Avant tout je tiens à préciser que cette histoire n'a absolument aucun sens alors laisser votre cerveau de côté.
Excusez les fautes d'orthographes !
C'est ma toute première histoire alors je vous demanderai d'être indulgent.
J'ai beaucoup d'inspira...
Après cette "dispute" avec Juzo je rentra chez moi. L'antique avait réouvert. J'ai donc décidé d'y passer pour me changer les idées. En entrant je vis Touka. Elle travaille aujourd'hui. En me voyant elle me fît un sourire. Je lui rendis.
-tu veux quelque chose à boire ? -je veux bien un verre d'eau s'il te plaît.
Elle s'assit devant moi en me donnant le verre.
-alors comme ça tu travailles au CCG ?
J'étais à deux doigts de m'étouffer. C'était sûrement Ken qui lui a dit.
-ça va ?! -heu..o-oui ça va, merci. -Ken m'a raconté qu'il était déçu du fait que tu travailles avec nos ennemis. -... -Il ne t'en veux pas pour autant. -vraiment ? -tu es sa petite sœur chérie, comment pourrait-il t'en vouloir ? Me dit-elle avec un sourire aux lèvres.
J'étais rassurée mais je ne n'osais toujours pas parler à mon frère.
-je penses que je vais y aller il se fait tard. -d'accord, bonne soirée, belle sœur.
"Belle sœur" ? Elle a de la fièvre? La Touka que je connais ne m'aurais sûrement jamais appelé comme ça.. En deux ans tout le monde à bien changer à ce que je vois.
Une fois rentrée chez moi je fît ma routine du soir. Dans mon lit je ne faisais que de repenser à ce qu'il s'est passé aujourd'hui. Juzo m'avait vraiment crier dessus ? Bon, il faut que je dorme demain je travaille aussi.. Je m'endormis avec difficultés, la voix de Juzo raisonnait dans ma tête. Je suis vraiment folle de lui.. J'imagine que ce n'est guère réciproque.
Le lendemain à 7h30
J'étais prête à sortir. Une fois dehors sur le chemin du bureau je vis la boulangerie préféré de Juzo. J'y suis entrée et lui ai acheté des sucreries. Ça me donna un peu de retard mais c'est pour la bonne cause !
Lorsque je franchis la porte du bureau tout le monde était là, ils se levait tous pour m'accueillir. Je les salua et je partis m'assoir près de Juzo. Il Fuyait mon regard encore une fois. Je sorties les sucreries de mes poches et l'es lui mis dans les bras. Il me regarda étonné.
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Je lui fis un sourire. Il était trop mignon ! Il me remercia toujours l'air étonné. J'avais envie de le prendre dans mes bras, on aurait dit un enfant avec sa bouille.. Pendant un moment j'ai eu l'impression d'avoir retrouvé un côté de l'ancien Juzo. J'étais rassuré de savoir qu'il reste encore une partie de cette personne que j'aime tant. Il n'avait plus l'air en colère à propos d'hier alors j'étais soulagée.
Je le regardais travailler tout en mangeant les sucreries.
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Tout le long de la journée j'essayais de faire en sorte qu'il me pardonne. Mais j'essayais surtout de faire réapparaître l'enfant qu'il y a en lui. Je devais paraître très collante quand j'y repense. À la fin de la journée comme à son habitude il s'assoit devant le CCG. Je m'assieds encore à ses côtés. Cette fois il ne me regardait pas mal.
-Juzo ? -hm. -je voulais m'excuser pour hier.. -... -je sais comment tu considérait Monsieur Shinohara et je sais aussi que ça à dû et ça doit être très difficile pour toi..
Son regard s'assombrit à nouveau et il me dit :
-pourquoi tu dis ça comme si il était mort.. Il est en vie (t/p). Je le vois tous les jours, il me dit bonjour et- -Juzo... Il n'est pas avec toi.
J'avais oublié que Juzo est schizophrène.. Je ne veux pas lui rappeler sa maladie alors je lui dis juste qu'il le reverra peut-être bientôt mais que pour l'instant il est entrain de se faire soigner. Il avait l'air très bouleversé. Il avait les larmes aux yeux je le voyais se retenir de pleurer.
-hé ! Tu as le droit de pleurer ! Tu ne peux et ne pourras pas toujours cacher tes sentiments Juzo. Je sais que c'est dur mais je te promet de ne jamais t'abandonner, je serais toujours là pour toi ! Désormais je ne te cacherais plus rien tu peux en être sûr, je ne referais pas la même erreur deux fois.
Je vis ses larmes couler, je le pris dans mes bras et le sentais serré mon t-shirt, je mis ma main dans ses cheveux et le caressa comme un enfant. Je ne supporte pas de le voir dans cet état.
-tu veux qu'on aille se promener ?
Il releva sa tête et lâcha mon t-shirt. On était trop proche je suppose que j'étais devenue toute rouge. Il fît oui avec sa tête et on se leva pour aller marcher.
