Chapitre 4

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Je me réveille et heureusement pour moi je n'ai pas la gueule de bois, j'espérer qu'hier soit un mauvais rêve mais ça ne l'était pas, j'avais belle et bien provoqué un psychopathe en pleine rue, il était grand voire même trop à mon gout, il avait des yeux pétants et le teint basané, et de ce que je me souviens il avait l'air plutôt musclé, y a 0 chance que je m'en sorte si je dois me battre contre lui , je suis définitivement foutue et en plus de m'être mise dans la merde j'ai pris Mathéo avec moi. Je regarde l'heure et il était déjà 9 heures, heureusement qu'on n'avait pas cours aujourd'hui parce que sinon j'étais dans la merde et en retard, bref je décide de m'habiller et de sortir un peu. En me promenant je vois un coiffeur qui avait l'air plutôt pas mal et sa tombe bien parce que je devais refaire ma couleur, je m'y rends donc et une coiffeuse me prend en charge. Après avoir fini, je décide d'envoyer en photo ma nouvelle couleur pour savoir ce qu'il en pensé mais il ne me répondait pas. 

Je suis bientôt au bas de mon immeuble que je sens quelque m'agripper le bas et plaquer sa main sur ma bouche pour que je ne puisse plus crier, et merde, les ennuie commence

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Je suis bientôt au bas de mon immeuble que je sens quelque m'agripper le bas et plaquer sa main sur ma bouche pour que je ne puisse plus crier, et merde, les ennuie commence...

Le gars avait tellement de force que c'est à peine si je pouvais faire un mouvement, en plus ce bâtard m'avait fait monter dans sa voiture et m'avait bandé les yeux et attaché les mains, du coup je ne pouvais que patienter jusqu'au moment où je senti la voiture s'arrêter, la personne qui m'avait vraisemblablement kidnappé, m'a fait descendre de la voiture toujours sans délicatesse et m'avais poussé par terre mais quel bâtard celui-là je vous jure !

Il m'enleva le bandeau que j'avais sur les yeux, j'étais dans une ancienne usine, il y avait plusieurs gars qui n'avaient pas l'air très sympathique et à côté de moi se trouvé Mathéo apeuré, le pauvre je suis tellement désolé pour lui, après quelque minute d'attente, deux personnes rentrent dans l'usine, et l'une de ces deux personnes était notre chère psychopathe, et le deuxième était un rouquin aux yeux vert gris, il était lui aussi très grand, et il fixait Mathéo pour une quelconque raison.

Le psychopathe se rapprocher de nous, il me regarda et commença à parler " bah alors, on fait moins la maligne maintenant je trouve", il avait terminé sa phrase par un rire sadique, il m'était insupportable mais je vous l'ais dit, si je voyais un psychopathe c'était sûr que j'allais aller vers lui, oui je sais c'est très con mais que voulez-vous c'est plus fort que moi j'y pet rien.

Je ne voulais pas rester là sans rien dire alors je lui posai une question " je peux savoir ce que tu nous veux le débile ?!" oui, je sais, j'allais me mettre encore plus dans la merde mais je voulais voir jusqu'où il était capable d'aller, j'avais besoin de cette dose d'adrénaline pour me sentir vivante parce que sans ça je me sentais seulement vide, avec quelque fois l'apparition de sentiment qui ne durait jamais longtemps. Il sorti un flingue qui était caché sous son t-shirt et le posa sur mon front, le voilà mon grand moment, ce moment où je me sentais vivant et le plus ironique était que pour me sentir vivant je devais être au bord de la mort, je n'étais rien de bien, j'étais la folie incarnée et pourtant à ce moment-là j'eu une once de peur, et s'il tirait ? Alors avoir fui n'aurais servie strictement à rien, avoir donner de l'espoir aux que j'aime et mourir après, ils ne me l'auraient jamais pardonné, je devais changer mais sa mettait impossible, le changement ce n'était que pour les personnes qui le voulais et le mérité et je n'étais aucun des deux, non moi j'étais cassé et je me complaisais dans la douleur qu'elle m'apporter, moi je suis folle je crois, j'ai été trahie, , déçue et inversement, j'ai eu des faux espoirs, des mauvaises espérances, expériences, je suis vide de tout sentiment, et je me crois folle car malgré toutes les merdes qui me sont arrivés, j'ai continué de croire que quelque chose de bien pouvais m'arriver un jour.

