- CHAPITRE 28 -

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LA MORT N'EST PAS PASSE LOIN

- On fait quoi maintenant ? Demandais-je.

Nous étions en voiture, nous étions tous soucieux. J'avais ma tête posée sur l'épaule de Cinq et il me caressait les cheveux.

- Je Je ne sais pas. Dit Alison. Vanya ne veut pas nous écouter.

- Vous pensez vraiment qu'elle pourrait avoir des pouvoirs ?

- Je ne sais pas. Je n'en sais rien.

Nous rentrâmes à l'académie. Diego et Lila arrivèrent.

- Mais vous étiez où putain ?

- Chez Léonard.

- Ce n'était pas chez lui. Dis-je. Ce n'était pas la même maison que celle où se trouvait le grenier flippant.

- Mais il est bientôt vingt-trois heure ! Pourquoi rentré si tard ?

- Calme toi Lila. La maison était juste très loin.

Je montais et partis prendre ma douche. Demain il ne nous resterait que seulement soixante-douze heures pour sauver les mondes. Je me lavais les cheveux, pris un nouveau pyjama. Quitte à navoir plus que trois nuits autant bien les passer. Je sortis de la salle de bain, mes cheveux étaient encore mouillés, ils laissèrent une trace d'eau en haut de mon t-shirt. Je descendais les escaliers et allais dans la cuisine, Ben était là. Je me fis une tasse de lait chaud avec du chocolat en poudre. Pendant que le micro-onde tournait je discutais avec Ben.

- Sincèrement tu penses que Vanya pourrait avoir des pouvoirs ?

- Pas la moindre idée.

On sassit à table.

- Quand vous étiez petit vous n'avez rien remarqué de bizarre avec elle ?

- Je me souviens que vers nos quatre, cinq ans, Vanya était malade et devait rester dans la pièce du sous-sol, celle où Luther t'avait enfermé le deuxième jour.

- Pendant combien de temps ?

- Je ne sais plus exactement mais je dirais autour de trois mois.

- Oh mon dieu C'est horrible.

- Le plus étrange c'est que papa ne nous a jamais dit ce qu'elle avait comme maladie.

- Tu penses que ?

- Oui, je pense bien qu'elle n'est pas quordinaire, mais pourquoi papa lui aurait caché ses pouvoirs ?

- Imagine qu'ils soient plus puissants que ce que l'on pense. Cela serait une raison de lui cacher la vérité.

- C'est une hypothèse. Bon ton lait est prêt. Je te laisse je vais vérifier ce que fait Klaus, ça fait trop longtemps qu'il est seul.

J'eu un léger rire.

- Bonne nuit Ben.

- Bonne nuit.

Il me prit dans ses bras et il partit. Cinq vint dans la cuisine.

- Tu sais s'il nous reste du café.

- Tu en veux un maintenant ?

- Oui.

- Mais il est bientôt minuit. Tu ne vas jamais réussir à tendormir.

- Tu crois ?

- Oui, tient prends ça. Je lui tendis ma tasse.

- Mais c'est la tienne.

- Ça prend trente secondes à faire.

Je sortis une tasse et refis un lait chaud. Une fois prêt je le pris et nous retournâmes dans notre chambre. Nous n'avions toujours pas réparé le mur. Je pris mon feutre et fis une croix sur le Vendredi 29 mars. Plusieurs jours sétaient écoulés sans qu'on ne puisse rien faire pour l'avenir du monde.

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