La blague du siècle

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Une fois de retour à Poudlard, Harry alla voir Peeves comme promis et ils concoctèrent un plan pour que Poudlard se souvienne pour toujours de la prochaine blague qu'ils feraient.

Peeves: Je sens qu'on va bien s'amuser.

Harry: Sa c'est clair. Bon je vais te laisser, je dois retrouver mes amis et commencer à préparer tout ce qu'il faut.

Peeves: Pas de soucis, préviens moi quand tout sera prêt.

Harry monta ensuite vers la tour de Gryffondor ou il retrouva Hermione et Amélia qui était assises sur un des canapés.

Hermione: Je peut savoir ou est ce que tu étais passer?

Harry: Bien sûr, j'étais parti tenir ma promesse envers Peeves.

Amélia: Tu aurais pu me prévenir. Je serais venu avec toi.

Harry: Ne t'inquiètes pas, avec ce qu'on a prévu, vous allez tous être mort de rire.

Il s'installa à la place d'Hermione qui se mit sur ses genoux en posant sa tête sur son torse.

Hermione: Moi, tant que tu penses à moi tout me va.

Harry: Je j'arrêterai jamais de penser à toi. Tu es trop importante pour ça.

Ron qui arriva: Alors, avec ça vous n'êtes pas en couple hein?

Harry: Bien sûr que si, mais qui t'a dit qu'on l'était quand tu nous le disait. Maintenant si tu pouvais dégager, sa nous ferait du bien.

Amélia: A moins qu'il ne veuille rejoindre son mentor de merde en taule.

Ron: Comment ça?

Hermione: Ah c'est vrai tu n'es pas encore au courant. Ton cher Dumbledore à fait un truc de trop et on l'a envoyer en prison. Il devrait être juger dans quelques jours.

Ron: Bof, de toute façon il sera vite libre.

Harry: Je n'en serait pas si sûr. Tu verras bien mais, si tu veux le rejoindre, demande nous et on s'arrangera.

Ron parti en fulminant de rage.
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Le lendemain, la blague était prête et Harry avait mis Hermione et Amélia au courant de ce qu'il avait prévu.

Ils étaient dans la grande salle en train de prendre leur déjeuner quand Peeves apparu et se mit devant le pupitre du directeur.

Peeves: Salut les nazes, aujourd'hui je me suis allié aux revancheurs pour une petite blague dont vous vous souviendrai très longtemps.

Sa phrase finie, Ron, Ginny et Malefoy furent transporter par les airs devant tout le monde et durent chanter des chansons paillardes pendant que leurs vêtements se transformaient en de toutes petites jupes et des hauts courts rose fluo et des queues de licornes apparurent.

Une fois qu'ils eurent chanter une dizaine de chansons, des chaînes apparurent et ils furent attacher dans les airs en plus d'avoir été forcer à boire du veritaserum modifiée pour qu'ils disent la vérité que la personne qui pose les questions veuille entendre.

Peeves se mit devant eux et leur posa plusieurs questions très embarrassantes préparées à l'avance.

Peeves: Êtes vous des gros crétins?

R/G/M: Oui bien sûr.

Peeves: Êtes vous trop stupides pour penser par vous même au point de suivre soit un vieux fou glucosé, soit un hideux aux fentes de nez?

R/G/M: Oui, c'est le cas.

Peeves: Êtes vous amoureux de quelqu'un qui est accrocher avec vous en ce moment?

R/G/M: Oui.

Peeves: Et de qui s'agit-il?

R/G: Malefoy.

Malefoy: La Weaslette.

Peeves: Très bien, ce sera tout pour moi.

La potion arrêta de faire effet et les trois compères rougirent de honte mais aussi de rage, pendant que des lettres dorées apparurent pour que tout le monde les voit: Les revancheurs et Peeves vous remercie pour ce début de blague. Passons à la deuxième partie qui concerne tout le monde.

Une fois que tout le monde eu lu la phrase, un tremblement se fit ressentir dans tout le château et en regardant par les fenêtres, les élèves et les professeurs virent que Poudlard entier, c'était élever dans les airs grâce à des feux d'artifices et des hélices d'hélicoptère géante, le tout aider par la magie. Ensuite, toutes les personnes présentes, durent se lever et courir dans leurs dortoirs le plus rapidement possible, car leurs vêtements étaient en train de devenir très lentement invisibles. Malheureusement pour les deux Weasley  et Malefoy qui étaient toujours attachés, personne ne pensa à les détacher.

Quelques heures plus tard, tout était revenu à la normale et des rires pouvaient encore se faire entendre dans tout le château. Les élèves et les professeurs se rendirent de nouveau dans la grande salle ou les trois compères étaient toujours attachés et les rires redoublèrent en voyant que leurs vêtements avaient été échangés et que leurs peaux étaient aux couleurs de la maison adverse.

McGonagall décida de les détacher au moment ou des lettres d'or apparurent de nouveau: Les revancheurs et Peeves vous souhaite une agréable journée.

Hermione chuchota à Harry: Tu sais que je t'aime toi.

Harry: Bien sûr. Mais pas autant que moi je t'aime.

Ils s'embrassèrent pour la première fois depuis le bal en public, ce qui fit que des sifflements et des cris se firent entendre dans toute la salle, officialisant leur couple dans toute l'école.

Les traîtresWhere stories live. Discover now