Notre voyage à Paris. { Mini Fic Larry Stylinson }

Chapitre 4

"Les questions que je me pose se confondent avec le rêve de ma réalité."

(Happy - Pharrell Williams)

- BECAUSE I'M HAPPY !! EH EH EH I'M HAPPYYYY !!

Je ne peux m'empêcher de rire face à l'image que Louis me donne, il est dans la salle de bain, la porte est ouverte, il se brosse les dents et il est encore en boxer, et depuis que la chanson Happy se fait entendre à travers mon téléphone, il s'est mis à danser et chanter avec la brosse à dents dans la bouche.

Il se déhanche au même rythme que la musique en levant parfois ses bras vers le plafond et parfois même en claquant des doigts ou en tapant dans ses mains.

Et le voir comme ça dans cette euphorie qu'une simple chanson a pu lui créer, le voir aussi heureux, joyeux et lumineux.

Ça me rend moi aussi heureux, parce que, que je le veuille ou non, mon cœur s'est laissé fondre pour cet être, il s'est laissé battre pour lui, alors le voir heureux me rends moi aussi heureux.

- CLAP ALONG IF YOU KNOW WHAT HAPPINESS IS TO YOU !!!
Il se rince la bouche toujours en se déhanchant, mais il se fait interrompre lorsque mon téléphone se met à sonner et donc à couper la musique.

Je me retourne sur le ventre en l'attrapant pour regarder qui ça peut bien être, et un sourire fend mes lèvres lorsque je vois la source de cet appel.

- Qui ose m'interrompre ?!

- Tu devrais te calmer Lou, c'est ma mère sûrement accompagnée de la tienne. Je rigole en secouant la tête et en décrochant lançant l'option face time.

Ma mère apparaît très vite aux côtés de Johanna, la maman de Louis, toutes les deux le sourire aux lèvres.

- Coucou Maman ! Salut Jo' !

- COUCOU MAMAN !! BONJOUR ANNE !

Louis salut nos mères en venant s'allonger sur mon dos dans un sot.

- Lou, tu m'écrases !

- Chut écoute ce que nos mères ont à nous dire !

Il croise ses bras sur mes épaules en mettant sa tête dessus, pendant que les miens sont devant nous avec le téléphone pour que nos mères puissent nous voir.

- J'espère que mon fils ne t'embête pas trop Harry ?

- Bien sûr que non je suis sage comme une image ! N'est-ce pas Haz ?

Je n'ai pas le temps de répondre, car Louis m'interrompt pour le faire à ma place, je tourne ma tête vers lui en entendant nos mères glousser, il me regarde en papillonnant des yeux un large sourire sur le visage.

Je pouffe en secouant la tête.

- Tu te vends toi-même en faisant cette tête Lou.

Il lève les yeux au ciel puis nous nous re concentrons sur l'appel, il dure pendant plus d'une heure avant que nous finissions par raccrocher.

Elles nous ont principalement appelées pour savoir si nous n'avions pas mis le feu à l'hôtel ou bien si nous étions encore en vie, ou encore si nous ne nous étions pas perdus, elles ont dû nous poser toutes les questions possibles avant que nous ne réussissions à les rassurer complètement.

Louis comme moi, avons toujours eu une relation fusionnelle avec notre mère, tout comme avec notre père, et au fil des années nous avons fini par tisser un lien spécial avec chaque parent de l'un et de l'autre, et je pense que c'est aussi ça qui m'a fait tomber un peu plus pour lui, le fait qu'il s'entende aussi bien avec ma famille et moi avec la sienne, tout comme nos familles entrent elles.