sous ton ombre [Terminé]

Chapitre 11

🌺🥀🌼11- Déjeuné

Ça va bientôt faire une heure que Lilian cherche de quoi vêtir Danys. Celle-ci n'étant d'accord pour presque rien. ET Lilian, femme de vertus qu'elle est, ne montrait à Danys aucun vêtements courts.  Les deux s'en voient vraiment fatiguées à force de chercher rien ne semble les convenir.

- Et cette tenue miss?
- Ah! Épargne moi la vue de cette mocheté ! Cette couleur me donne des remontées.

Elles étaient toujours en train de chercher. Avec Danys Assise au Centre du lit, les pieds repliés en direction de son buste, Et Lilian près de l'armoire, avec un air fatigué et agacé. Quand Ivy entra dans la pièce.

- Ça va bientôt faire quarante cinq minutes que le déjeuner aurait dû être servi.
- Oui et bien peut être que si tu avais daigné me prendre plus de vêtements, on en serait pas là. Et puis Lilian qui m'aide pas du tout ! Criais t'elle presque
- Waouh. On dirait que ma beauté est dur les nerfs. Lilian tu peux disposer. Je m'occupe de tout.
- Bien monsieur. Répondit celle-ci avec un air soulager sur le visage

Lilian pensait que l'humeur de chien de Danys était dû à sa mauvaise période. Mais elle pensait aussi que celle-ci avait compris qu'elle ne l'appréciait guère. Elle était vraiment soulagée de voir qu'elle se comportait ainsi même avec Ivy.

C'est ainsi qu'avant de sortir de la pièce, elle chuchota près d'Ivy afin que lui seul entende qu'elle pensait que Danys était dans sa mauvaise période, d'où sa mauvaise humeur.

Ivy souriait à demi. Il avait compris sur le coup la cause de ses sautes d'humeur et de son langage vénéneux.

Il lui prît donc vite fait un short gris, un débardeur de couleur semblable et un pull long jusqu'à mi-cuisses de couleur blanche. Enfin, des pantoufles à poils blanche.

Le déjeuner se passa plutôt bien. Bien-sûr, si on omettait les crises d'humeur de Danys et ses critiques en ce qui concerne presque tout ce qui se trouvait sur la table. Les repas étaient à son goût tantôt trop sucré, trop salé, trop épicés, pas jolis, et même parfois, ils lui donnaient l'envie de gerber.

Ivy avait dû supporté tout ses caprices non sans une pointe d'amusement sur le visage. Finalement, la seul chose qu'elle avait trouvé à son goût était une salade basique qu'elle n'avait pas tarder à compliquée. Celle-ci était maintenant constituée de laitue, tomate, oignons, oeufs durs, poulet bouilli haché, et de sauce vinaigrette. Ivy était surpris qu'elle mange cela. Mais au moins, elle ne se plaignait pas. Et cela le suffisait.

***

Les coups de poings qu'Ivy adressait à l'encontre de Miguel devenaient de plus en plus violents. ET, les hématomes se formaient sur le visage de celui-ci de plus en plus facilement. tout cela se produisait sous le regard horrifié de Lilian en larmes et d'une bonne partie du personnel.

Danys était profondément endormie, avant de se réveiller en sursaut par les cris à l'extérieur. Jettant un coup d'œil furtif au travers de la fenêtre, elle vît la scène qui se déroulait et dévala les escaliers quatre à quatre jusqu'à l'extérieur.

Surprise que personne ne l'est retint et contrainte à restée à l'intérieur, elle en fût encore plus apeurée. Et c'est nerveuse, pleine d'anxiété qu'elle couru presque jusqu'au lieu du massacre.

Ivy, dans une colère noire, était entrain d'en finir avec la race de Miguel et c'est le mois que l'on pouvait dire. Danys criait son nom afin qu'il daigne enfin lui accorder un regard.

Elle s'approcha de lui et Miguel qui était tombé à même le sol sur les fesses. Et c'est sans trop réfléchir qu'elle posa ses mains sur le torse d'Ivy. Elle le fît dans le but de le calmer. Cela fait, elle commença à le questionné.

- Ivy que c'est t'il passer ?

- Je vais le ... Dit il en guise de réponse et ce, criant à demi.

- Chut. Calmes toi d'accord ? Alors dit moi que se passe t'il ?

- Il disait à ses collègues que tu avait l'air mignonne comme ça et que sans ta tenue, tu étais un aimant à tentation.

- Mais...

- Il leur expliquait comment il t'a espionnée dans ton bain. Danys bon sang ! Il voulait couché avec toi.

Danys baissa ses bras et ce recula quelques peu de lui. Elle n'avait jamais vue une situation aussi immature. Elle le regarda quelques instants avant de déversé son mécontentement. Et ce fût dans un éclat de voix qu'ils échangèrent sur leurs désaccord.

- Oui mais ce n'est qu'un gamin !

- Un gosse tu parles oui! Si j'ai bonne mémoire, il à vingt ans cette année !

- Et moi vingt cinq. Tu penses vraiment que j'allais couchée avec un mec plus jeune que moi ?!

- Et pourquoi pas sainte ni touche ?! Moi j'ai vingt trois ans mais tu as bien couchée avec moi non?!

Danys, choquée par les paroles crues d'Ivy se recula encore un peu plus de lui. Ses yeux reflétait le désarroi. Elle n'avait juste qu'une envie et c'était de disparaitre. Toutefois, son égo pris le dessus. Elle n'allait pas restée bouche bée devant lui. Il fallait qu'elle parle. Qu'elle dise quelque chose n'importe quoi mais pas restée muette.

- Et puisque je couches avec lui où pas, ça ne te regarde pas. Mais Ivy, libère moi. Si tu veux pas, je retournerai pas avec Gaël mais... Être avec toi, c'est pire que tout ! T'es taré ! Bien plus que mon père et le reste de ma famille réunis.

- Ça, c'est de l'exagération. Jamais je ne serais pire qu'eux.

- Putain tu es un enfoiré.

C'est à cet instant qu'Ivy compris l'impact du cinéma qu'il avait occasionné. Plus de la moitié du personnel était là. Et miguel était bien amoché. Comprenant que Danys était la cause de tout ce qui se passait, Lilian lança à cette dernière des regards qui se voulaient assassins. ET surtout, il se rendait compte qu'il avait blessé Danys. Elle s'en allait peut être le traité de tout les noms avec tout les injures de son vocabulaire. Ivy lança un dernier regard à l'encontre de Danys au loin, avant de prendre les devants afin calmer la situation

- Lilian emmène ton fils à l'hôpital et conseille le en ce qui concerne les femmes des autres. Et vous autres, retournez à vos occupations.

Et tous le personnel sauf Miguel, Lilian, et quelques uns des employés mécontents sortirent tous en cœur un «Oui monsieur.» Avant de déserté la cour.