reprise des cours, nous avons emmener Daigo au manoir. Rose et moi étions pas très confiant de le laisser surtout avec Lorie dans les parages, mais pour le coup Nicolas a su nous rassurer en nous montrant que Lorie ne l'approcherait pas. Rose bien évidement c'est répétée en disant de la prévenir au moindre problème, déjà qu'elle endure le stresse de la rentrée des classes en plus de cette nouvelle séparation avec Daigo. Je vais pas dire qu'elle a fait que ça de ce lever pour s'assurer que nous avion rien oublier, mais c'était tout comme limite elle me rendait dingue. Maintenant nous sommes sur le trajet de l'université, on ne peut pas être plus tendue. J'ai même l'impression que c'est pire que l'année dernière, une fois arriver sur le parking je me tourne légèrement vers elle et prends ses mains.

Moi : ça va aller ?

Rose : je sais pas... Je le sens pas Drogo.

Moi : comment ça tu le sens pas ?

Rose : j'en sais rien, j'ai un drôle de pressentiment.

Moi : arrives tu à faire la différence entre la réalité et ton stresse.

Elle secoue la tête, les larmes aux yeux. Je la détache et l'attire sur moi, elle se niche aussitôt dans mon cou. Je la caresse tendrement essayant de la rassurer, tout en espérant que son pressentiment soit du au stresse. Alors que Rodrigue va pour frapper au carreau, je fais les gros yeux en lui disant non.

Moi : on descend ?

Elle pousse un léger soupire, et redresse sa tête en essuyant ses yeux. Je prends son visage en coupe et l'embrasse.

Moi : tu es belle mon petit cœur.

Un léger sourire se dessine sur ses lèvres, et ses joues prennent une légère teinte rose.

Rose : merci mon baby love, toi tu es beau comme un dieu mais ça tu le sais déjà.

Moi : peut-être mais ça fait toujours plaisir à entendre, surtout venant de toi.

Je lui vole un dernier baiser avant d'ouvrir la porte, elle descend et je lui donne son sac. Je prends le miens et descend pour la retrouver, une fois la voiture fermée je passe mon bras dans son dos la pressant contre moi. Nous nous dirigeons dans la cour en direction de notre point de rendez-vous habituel, nous disons bonjour à tout le monde mais contrairement à l'année dernière Rose manque beaucoup plus d'assurance. Je m'assois sur le banc en l'attirant sur mes jambes, nous la regardons scruté chaque recoins.

Rodrigue : Rose ça va pas ?

Mais celle-ci ne répond pas complètement absorbé dans son observation, je la tapote légèrement ce qui la fait réagir.

Rose : ouais, ouais.

Miguel : t'es sur ?

Rose : euh... Vous disiez quoi ? J'ai pas fait attention.

Rodrigue : je te demandai si ça allait.

Rose : je sais pas, et il y a des nouveaux ils sont bizarres.

Léna : c'est tout les ans qu'il y en a des bizarres. Réponds elle amuser.

Rose : je pense que cette année sera loin d'être calme. Soupire t-elle.

Moi : en tout cas on est débarrasser du plus casse couille, ça fait déjà un poids en moins.

Sylver : il y en a une qui a tout le champ libre.

Rose : elle je l'attends.

Moi : tu tapes petit cœur mais en douceur.

Rose : oui je sais.