La Princesse de Sang-Mêlé et les Mystères de Poudlard {Années 1 à 3}

Chapitre 19 : Les Maraudeurs et Snape

Point de vue, Cassiopeia Snape

Aujourd'hui, au coeur de ce mois de Novembre, les journées sont plutôt courtes et il Neige.  Je commence ma journée avec Cours de Défense Contre les Forces du Mal, je me demande bien ce que le Professeur Lupin nous réserve.

Je suis entrée dans la Salle de Cours et il y avait une armoire fermée et le Professeur Lupin a dit :

"Est-ce que l'un de vous pourrait me dire ce qu'il y a dans l'armoire ?

- Il s'agit d'un épouvantard. Dis-je.

- Très bien, c'est exactement cela Mlle Prince. Maintenant est-ce que quelqu'un pourrait me dire à quoi cela ressemble précisément ? Demanda le Professeur Lupin.

- Personne ne sait réellement à quoi ça ressemble. A chaque fois, l'épouvantard prends la forme de ce dont nous avons le plus peur. Répondit Granger.

- Depuis quand elle est là elle ? Murmurèrent en cœur Wesley et Potter.

- Bien, maintenant est-ce que l'un de vous, sait le moyen pour s'en débarrasser  ? Demanda le Professeur Lupin.

- Le sort Riddikulus, Professeur. Il permet de transformer notre peur en quelques choses de complètement Riddicule. Mais, ensuite le véritable moyen de se débarrasser d'un épouvantard est le rire. Répondit Ethan.

- C'est son cours qui est riddikulus. Et la réponse de ce stupide Poufsouffle est juste du recrachage de par cœur du Manuel... Chuchota Draco dans son coin.

- Draco ! Arrête. Dis-je.

- Félicitations, Ethan, c'est exactement la réponse que j'attendais. Vingt points pour Poufsouffle. Maintenant, Neville qu'est-ce qu'il vous fait le plus peur ? Répliqua le Professeur Lupin.

- Snape... Le Professeur Snape. Répondit Neville. Une grande partie de la classe rigole.

- Professeur Snape... C'est vrai il nous fait tous peur. Il me semble que vous vivez chez votre grand-mère. Je vous demanderai juste de voir ses vêtements clairement. Et seulement comment elle s'habille dans votre tête. Reprit le Professeur Lupin.

- Euh... Elle porte un grand sac... Dit Neville.

- Ne dîtes rien, si vous voyez le sac, nous le verrons aussi. Déclara le Professeur Lupin."

Le Professeur Lupin ouvrit l'armoire et Neville était devant l'épouvantard, il prit la forme de mon père. Sans attendre, Londubat lança un Riddikulus et les vêtements de sa grand-mère apparurent. Le Professeur Lupin dit alors :

"Bien ! Merci. Ethan à vous !

- D'accord. Déclara Ethan"

Quand il se plaça devant l'épouvantard, un balais défectueux qui se cassait apparu. Le Professeur Lupin demanda alors :

"Mmh... Voici quelques chose d'inhabituel... Alors de quoi Monsieur Carter a le plus peur ?

- De perdre mes capacités en Quidditch et en Vol. Répondit Ethan.

- Ahahah très drôle... Au moins s'il lui arrivait cela... Ça nous arrangerait pour battre Poufsouffle. Murmura Drago avec Crabbe et Goyle.

- Draco ! Dis-je en lui marchant sur le pied."

Ethan lança le sortilège que mon père nous avait déjà appris lors de la période où des épouvantards étaient dissimulés dans les couloirs du château. Ensuite, le professeur appela Drago. Ce dernier s'approcha de l'épouvantard et il prit la forme de son père. Il exécuta le sort Riddikulus difficilement avec son bras dans le plâtre avant de se la péter en passant à côté d'Ethan et de le pousser. Ensuite, le Professeur m'appela. Je me mis devant l'épouvantard et il prit la forme d'éclairs qui brûlaient une maison sans attendre je lançais le sortilège Riddikulus avec beaucoup de puissance et de détermination. Ils prirent la forme de pétales de roses qui tombaient sur la maison. Après moi, se fût Weasley, puis Potter qui passèrent avant que se soit Londubat qui repassa une seconde fois. Il lança Riddikulus et après nous rigolâmes tous en cœur et l'épouvantail disparu. Le Professeur Lupin, mit fin au cours. Nous devions nous rendre en Potions. Je me demande bien ce que nous réserve aujourd'hui mon père. Nous sommes entrés dans la Salle avec Ethan et nous nous sommes installés à notre place habituelle. Les autres élèves ne tardèrent pas à arriver et prendre place. Une fois que tout le monde était là, mon père dit :