Chapitre 5

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J'étais enfin de retour dans mon appartement, il n'était pas hyper grand mais ça me suffisait largement, mais lorsque j'eu passa la porte, elle était là par terre inerte, elle ne bouger plus, alors je laissai tomber toutes mes affaires sur le sol et me précipitai vers elle. Elle était en train de se vider son sang et la laisse chose que j'étais capable de faire était d'appeler une ambulance et attendre, mais la voir comme ça m'était insupportable, je l'ai prise dans mes bras et avec ma veste j'appuyais sur sa blessure en espérant que ça la sauverait mais je sentais son sang se déverser sur moi malgré tout, j'étais en pleure et je lui hurlé dessus, " ne me laisse pas toute seule, j'ai besoin de toi s'il te plaît, meurt pas, je te 'l'interdit, TU M'ENTENDS JE T'INDERDIT DE MOURIR, pas là, pas maintenant, je pourrais pas vivre sans toi", je ne pouvais retenir aucune de mes larmes, à ce moment je savais déjà qu'il était trop tard et que personne ne pourrais la sauver alors dans son dernier soupire, la seule chose que je pu me résigner à faire était de la serré dans mes bras un peu plus fort et lui montrer qu'elle n'était pas seule et qu'elle n'avait pas à avoir peur, quant à moi j'en voulais à la personne qui l'avais assassiné, mais il était pas le seul fautif peut-être que si j'avais répondu au téléphone plutôt, peut-être aurais-je pu la sauver mais il était trop tard maintenant et je devais vivre avec ça, alors dans un élan de colère je m'étais mise à hurler.

C'est en sursaut et en sueur que je me réveillai à 3 heures du matin, cela faisait longtemps que je n'avais pas rêver de ça, c'était certainement dû au fait que l'autre connard de psychopathe m'en avais reparler, je sais que c'était mal mais j'essayer de l'oublier mais au fond je le savais dès le début, dès que j'ai commencé à l'aimer qu'elle ne serait pas facile à oublier, cette fille elle était inoubliable et son absence était la condition de toute mon existence. Son absence cruelle a son charme, comme la goutte d'eau qui se trouve dans le ciel, un bonheur immatériel tiens quelque fois dans une larme, quand j'étais près d'elle encore, je poursuivais encore un rêve, que je ne me pardonnais pas, à présent mes vœux de tendresse n'ont plus de soupir sans objet, un désir vague me rongeait, et un regret défini m'oppresse. L'absence qui fait tant de mal, est souvent une heureuse peine, elle rend à l'amour certain l'attrait fuyant de l'idéal. Je savais que si je souffrais autant c'est parce que je l'avais aimé d'un amour démesurais mais j'avais tellement mal que parfois je me surprenais à vouloir perdre la mémoire mais je pense que l'oublier serait à jamais la pire des décisions et la plus grande des douleurs parce que chaque jour j'aurais eu à sentir un immense vide dont je ne connaîtrais pas la raison.

Après ce fabuleux cauchemar je décide d'aller me doucher et de ranger tout mon appart, j'essaie de faire le moins de bruits possible au risque de réveiller les voisins que à mon avis ne seront pas content vue qu'il est 3 heures du matin et que nous somme dimanche. Après avoir fini de ranger et de nettoyé chaque recoin de mon appart, je décide de sortir me chercher à manger. J'étais dans un grand magasin que je n'avais jamais vu en France mais on s'en fou l'essentiel c'est qu'il y a à manger. Après être rentré et avoir fini de manger j'appelle Math pour qu'il vienne à mon appart pour pouvoir bosser sur notre travail de groupe, le travail consisté à prendre une maladie psychique et en étudiais ces symptômes, la date de sa découverte, son histoire, comment les gens peuvent le vivre et le traitement qui lui est adapté, je trouvais ça passionnant !

Après quelque minute j'entends quelqu'un sonné, Math venait d'arriver, je l'invite à rentrais puis on s'installe sur le canapé et on commence à discute du travail à faire.

"Je me suis dit, commença Mat, qu'on pourrait prendre la bipolarité comme exemple pour notre travail, t'en pense quoi ?"

"Heu oui, pourquoi pas, bon on s'y met maintenant comme ça on termine assez tôt !"

" Ah oui d'ailleurs y a une fête qui se passe ce soir, c'est dans un parking abandonné réaménager pour faire des fêtes, je sais que la dernière c'est mal passé mais on pourrait tenter notre chance encore une fois tu en dis quoi ?" il papillonné des yeux en disant ça

" Okay je veux bien, mais dis la vérité, c'est quoi la réelle raison ?" j'avais un sourire en coin je suis pratiquement sûr qu'il y a un gars plutôt pas mal dans l'affaire

"Bon ok, c'est mon date qui m'a invité et je ne veux pas y aller seul, on ne sait jamais c'est peut-être un psychopathe !" bingo ! J'avais raison, ça a eu pour effet de me décrocher un rictus.

