Chapitre 17

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Une fois attaché sur une chaise le sac qui couvre ma tête est brutalement enlevé.
Je cligne des yeux plusieurs fois voyant flou pendant les premières secondes. Clara est à côté de moi, tétanisée devant l'homme qui ce tient devant nous. Un homme blond au costume bleu, le regard vert, plutôt svelte. Il est le recruteur, j'en suis sûr. Mon regard ce dirige derrière lui, ces yeux exprime une haine total contre moi me faisant frissonner. C'est lui qui à mit un contrat sur moi.

L'homme blond s'approche doucement de Clara s'abaissent à sa hauteur. Elle n'ose pas le regarder dans les yeux. Un mouvement de recule la prends alors qu'il caresse sa joue souriant de toutes ces dents.

"-Sai che mi hai portato molti problemi ? ( Tu sais que tu m'as apporté beaucoup d'ennuis ?)

Elle ne répond rien ce contentent de fixer ces chaussures, le corps tremblant . Il lui sourit une dernière fois avant de s'approcher de moi. Sa main claque sur ma joue. Si il n'y aurait pas eu quelqu'un qui retenait ma chaise, je pense que je serais tomber sous la violence de son acte. Mes larmes sont à deux doigts de couler, il a du laisser une trace sur ma peau pâle, c'est sûr. Ma joue me brûle et je peux voir du sang sur sa chevalière. Il m'a coupé au passage.

-Et toi sale putain tu as de la chance de vouloir cher car sinon je t'aurais tué. Mon fils est mort par ta faute !

Mon regard ce braque dans le sien. Essayent de paraître courageuse alors que je suis à deux doigts de me pisser dessus.

-Je vous est trouvé un très bon acheteur le même en plus. Lenzo a beaucoup d'ennemis et d'avoir dans son lit la femme et la soeur... C'est le graal.

Une voix résonne dans la pièce avant qu'un homme ne rentre suivis de deux autres. Il est brun avec des cheveux blanc, un ventre assez voyant. Il l'est salut d'une poignet de main ferme avant de nous regarder toutes les deux le sourire aux lèvres. Il a des dents en or montrent sa richesse ainsi que de magnifiques bijoux.

-Come promesso. La sorella è docile, non dovresti avere alcun problema. Ma la sua ragazza è selvaggia. ( Comme promis. La soeur est docile tu ne devrais avoir aucun problème. Mais sa copine est sauvage. )

L'homme caresse les cheveux de Clara qui ce mort la lèvre pour retenir ces larmes et sûrement un crit de détresse.

Une fois devant moi, ces grosses mains attrapent le devant de mon chemisier tirent d'un coup sec faisant voler les boutons. Mes pieds partent d'eux même essayent de me défendre comme un réflexe de survie. Le vieillard ce recule sans que je n'ai la chance de le toucher.

-Sarà divertente addestrarla lì. Quello stronzo di Lenzo ha un sapore davvero buono. ( Ça va être drôle de la dresser celle là. Ce connard de Lenzo a très bon goût. )
-Fai attenzione, ha una faccia angelica ma può essere pericolosa. Non lasciare nulla a portata di mano. (Fait attention elle a un visage d'ange mais elle peut être dangereuse. Ne laisse rien à sa portée.)
-Non preoccuparti, penso che inizierò con lei. Sarò felice di scopare sua moglie in tutte le direzioni. (Ne t'inquiète pas, je pense que j'ai vais commencer par elle. Je vais me faire un plaisir de baiser sa femme dans tout les sens.)

Ce dernier fait signe à un homme d'avancer. Une fois devant eux, il ouvre la manette qu'il tient dévoilent des liasses de billets en petites coupures. Le recruteur fait un signe de tête et deux secondes après mon visage est une nouvelle fois de plus enfoui dans le sac. On est dirigé à l'extérieur nous obligent à nous asseoirs dans une voiture.

Alors que la voiture roule depuis un bon moment, je sent des doigts effleuré ma poitrine qui est seulement recouverte de mon sous-vêtement. Je gigote essayent de faire partir ces mains baladeuses.

"-Rien ne sert de bouger, c'est si plaisent de voir cette si belle poitrine qui m'appartient désormais. Je sais pas ce qu'il me retient de te baiser maintenant dans la voiture depuis le temps que j'en rêve. La femme de Lenzo. Je vais le faire souffrir cet enfoiré.

-Il va vous tuer.
-Faudrait déjà qu'il sache que c'est moi et qu'il vous retrouve. Je ne suis pas assez idiots pour vous garder chez moi.
-Même si ça lui prends du temps, il vous retrouvera. Vous êtes un homme mort.
-Meme si il arrive à me tuer, je serais toujours l'homme qui à baiser sa femme et sa soeur. Et crois moi une fois toutes mes deux dociles, je vous baiserai en même temps et j'en ferai une petite vidéo pour lui envoyer. Je payerai cher pour voir sa tête devant ces images, cet rage dans ces yeux d'avoir prit de force à ce qu'il a le droit et personne d'autre...Du moins logiquement."

Je ne répond rien, j'entends les sanglots de Clara à côté de moi. Elle revie son pire cauchemar et elle sait ce qui nous attend mais pas moi malgré mon imagination malheureusement débordante. Pleins de scénarios passes en boucle dans ma tête. Et je préfère me donner la mort que de me faire violer. Je hais mon frère et Lenzo pour toutes cet merde qui m'arrive, je n'ai jamais rien demandé. J'étais tranquille avant. Si cette histoire ce règle un jour, je partirai à l'autre bout de la terre quitte à partir en Alaska pour être tranquille le reste de ma vie.

La voiture s'arrête au bout de quelques heures après avoir roulé dans des petits chemin de terre, je pense.

Le temps c'est refroidit, la nuit doit tomber. Nous entrons dans ce que je pense être une maison et descendons dans la cave qui sent fortement l'humidité. On me force à m'asseoir attachent mes mains avant d'enlever ce qui me couvre la vue.
La pièce est humide et sombre.
Clara a eu le même sort que moi.

"-J'ai quelque affaire à régler les filles, je reviendrai plus tard. Crier autant que vous voule, ça m'excite."

La porte ce ferme et sans réfléchir, je tire sur les chaînes essayent de me libérer.

"-Ca ne sert à rien. Chuchote la brune assise contre le mur, le regard vide. Il va nous laisser pendant quelques jours voir une semaine pour qu'on affaiblis.
-Il t'a fait ça ?
-Pas lui mais Marco oui. Il m'a laisser crever de faim, me laisser me pisser dessus jusqu'à ce que je sois complètement faible à deux doigts de l'évanouissement. Une fois que tu comprends qu'il a abusé de toi alors que tu n'étais pas conscience tu as l'impression que tout en toi ce brise en mille morceaux et ça continue encore et encore jusqu'à que tu ne ressente plus rien quand ces mains ce poses sur toi. Quand il te force à faire des choses quand il te viol lui ou quelqu'un d'autre. On n'est rien d'autre que des jouets pour ces hommes là assoiffé de pouvoir et de vengeance.

-On va s'en sortir Clara, d'accord ?
-Prépare toi au pire.

Je là regarde poser l'arrière de sa tête contre le mur.
Elle abandonne déjà ?
Non, elle peux pas me laisser mener ce combat seule.

-Lenzo et Diego vont nous retrouver, ok ? Ça va peut-être prendre un peu de temps mais ils vont nous sortir de là.
-Le première fois ça à prit 5 ans..."

Je ne réponds rien, elle n'a pas tord.

AriaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant