Dangerous Zayn // z.m

Chapitre 18

Z A Y N

Mes yeux comme mon cerveau n'en revenaient pas. Comment une chose pareille est-elle possible ? Je veux dire cette fille et moi, on se connaissait avant ? Wouah. Je n'ai pas de mot mais la seule chose que je peux ressentir c'est une sorte de colère envers ma mère qui m'a caché ça. Pourquoi ? Je sortis la photo de son emplacement et la rangea dans ma poche. Je vais avoir des explications avec ma mère.

**

L'heure était pour moi de réveiller ma mère et par la même occasion, obtenir des réponses à toutes mes questions. Je me dirigeai vers sa porte de chambre quand celle-ci s'ouvrit à la volée sur mon putain de beau-père. Mon jour de chance.

"Qu'est-ce tu veux, toi ?" me demanda-t-il avec sa voix rauque et sale.

Il mériterait que je lui foute mon poing dans son visage. Non encore mieux que je le défigure pour qu'il finisse enterré dans le jardin. Je parie que même en Enfer, ils ne voudraient pas de lui.

"C'est pas tes affaires."

"Si, puisque t'es devant ma chambre."

Il s'était rapproché de moi avec son air supérieure comme s'il voulait me défier.

"Je ne pense pas que cette chambre était le tienne avant que tu arrives ici, alors laisse moi passer." dis-je en essayant d'entrer mais il me repoussa fortement.

Il essayait par tous les moyens possible de m'emmerder et il mettait mes nerfs à vif à chaque confrontation.

"Je ne te le redirai pas une fois."

"Et moi donc." dis-je entre les dents.

J'étais sur le point de me frapper quand ma mère débarqua de derrière mon beau-père, encore endormi et décoiffé alors je me ravisa. Ça c'est plutôt un bon réveil.

"Qu'est-ce qui vous prend à parler si fort ? Vous voulez réveiller tout le quartier ?"

"Et bien, tu vois j'étais venu pour te réveiller mais ce trou du cul m'en a empêcher." expliquai-je gentiment à ma mère en regardant mon beau-père.

Je pouvais voir qu'il s'était raidi après l'appellation que je lui avait donné. Connard.

"Ne t'ai-je pas dit d'arrêter de l'appeler comme ça ?" Elle me lança un de ces regards d'avertissement auquel je soupirai fortement. "Mais merci quand même de m'avoir réveillé, au moins je n'aurai pas besoin qu'on me traîne du lit."

Elle se dirigea dans la chambre pour surement se préparer.

"Mais où vas-tu ?" demanda mon beau-père en fronçant les sourcils.

"Je dîne chez une amie ce soir, si ça te dit tu peux te joindre à nous." dit-elle depuis la salle de bains.