Avant tout je tiens à préciser que cette histoire n'a absolument aucun sens alors laisser votre cerveau de côté.
Excusez les fautes d'orthographes !
C'est ma toute première histoire alors je vous demanderai d'être indulgent.
J'ai beaucoup d'inspira...
Deux jours passèrent et c'était redevenus le froid entre Juzo et moi. C'est fous c'qu'on fait que de se faire la gueule ! Aujourd'hui un "nouveau" allait arriver. Il s'appelle Sasaki Haise. Il sera formé dans mon escouade. C'est aussi une Ghoul Borgne.
Quelqu'un toquât à la porte. J'imagine que c'est lui. L'inspecteur Amon ouvrît la porte et lui serra la main en lui souhaitant la bienvenue. Je ne voyais pas bien son visage, il entra complètement dans la salle et je resta sous le choque en le voyant.
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C'était mon imbécile de frère ! Il s'est teint les cheveux dans l'espoir qu'on ne le reconnaissent pas, il est idiot ou quoi ? Puis les autres inspecteurs sont tout aussi débile que lui ! Comment font-ils pour ne pas le reconnaître ?
Je lui jeta un regard plus que noir. Pendant toute l'heure je le fixait. Il jouait un rôle et sincèrement il le jouait très bien. Lorsque tous le monde se rendit à leurs occupations je le pris violemment par la main et l'emmena dans un endroit isolé.
-à quoi tu joues Ken ?! -je veux juste retrouver ma fille, elle est le seul membre de ma famille qu'il me reste !
Le seul membre de sa famille qu'il lui reste ?.... Et moi alors je représente quoi pour lui ? Peut-être qu'au finale je n'ai plus de famille moi aussi. Mon cœur me faisait mal, mais pas comme lorsque l'ont à envie de vomir.. Qu'est-ce que lui ai fait ? Pourquoi il me parle comme si je n'étais qu'une amie ou une connaissance ?
Je partît le regard vers le sol et le visage neutre. À partir de maintenant je n'ai plus de famille. Et je devais faire équipe avec un traitre. J'avais envie de le dénoncer mais si je le faisais je serrais aussi dans la merde ! Je le déteste !
Cet(te) après-midi je formais mes "élèves". Il n'était pas agités pour une fois. Saiko, Ginshi, Mutsuki et Urie eux s'occupaient de "Sasaki"
Les mois passèrent et nous étions finalement en Décembre. Ken n'avait toujours pas récupéré Ichika et je ne savais pas si il avait une idée derrière la tête ou non. C'était quand même étrange, il souhaite travailler avec les personnes qui ont tué sa femme et veulent transformer son gosse en arme.. Personnellement je ne lui fais pas confiance il mijote forcément quelque chose ! Je ne veux pas que mes amis y passent alors je compte bien l'empêcher de foutre le bordel.
Aujourd'hui c'est le réveillon et il nous a invité chez lui pour le fêter. Il a aussi déménagé, il m'a donné une nouvelle adresse. Il est vraiment intelligent, si il serait rester dans la même baraque qu'avant les inspecteurs auraient remarqué que c'était lui.
Le soir je me rendis chez lui. Je vis la moitié du bureau chez lui. Il m'invita à m'asseoir ce que je fis. Je me sentais vraiment mal à l'aise en le voyant, il souriait tout le temps, ça me faisait vraiment peur..
Devant moi il y avait Juzo, Saiko et "sasaki". Derrière eux Akira et Mutsuki qui décoraient le sapin et Ginshi et Urie qui se., heum bagarrait ?
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Juzo était entrain de tout manger, il n'attend vraiment personne. J'avais passé un assez bon moment, Juzo n'avait plus l'air de me tirer la tête et ont riaient ensembles. Ginshi et Urie se querellaient tout le long mais à force ont s'est habitués alors personne ne réagissait.
Ken, enfin Sasaki nous avait proposé de dormir chez lui. Là ça devenait vraiment louche. Ça se trouve il compte tous nous tuer pendant nôtre sommeil.. Non, faut que j'arrête d'être pessimiste. Il ne voulait peut-être pas qu'ont rentre dans ce froid chez nous. Les autres avaient tous acceptés, moi je n'avais rien dis alors ils se tournèrent tous en ma direction en attendant une réponse. Je fis "oui" de la tête avec un sourire absolument pas serein. Une chose est sûre, je n'allais pas réussir à m'endormir ce soir.
On s'était tous installés et nous parlions de tout et de rien. Juzo s'était limite allongé sur moi. Je n'ose pas imaginer la tête que je tirais à ce moment-là. À force de parler tout le monde s'était endormi. Moi j'avais les yeux fermés mais je ne dormais pas vraiment. Soudain j'entendis un bruit. J'ouvris les yeux mais logiquement dans le noir, je ne voyais rien.