Bref, on se met rapidement au travail et après 5 de travail acharné on a enfin fini et on pouvait désormais l'envoyer à notre prof. Après l'avoir envoyé nous avons commencé à se préparer pour la fête et j'ai dû essayer au moins une bonne dizaine de tenues pour que Math soit content, alors du coup, je me retrouvé à devoir porter une robe rouge courte qui descendait à 10 centimètres au-dessus de mes genoux et qui avait un énorme décolleté qui mettait en valeur ma poitrine généreuse, je n'aimais pas les robes mais j'aimais bien me faire remarquer, quant à Math il avait mis un top blanc avec un pantalon noir sur lequel se trouver des chaînes et une chemine rouge. Après mettre maquiller, on se décide à partir puisque de toute façon la voiture du plan cul à Math était là, donc on n'avait pas trop le choix, il avait l'air d'être sympa et de ne pas être un psychopathe mais on n'est jamais sûr de rien, les apparences sont trompeuses par moment.

On était arrivé et il y avait énormément de gens et beaucoup d'alcool et de drogue de ce que je voyais, je descendis vers la ou se trouver le plus de gens pour y chercher de l'alcool, et maintenant, j'étais en position d'une bouteille de vodka, d'un bang et d'herbe, pas mal comme soirée, je viendrais plus souvent ! Je mets donc à boire la moitié de la bouteille de vodka et à fumer des "plantes", après quelque heure de beuverie, les mauvaises habitudes reprenaient, c'est-à-dire me coller à tout le monde, flirter avec tout le monde et vouloir me déshabiller, mais je repris un peu mes esprits ce qui me plaisait pas vraiment alors je pris un bang et je suis allé dans un coin tranquille, enfin je penser que ça aller tranquille jusqu'au moment où je sentis quelqu'un derrière moi un couteau poser sur mon cou, j'étais dos à lui mais je savais déjà qui c'était, ce psychopathe, il était partout et nulle part à la fois, un peu comme lui au final.

"Salut petite, je t'ai manqué j'espère ?"

"Ouais, non pas vraiment, mais dis t'as rien d'autre à foutre que me faire chier Willem ?" je le sentis s'énervé au fait que je mettais bien évidement sans faire exprès trompé de prénom

" Alors déjà moi c William et pas Willem comme tu dis et parle un peu mieux parce que pour le moment ce n'est pas moi qui ai un couteau sous la gorge !"

Oups je l'avais vraiment énervé " bah alors Willem, faut pas s'énervé comme ça tu sais, ce n'est pas bon pour le cœur", j'étais entrain de rire face à ma propre arrogance, j'allais causer ma propre perte mais c'était si gratifiant. Il était encore plus énervé et appuyé le couteau encore plus fort sur ma gorge, ce qui me fit saigner, j'adorer la couleur rouge surtout celle du sang !

"Je te ferais perdre, tu ne mourras pas de mes mains mais des tiennes parce que je t'aurais poussé à bout petite" il m'avait susurré ses mots à mes oreilles avec une voix rauque, ce n'était pas une grande nouvelle pour moi, je savais très bien que je serais l'unique cause de ma perte

"Tu veux pas juste t'amuser, genre venir fumer avec moi et arrêté de me faire chier"

" Non, je ne touche pas à cette merde moi"

"Aie, ça fait mal à mon ego", après ça il m'avait laissé seule et quant à moi je suis retourné à la fête pour découvrir que Mathéo m'avait abandonné, je devais donc rentrer toute seule alors qu'il faisait nuit, c'est super ça, j'adore ma vie...

Sur la route du retour, je sentais qu'un groupe de gars me suivait et ma déduction était bonne puisqu'il m'avait isolé dans une ruelle, vous pensez que 1 contre 3 ça passe ? Et bah je suppose que oui et non, j'avais évité le pire même si je venais de me faire tabasser et que ma robe était déchirée mais je me réconforté avec le fait qu'eux aussi avait morfler. En rentrant à mon appart, je me regardais dans le miroir pour constater les dégâts, j'avais mes lèvres en sang, un œil au bord noir et une plaie à mon arcade, des traces de mains sur mes poignets, plusieurs autre bleu étalé sur d'autre partie de mon corps, et des traces de griffure à mes cuisses, mes épaules et mes chevilles, c'était encore une bonne journée pour être une meuf... 

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 26, 2023 ⏰

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