- CHAPITRE 20 -

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LES CASSETTES VIDEOS

Il s'écoula une journée depuis notre discussion avec les garçons. Je n'avais pas dormi de la nuit, j'étais rester éveiller sur le canapé, j'avais mon casque sur les oreilles et j'écoutais des musiques de piano, de mélodie sans parole. Je n'avais pas bougé depuis des heures. J'étais dans l'obscurité mais j'assistais au lever du soleil. Petit à petit la pièce s'éclairait. Vers neuve heure Klaus et Ben entrèrent dans le salon.

- T/P ? Qu'est-ce que tu fais encore là ?

- Il est quelle heure ?

- Bientôt neuve heure. Ne me dis pas que tu es resté ici depuis qu'on est partit dormir avec Ben hier soir ?

- Peut-être. Je n'ai pas vu le temps passé.

Klaus et Ben me dévisagèrent.

- Bon du coup je vais dormir, bonne nuit les gars.

Je partis me coucher. Je dormis quelques heures.

- Eh tu dors encore ?

- Salut Allison, tu vas bien ?

- Oui. Suis-moi. Je dois vous montrer quelques choses à Luther et toi.

Nous rentrâmes dans une pièce et vis de vieilles télés un peu partout sur les murs.

- C'est quoi cet endroit ? Nous interrogea-Luther.

- Pogo m'a montré cette chambre, c'est des cassettes de nous petits, il y a toute une collection.

- C'est flippant.

- C'est le cas de le dire Mais le plus flippant c'est ça, Allison lança une cassette et nous la regardâmes.

- Ce n'est pas vrai. C'est

- Maman, me coupa Luther.

- Maman, n'a pas pu le tuer. Si ? Sur la vidéo, on pouvait voir Grace pencher sur Reginald, et quitter la pièce.

Luther s'assis dans le fauteuil et pris sa tête entre ses mains.

- Elle l'a tué.

- Non, ce n'est pas possible.

- Allison, on le voit sur la vidéo.

- Plus qu'à lui demander.

- Ça sera sans moi, je n'ai pas dormi de la nuit, je suis crevé.

- Ok, repose-toi.

Je sortis, et je le vis, debout dans le couloir.

- Tu dois dormir T/P, ne pense plus à, moi.

C'était Cinq. Allison avait raison, il sortait de mon imagination.

- Cinq ! Casse-toi !

- Je te manque ?

- La ferme !

Je pris ma tête dans mes mains, il continuait de me parler, je me mis sur les genoux, Allison et Luther sortit de la salle avec les télés. Ils vinrent près de moi.

- T/P ?

- Dis-lui de se taire !

Cinq se mis à hurler. Je criais de douleur. Juste après je m'évanouissais. Je me réveillais quelques minutes après. Allison me tenait la main.

- Il est partit ?

- De qui ?

- Cinq.

- C'est dans ta tête T/P, je pense que tu ne vas pas si bien que ça.

- Je sais Je pouffais.

- Allez, on va voir maman.

- Je préférais allez me reposer dans le canapé si vous n'avez pas besoin de mon aide.

- Oui, ne t'en fais pas.

Je partis me poser dans le canapé. Je pris le plaid et remis mon casque. Je m'allongeais. Je comptais jusqu'à cent pour m'aider à m'endormir mais ça ne fonctionna pas alors je poussais jusqu'à mille. Puis de mille à zéro. Je finis par m'endormir. Je rêvais de la Commission. Des cours que me donnait une collègue à ma mère. Je me voyais également dans notre glacier préféré en compagnie de ma mère. Je me baladais dans la Commission, allais de pièce en pièce, dans la salle des mallettes, je partis dans ma chambre, elle était dans les appartements de la Commission au dénier étage. Je m'installais à mon bureau et j'écrivais une lettre, mais je ne savais pas ce que j'étais en train d'écrire.

- Réveille-toi

J'ouvris les yeux.

- Maman ?!

- N'aie pas peur. Je suis venue te rendre visite.

- Vraiment ?!

Elle mit sa main sur mon visage et je me réveillai en sursaut. Je venais de faire un rêve où je me réveillais dans le rêve. Et si Allison disait vraie. J'entends des voix et je vois des choses qui n'existe pas. Depuis le départ de Cinq, je déraillais.

- Encore sur le canapé !

- Oui.

- Ça ne va pas ?

- J'ai rêvé de ma mère.

- Grace ?

- Non. Celle avec qui j'ai grandis. C'est bête même si elle m'a mis dans cette école, j'ai vécu les meilleurs moments de ma vie avec elle.

Ben vint s'assoir à côté de moi.

- C'est normal, tu l'aimes, et elle te manque.

- Oui, ça va bientôt faire deux ans que je ne l'ai pas vu.

- Et tu ne veux pas la revoir ?

- Je ne sais pas où elle se trouve. L'endroit où j'ai grandi est immense et je ne suis pas vraiment sortit de cette endroit.

- Ah. Si je peux faire quelque chose pour toi.

- Si tu veux bien m'apporter un pull.

- Il est où ?

- Dans l'armoire de Cinq

- Je reviens.

- Merci Ben.

Il revint juste après et je changeais de pull. Ben me saluait et repartit et je remis mon casque.

SUPER ELECTRICOù les histoires vivent. Découvrez maintenant