Il enleva son visage sérieux pour laisser apparaître un sourire en coins, puis me rétorqua "à toi de me le dire Elisabeth Swann" il rigola à la vue de mon faciès qui venait d'afficher un mélange d'incompréhension et de peur, comme pouvait-il savoir ça, il continua à me parler " dit moi, petite Swann, qu'est-ce que tu viens foutre ici, à Los Angeles ?"

L'envie de lui répondre ne me plaisant pas mais on peut dire que le flingue sur ma tête lui était plus convaincant, " je suis venue pour faire des études et voyager" j'avais répondu d'un ton sec, qui j'espère ne laisser pas percevoir le peu de peur que j'avais.

" Ce n'est pas beau de mentir, petite Swann", j'ai horreur qu'il m'appelle petite, sérieusement je suis dans la moyenne, enfin je crois, il continua sa phrase " tu n'es pas ici plutôt pour éviter une accusation de meurtre, et en plus de ça t'es une voleuse" mon visage venais de se décomposé, connaître mon nom c'est une chose mais ça s'en était une autre, comment il avait eu ses infos, elles étaient classées secrète, elle aurait jamais dû sortir de leur foutue cachette et bien évidement lui il rigoler comme un con tandis que Mathéo me regardé un peu effraye ne sachant pas si tout cela était vrai ou faux, bien évidemment c'était faux, j'ai même était déclaré innocente mais ça peut de gens le savait.

Alors pour clarifier les choses je lui répondis, " c'est une des raisons c'est vrai, mais je suis totalement innocente, je n'ai jamais tué personne, j'ai même été innocenté donc tu n'as pas à la ramené avec ça, surtout que rien de tout ça ne te regarde alors mêle toi de ton cul tu veux"

" Et quelles étaient les autres raisons du coup" me demanda-t-il

" t'as pas entendue, je t'ai dit de te mêler de tes affaires !", il commencé à sérieusement m'agacé celui-là

Mathéo intervenait dans notre discussion, enfin si on pouvait appeler sa comme ça, " t'as vraiment tué personne Beth ?" il était effrayé, je le comprends si j'apprenais que ma pote était accusée de meurtre je le serais peut-être aussi ou je l'aurais aidé à cacher le corps, ça dépend de qui est le pote en question.

Alors bien évidement je lui répondis " non, bien sûr que non, je n'aurais jamais fait ça"

Il continua " alors il c'est passer quoi beth, pourquoi tu as été accusé ?" sa vois tremblé par la peur qui le submergé mais je ne pouvais pas lui répondre, en parler voulait dire que je devais le revivre, et que c'était bien arrivé et le dénie malheureux soit-il, été d'un confort extrême, alors j'ai préféré garder le silence face à cette question.

" alors tu ne veux vraiment pas répondre hein" ce psychopathe venait de dire ça sur un ton tellement calme et pourtant dans son regard se trouve une tempête de colère, et avant que je n'aie pu dire quoi que ce soit, ce connard avait sa main poser sur mon cou et d'un coup il commença à m'étrangler, je n'arriver plus à respirer et de mes yeux, des larmes commença à perler, c'est ironique quand on y pense, une perle est quelque que chose de magnifique et brillant, lorsque l'on en voie une, on la récupère et on en fait un bijou ou on la garde précieusement, alors pourquoi avoir donner ce nom pour qualifier quelque chose qui nous détruit, quelque chose qu'on ne veut et duquel on veut se débarrassé, heureusement pour moi quelqu'un était intervenue et cette personne était l'ami qui accompagné l'autre psychopathe.

"William lâche là tout de suite tu vas la tuer ! " à cette remarque le psychopathe qui apparemment se prénomme William, venait de me lâcher, je pu enfin retrouver la joie de respirer.

" Et alors Chris, ce n'est pas si grave si elle meurt " il avait dit ça comme si pour lui ce n'était qu'un jeu, il était totalement cinglé, ils nous laissèrent partir sous prétexte qu'ils avaient du travail, donc Mathéo et moi nous avions pu être libérer et rentrer chez nous mais William nous avait spécifié que ce n'était pas la dernière fois qu'on nous allions les revoir. Après ça, Mathéo m'a pris dans ces bras, il en avait besoin et il pleurait tellement il avait eu peur, il m'a expliqué qu'il me croyait et que je n'avais pas besoin d'expliqué quoi que ce soit sur l'histoire de l'accusation de meurtre si je n'avais pas envie et qu'il attendrait jusqu'au jour où je serais prête. J'étais contente qu'il ne me force pas.      

l'amour du malOù les histoires vivent. Découvrez maintenant