chapitre 1

15 3 5
                                    

J'aurais aimé que mon histoire commence par ce fameux début "il était une fois...", mais ce n'était pas le cas parce que on n'est pas dans un conte pour enfants, ici c'est la réalité. Ma vie était plutôt pas mal, des parents qui m'aimaient, un frère chiant mais présent et un copain qui me trouver magnifique peut importer la situation, c'était parfait, du mois ça l'aurait été si j'avais mis pause à ce moment-là de ma vie mais comme je l'ai dit on n'est ni dans un conte pour enfant, ni dans un film ou tout fini toujours parfaitement bien et pour tout vous dire j'ai horreur de ces films, il donne de l'espoir aux jeunes qui croient que tout ça c'est la vraie vie. Quelqu'un à un jour dit "on ne meurt jamais vierge, on finit toujours par se faire enculé par la vie", Est-ce gars-là avait raison ! Parfois je me dis qu'un mode d'emploi ne serait vraiment pas de refus et je me rappelle que la vie prend plaisir à nous voir lutter alors elle ne se fera certainement pas chier à nous en donner un.

Bref, j'étais à présent dans un avion direction Los Angeles pour faire des études sur la psychologie criminelle et devenir profiler, cette idée me venait d'une série, Criminal minds, faut dire que je suis vraiment un pigeon parce que j'étais vachement influençable mais bon même si on me disant tout le temps que ça finirait mal pour moi, je m'en foutais totalement, ce comportement à tendance à ne pas plaire aux gens mais ça tombe bien parce que dans le fond je ne les aime pas tellement non plus, et si ce n'était pas ma désinvolture qui les déranger, c'était ma façon de penser et mon obsession pour les criminelles qui me perdrait mais pour le coup je pouvais pas les contredire, parce que si j'en voyais un c'était sûr que j'allais aller vers lui, c'était comme une obligation, les gens pensais que j'étais folle et au final c'est peut-être le cas.

J'étais enfin arrivée à mon appart, bon je m'étais certes perdu 3 fois mais faut dire que c'est une grande ville aussi, heureusement pour moi que je parle parfaitement anglais parce que sinon j'aurais été super dans la merde.

-bon, bah il faudrait peut-être que je vide mes valises et mes cartons mais d'un autre cotés ça pourrait attendre et je pourrais juste regarder une série, c'est un bon programme je trouve je vais opter pour la série.

Et oui je me parler à moi-même, mais vous inquiéter pas selon certaines personnes ça voulait dire qu'on avait une bonne santé mentale mais si vous voulez mon avis ce gars-là était grave dans le déni et voulais pas admettre d'être complètement timbré.

Il était 3 heures du matin, je me décide d'aller me coucher au risque d'arriver en retard à la fac demain matin, mais bon je savais très bien que j'aller pas dormir, le sommeil et moi on était dans une relation vachement toxique quand même, au bout d'une heure à me retourner dans tous les sens je décide donc de faire nuit blanche et je n'aurais cas espéré que je ne m'endorme pas dans l'amphi... 

l'amour du malWhere stories live. Discover now