Chapitre 6

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 Coucou mes loulous❤😍, j'espère que vous allez bien, que le confinement n'a pas été trop pénible pour vous, du moins pour ceux qui l'ont vécue. Pour a part ça va très bien, un peu submerger par mes cours en distanciel mais je le tien. Sans trop attendre voici ce nouveau chapitre que j'avoue avoir pris beaucoup de temps à le publier mais ne vous inquiétez pas je ne vous oublie pas. Sur ce je vous souhaite une très bonne lecture, n'hésitez pas à liker et laisser des commentaires. Je vous fais de gros bisous💋 mes guimauves végan.

Lorsque Julie fini son appel téléphonique, je file à toute vitesse dans ma chambre pour pouvoir réfléchir. Quand je m'allonge enfin sur mon lit je lâche un long soupire qui en dit long sur la journée que je viens de passer. Comme si l'arrivé de Tristan ne bouleversait pas assez ma vie il faut que maintenant Ethan ramène sa fraise. Alors que j'allais déversé toutes mes pensés de haine par message à Ethan, quelqu'un frappe à ma porte.

Julie : Hey, je ne t'ai pas entendu rentrer ( dit - elle en ouvrant la puis en venant s'asseoir au bord de mon lit )

Moi : J'ai vu que tu étais en appel donc je ne voulais pas te déranger (dis - je en déposant mon téléphone face contre le lit )

Julie : Ah oui, c'était les dernières minutes avec Liam

Moi : Bien sûre, avant que vous vous revoyez ce week-end ( dis - je en croisant mes bras sur ma poitrine tout en affichant une mine sérieuse )

Julie : T'as tout entendu ?

Moi : Malheureusement oui

Julie : Je ne comptais rien te dire pour ne pas gâcher ton mood

Moi : Mais qu'est-ce qu'il veut à la fin ?

Julie : Selon Liam, il veut te donner les raisons pour laquelle il n'est pas venu te rejoindre à l'aéroport ( dit-elle en se laissant tomber sur mon lit tout en fixant le plafond )

Moi : Mais bien sûr monsieur avait ses raisons, tout prend son sens ( dis- je en balançant mes bras en l'air tout en me laissant à mon tour tomber sur mon lit )

Julie : C'est vrai c'est bizarre mais après je crois que Liam ne m'aurais jamais demander ça si ses explications n'était pas un minimum plausible....enfin je ne sais pas trop 

Moi : Et toi, tu comptes partir quand ?

Julie : Peut-être demain mais je suis pas sûr, le truc c'est que.....

Moi : T'inquiète je comprend bien que tu veux passer le temps qu'ils vous reste ensemble, tu devrais partir demain, profite, le Japon c'est pas la porte à côté ( dis - je en me tournant vers elle tout en lui souriant )

Julie : Et toi ?

Moi : Moi quoi ?

Julie : Tu ne vas quand même pas rester seule dans cet appartement, tu devrais venir aussi, ça te feras le plus grand bien de revoir ta famille

Moi : C'est vrai que je ressens que mon père voit mon manque, mais peut-être, je ne sais pas encore. J'ai peur qu'être dans la même ville que lui me replonge dans un gouffre émotionnel.

Julie : Je comprends, fais comme tu le sens et puis je serais là avec toi ( dit - elle en se relevant tout me faire un câlin )

Moi : moi aussi je t'aime ( dis - je en serrant mon étreinte autour d'elle )

Julie : Et si tu finis par rester promet moi deux choses, la première ne dis pas Will le petit con que je ne suis pas là il risquerait de prendre un peu trop la confiance et de vouloir te voir plus qu'il ne le fait déjà puis la deuxième c'est de bien verrouiller l'appart quand tu pars, quand tu rentres et de toujours être avec ton portable pour qu'on reste connecté. Avec Tristan qui est New York ça ne me rassure pas du tout que tu soit seule.

Moi : Tu sais prendre Will comme colocataire résoudrais un des problèmes, je ne serais plus seule ( dis - je en rigolant )

Julie : Tu sais comme dis le dicton il vaut mieux rester seul que mal accompagner et dans son cas la solitude ne lui feras pas de mal 

Après cette très longue discussion, pendant que Julie finit de faire sa valise, je me charge de lui trouver le billet d'avion le moins chère pour la Californie. Puis lorsque nous avons finis de tout préparer, nous mangeons et nous montons chacune dans nos chambre. Allonger sur mon lit, j'essaie tant bien que mal de trouver le sommeil mais en vain. Je décide donc d'aller à l'espace zen pour me rafraichir les idées. En regardant New York du haut de mon toit, voyant cette ville animé le jour comme la nuit, je me dis que si je n'arrive pas à trouver la paix dans la grosse pomme, je ne la trouverais jamais. Je respire un bon coup et essuie la morve qui me coule du nez avec la manche de ma veste et finis par l'appeler. 

Durant les longues minutes où le téléphone sonne, je m'efforce de garder le peu de courage que j'ai pour ne pas raccrocher. Lorsque j'allais raccrocher me disant que l'ignorer serait la meilleure des solutions, il finit par décrocher. 

Moi : Allo ? (dis - je d'une voix sec)

Ethan : Lyly ? Tu peux pas savoir comment j'attendais ton appel (dit - il d'une voix remplit d'enthousiasme)

Au moment où en j'entend sa voix, que ses mots arrivent à mon cerveau, j'ai comme une boule qui se créé dans mon ventre, une douleur à la poitrine et un nœud à la gorge qui m'empêche de prononcer ne serait-ce un mot. 




Love de mon meilleur ami  Tome 2Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora