Chapter 11

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PDV: Ariel

Je faisais les cents pas dans la chambre quelque chose n'allait pas, cette même crise de panique refaisait surface. Je n'en pouvais plus. La dernière fois Thaïs m'avait retrouver inconsciente allongé sur le sol. Qu'est ce qui m'arrive, je me sens si mal.Ma gorge était sèche a nouveau ma tête tournait et d'un coup pesait plus d'une tonne. Je me sentais mal dans ma peau,je perdis pied et tomba par terre.

Lorsque je repris connaissance, L'adonis se tenait debout au téléphone faisant des aller retour au pied du lit. Je refermai les yeux en sentant une légère douleur a la poitrine. Il raccrocha et je m'assied sur le lit.
-Comment vous sentez vous? Demanda t il
-J'ai un peu la tête qui tourne, dis je timidement
-On vous prépare quelque chose a manger... Je vous ai trouver par terre en rentrant...
-Je ne sais pas ce qui s'est passé..., en évitant de le regarder
-J'ai prevenu, votre médecin... Vous devez vous nourrir et vous reposez plus souvent.
Me nourrir, peut être, mais me reposer?? Comment lui dire que dès que je ferme les yeux je ne fais que des cauchemards... Je fermai les yeux agacée.
-Thaïs passera vous voir en fin de journée.
-Elle a appeler? Dis je en relevant la tête... Il était en costume, fraichement rasé, ce qui le rajeunissait de dix ans...
-Vous étiez inconsciente...
Je ne dis rien entourant mes jambes de mes bras... Combien de temps Suis je rester inconsciente?... A sa merci?.... Cette pensée m'affola.
-Est ce que cela vous derangerais de voir un psy toutes les trois fois chaque semaine?, lacha t il.
J'essayai de le regarder mais baissa les yeux, l'air continuait a me manquer. Ce costume noir lui allait comme un gant avec sa couleur, et ses cheveux étaient bizarrement coiffer ce qui... Me troublait
-Uniquement si c'est celle de l'autre jour, murmurai je dissipant une grimace.
Il se redressa et reprit
-Bien...
Je respirai a fond puis dis
-Ecoutez... Je Tiens a m'excuser, en tortillant mes doigts timidement, il me met terriblement mal a l'aise.
Il ne dit rien...
-Je... Voulais... Je tenais... A m'excusez... Je..., ne comprenait-il pas que J'essais de me faire pardonnez! Lorsque je levai les yeux il m'observait sans broncher, je crois voir passer l'ombre d'un sourrire, mais je n'en Suis pas sure. Je detournai la tête impuissante ne trouvant pas les mots qu'il fallait
-J'aimerais que vous repreniez votre chambre... Murmurai je regrettant mes paroles
-Et ou Comptez vous allez? Lacha t il après un silence.
-Je... Si vous n'y voyez aucun inconvénient... Je pourrais dormir dans le salon... Ou...
Cette fois j'en Suis sur, il sourrit... Mon Dieu.
-C'est d'accord, je Suis content que vous l'ayez proposé... Vous êtes pardonner.
Quoi? C'est a croire qu'il n'attendait que ça... Après tout c'est bien sa chambre non!
-Mais a l'avenir, ayez la gentillesse de me prevenir de vos plans me concernant.
-Sure... Dit il en sortant de la pièce.
J'expirai doucement. Je sorti maladroitement du lit, je pris mes vêtements, je couvri le miroir du lavabo. Je ne sais pas pourquoi mais mon reflet me fait peur... J'écarte l'idée de me regarder dans un miroir... Je ne veux pas la revoir.... Je me brossai attivement les dents et alla prendre une douche rapide. En revenant dans la chambre un grand plateau était disposé sur la commode. Fruit omelette bacon, salade, verre de jus et du café ainsi que des petits pains sec epicés, j'ai donc l'air si maigre pour m'avoir donner tout ça. Je pris le plateau et alla m'installer sur le balcon sur une chaise et une table argenté qui s'y trouvait face au décor des fleurs d'hibiscus qui contournait les extremités du balcon. L'air était apesant et frais, le soleil était doux et sa chaleur carressante. Ca sentait la vie, la liberté,le bonheur, un recommencement.
Je pris une bouchée de mon omelette encore chaude, et bu une gorgée de ce jus de citron. En peu de temps alors que je rêvais de tout recommencer tout était partie en fumée, de nul part les problèmes etaient survenues, faisant de moi un bouc emissaire. C'est comme ci la vie prenait un malin plaisir a me faire souffrir, qu'ai je donc fait? Méritai je tout ça? Je soupirai redeposant ma fourchette déjà fatigué.
Il faut que j'appelle ma mère. Elle doit terriblement s'inquiéter a mon sujet. Après tout ce temps qui s'était écoulé tellement vite, je me sentais bousculée de tous les côtés. Je sortais a peine d'une pénible relation, me voilà ensuite prostitué... Je fermai les yeux et pris ma tête entre mes mains, sentant un noeud dans ma gorge et les larmes qui coulaient lentement sur mes joues... Je ne ferai plus jamais confiance a qui que ce soit, ils sont tous ignobles et monstrueux, je les déteste!
Petit a petit une rage m'envahissait je pris le verre et l'écrasa contre le sol, cette colère, cette amertume, je n'en pouvais plus lorsque ces images me revenaient en mémoire, ma rage s'accentua, je renversai tout le plateau sur le sol, debordant de larmes. Ma vie était fini, je n'avais plus le droit d'être heureuse, je voulais crier ma detresse, ma désolation... Deux bras ferme enlacèrent ma taille au moment ou je me laissais doucement tomber par terre. Je me débattis de toute mes forces,
-Lâchez moi! Criai je en colère, Lâchez moi...
Il resserra son entreinte et me maitrisa facilement... J'essayai encore de me détacher de lui mais rien n'y fit...
-Je n'en peux plus, je n'en peux plus, repétai je toujours en pleurant désespérément, les membres endoloris et mon âme en peine.
-Calmez vous, vous êtes en sécurité maintenant, dit il de sa voix rauque qui se voulait reconfortante
Je n'allais pas bien, mon coeur était brisé... Je me detachai vivement de lui
-Je vous interdis de me toucher! Je vous préviens... Le menacai je. Sans rien dire il me regarda intensément m'eloigner.
Je me dirrigai dans la chambre contourna le lit et me coucha a même le sol, je pleurai amèrement, jusqu'a ce que le someil s'empara de moi...
Je refis un autre cauchemard, j'étais comme une bête traquée, seul nue abandonnée a mon sort. J'étais encore sur le sol, lorsque je regardai l'ecran de veille, 2 heures. Je pris le verre d'eau sur le chiffonier et m'asseya sur le lit. Mes yeux étaient lourds, j'avais tellement pleuré. Je bu une autre gorgée d'eau. J'avais envie d'aller demander une pillule au dieu grec, mais j'hesite... Je ne voulais pas non plus sortir de cette chambre. Qu'allais je donc faire ce soir? Je soupirai las. J'aurais peut être du en parler a Thaïs, ce sujet est en suspend maintenant, mais il va bien falloir que je quitté cet endroit...
-Ariel?
Sa voix me fit sursauter
-Tout va bien? Demanda Thaïs.
Son petit ventre était adorable, elle était adorable dans sa petite robe verte poire ainsi qu'un chal blanc. Je me levai et la prit dans mes bras. Nous asseyâmes côté a côte sur le lit
-Je vais bien, mentis je
-Tu as déjà eu la visite du medecin? Reprit elle
-Non, de toute façon j'ignore lequel d'entre les deux devrait passer de toute facon.
-Qu'est ce qui ne va pas.
Je soupirai longuement
-J'ai des papiers a l'hôtel qu'il faut que je récupère... J'ai tout laisser la bas, je ne sais pas si je vais les retrouver...
-Tu as disparu pendant trois semaines tu sais.
Je la regardai, son regard semblait detaché
-Je sais...
-A ce sujet... Il y a quelque chose que tu ne me dis pas Ariel.
-Comment ça?
Elle se leva ferma la porte et revînt vers moi
-Lorsque j'ai suspecté ton absence j'ai été dans ta chambre a l'hôtel, pour avoir le coeur net. Je ne savais plus quoi penser, on avait fait des projets ensemble et je ne t'ai pas revu! Je m'inquiétais, donc j'ai été voir... Je ne sais pas j'étais en quête de réponse en tout cas. Donc j'ai fouiller ta chambre, dit elle en s'asseyant en face de moi.
Elle me regarda droit dans les yeux
-Et?? Demandai je
-J'ai trouvé une forte Somme d'argent Ariel, et une lettre de menace.
Je fermai les yeux en me prenant la tête entre les mains. Quel calvaire.
-Dans quoi tu t'es mis Ariel? D'ou vient cet argent.
Je ne repondis pas... Je ne pouvais pas
-Ecoute tu sais que je peux t'aider si tu le veux... Mais il faut que tu me parles...
Je commencais a pleuré, je souhaitais tellement que cette partie de ma vie sois effacé!
-Je ne peux rien te dire, pleurai je
Elle me prit dans ses bras. Après tout j'avais encore peur que Joë me retrouve... J'ai reussi a lui echapper... J'étais vraiment abonné a la tragedie
-D'accord, d'accord, reprit elle d'uhe voix douce et apaisante, mais n'oublie pas que je serai la pour t'écouter en cas d'ennuis.
J'acquiessai de la tête essuyant mes joues du revers de mon chandail bleu Marin.
-Essuie tes larmes, dit elle enthousiaste, il faut que je te présente quelqu'un
Je l'interrogeai du regard. Elle me prit par la main et m'entraina lentement hors de la chambre. Mon Dieu, Suis je présentable? Je portais un simple jean, un dessous a fine bretelle creme et mon chandail. J'ignore de quoi j'ai l'air... Je veux pas le savoir.
On traversa un petit couloir dont les mur en blanc portait de Jolies tableaux, portraits abstrait, vraiment beau. On deboucha sur l immense salon, en baie vitrée, qui laissait apparaître une grande piscine avec vu sur la ville. Cette appartement était... Immense, luxueux et decorer avec goût. Très esthetique, antique, agreable a vivre, un endroit reculer. Un grand ecran plasma était accroché au mur du salon. L'apollon se tenait debout une main dans sa poche l'autre tenait un verre. Il s'était changé, Sa tenue était plus décontractée.
Lorsque je me tournai vers un autre homme, tres seduisant, de haute taille au large sourrire. Il était a couper le souffle dans son maillot bleu et son jean.
-Ariel, voici mon mari Michael, Et Bon Michael voila Ariel. Dit elle
Je souriais a Michael qui me rendit un sourrire nettement plus joviale, son regard illuminé
-Enfin, J'ai l'impression de te connaître depuis toujours, reprit il, Thaïs me parle souvent de toi...
-C'est un plaisir, repris je.
-Elle a seulement oublier de préciser que tu etais aussi radieuse en vrai,continua t il
Je deviens rouge comme une tomate, mon sang bouillit dans mes veines, mon Dieu Vraiment charmant en plus
-Merci, balbutiai je, Quel chance tu as Thaïs, je Suis vraiment contente pour toi. Lui dis je.
-A non, c'est moi qui ai de la chance, reprit Michael en embrassant Thaïs.
Une bouffée de chaleur m'enveloppa. Ils s'aiment... Et dire que j'ai ressenti ça une fois... Serai je capable de revivre ça? J'avalai péniblement ma salive.
-Qui veut une bonne verrine de petit pois et du boeuf haché? Demanda l'Adonis, detournant l'attention
-Je meurs de faim, dit Thaïs
Il nous introduit dans une salle a manger avec une table pour douze couverts. La table était déjà dressé, et du vin blanc au centre. Je pris place en face de Thaïs et Michael en face de l'apollon assis a côté de moi. Je restai de marbre, en évitant de le regarder. La nourriture fumante me donnait l'eau a la bouche, mais je savais pertinemment que je ne serai pas capable d'avaler quoi que ce soit.
-Je dis le Benedicite, dit Thaïs en me tendant la main de l'autre côté de la table. Michael fît de même. Lorsque je donnai ma main a l'apollon, un courant electrique me dressa les poils du corps. Ses longs doigts fin se refermèrent autour des miens, mon cœur battait la chamade, je me senti terriblement mal à l'aise... Ce simple contact me mettait dans tout mes états
-Seigneur, nous te disons merci de nous avoir reuni ensemble aujourd'hui, et merci encore de m'avoir ramené Ariel, nous Avons tous nos difficultés a rencontré, mais nous les surmonteront en ton nom, et avec ton aide...
Mon coeur manqua un battement, la deuxieme fois... Un noeud se noua dans ma gorge.
-nous t'en prions, aide dont ceux et celle qui sont dans le besoins, et reste a nos côtés pour toujours, amen.
J'ôtai aussitôt ma main de la sienne, tellement vite, qu'il me jeta un bref coup d'oeil.
-Alors... Les rencontres? C'était ou? Et comment? Demanda t il en se servant.... Comme tout le monde exepté moi.
-Thaïs et moi nous nous Sommes rencontré il y a trois ans. A cet époque je travaillais déjà, dit Michael. Je prenais le bus pour aller au bureau et elle se tenait devant moi. En demarrant j'avais perdu l'équilibre et lui avait renversé tout mon café dessus.
Ils se mirent tous les deux a rigoler
-Il avait insisté pour m'offrir un verre ou m'aider d'une quelconque autre façon, j'étais tellement en colère que je ne lui avais rien repondu et j'étais parti, juste comme ça, continua Thaïs son assiette a moitié plein.
-Je ne m'étais jamais senti aussi mal, continua Michael, c'est vrai quoi, elle était super jolie... A mes yeux c'était la plus belle femme au monde, j'étais comme égarer, je ne savais pas quoi dire pour me faire pardonner...
Son regard était heureux, étincelant d'amour lorsqu'il regardait Thaïs... Ils avaient l'air bien... Heureux.... Que je les enviait
-Depuis ce jour je Suis revenu a la même station d'autobus avec deux café, dans l'espoir de la revoir.
-Tu as attendu combien de temps? Demanda L'adonis en machant sa nourriture
-3 semaines, repondit Michael
-J'aurai abandonné au bout de 3 jours, reprit il
-Ah ça j'en Suis bien consciente lui répondit Thaïs
-Au bout de la 3e semaines, tous mes espoirs s'étaient envolé, mais elle est revenu.
Je pris le Bol de petits pois vert jaune et orange mis deux cueillere dans mon assiette avec uniquement une tranche de boeuf haché
-J'étais heureux ce jour là, et elle était moins maussade que la dernière fois, le sourrire avec lequel elle m'avait accueilli m'avait fait fondre de l'intérieur
Je portai une fourchette de ces petits pois a mes lèvres... Delicieux avec cette sauce parmesant. La magie qui animait ces deux la me faisait chaud au cœur. Tout ça me rappelait Joë... En les regardants rire heureux se rememorants les bonne vieilles causeries du passé, j'eu un haut le cœur deprimant. Il fut un temps j'aurais été capable de m'amuser... Rire et partager leur bonheur.... Mais comment recommencer puisque tout me rappelait une événement deprimant de mon passé... Je papillonnai des yeux pour repousser mes larmes et jouait machinalement avec un grain de pois dans mon assiette
-Ariel? Dit Thaïs en m'enlevant de mes pensées...
Je levai la tête et d'un coup j'étais le centre d'attention,ils avaient tous les yeux rivés sur moi, c'était ecœurant. J'étais comme une intruse, j'étais la seule a ne par être a l'aise dans ma peau ou dans mon corps comme eux ils l'étaient... Ma gorge se noua... Mais arrêter de me regarder!!! Je me sens assez mal comme ça!
-Tout va bien? Me Demanda Michael
J'ai l'air malade??? Pensai je en acquiessant positivement la tête
-Tu es sûre? Tu n'as rien avalé? Continua Thaïs
Je refis oui de la tête, ça y est, je risque de craquer si ça continue comme ça! Celui a côté de moi fût le premier a detourné le regard. Je n'en pouvais plus je me levai
-Je n'ai plus très faim, je vais aller me coucher.
Sans attendre la moindre réponse, je retrouvai par chance le chemin de la chambre m'y enferma. Je fermai tous les rideaux, plongea la pièce dans le noir et m'enfonca sous les draps en laissant couler les larmes que je ne pouvais plus retenir... Je leur fait pitié Seigneur, pourquoi est ce que je fais toujours de la peine! Ou que j'attire sans cesse des ennuis? S'en était trop, je me deteste, je Suis... Horrible. Je cherchais des mots pour qualifié mon piteux etats mais tout ce qui me venais en tête s'était detestable et horrible. Je finis ensuite par somnoler quelques secondes... Mais j'avais l'impression que quelqu'un se tenait dans la pièce... Je n'etais pas seule...

Quelques heures s'étaient écoulés. J'avais recu la visite du psy vers 3 heures, Thaïs et son époux s'étaient éclipsé un peu plus tard. J'étais maintenant seule, et j'ai admirer le plus beau coucher de soleil qui m'a été permit de voir jusqu'à aujourd'hui. Une fois la nuit tombée, je pris une couette ainsi qu'un oreiller et quitta la pièce. Le salon était faiblememt éclairé par la lumière de la terrasse près de la piscine. C'était un très bel appartement. Je mis mes affaires sur le grand sofa en forme de C et scruta la pièce. Je m'approchai et pris une photo de cet homme magnifique au sourrire divin avec un autre ils se tenaient par les épaules. Je le deposai et pris une autre, celle d'une jolie Femme, ayant les mêmes traits que lui, le même regard perçant a vous destabilisez. Sa mère peut être... Il y avait une autre, celle la était un peu tourné, comme si elle était dissimuler des regards curieux, c'était le portrait d'une jolie brune, elle est sublime de grands yeux bleus
-Je ne vous dérange pas?
Je sursautai au son de sa voix fit volte face et la photo m'echappa des mains. Je ne l'ai pas entendu venir
- Désolé... Je ne voulais pas être... Indiscrète, balbutiai je en ramassant maladroitement la photo.
Son regard était toujours posé sur moi, brûlant, curieux et indescent. Ça me paralysait. Il s'avanca doucement vers moi jusqu'a ce qu'il soit a ma hauteur. Mon Dieu, il était grand, ma respiration s'accéléra, son parfum était doux. Lorsque je relevai la tête il m'observait toujours, impassible... Sans rien dire. Sa respiration calme, me carressait le visage.
Il me prit la photo des mains et se pencha légèrement vers moi pour la remettre a sa place... Je fermai les yeux et avala ma salive.
-Vous devriez aller vous coucher.
Je fis oui de la tête et alla vers le canapé en m'enfouissant sous la couette. Il était mieux qu'un lit, tellement doux. Il eteignit l'ampoule de la terrasse et se dirrigea vers sa chambre. J'expirai doucement.... Puis ferma les yeux.
Mon sommeil était agité, je n'arrivais pas a dormir pleinement. Je faisais un cauchemard, ce qui me fît pousser un cri et je sorti du sofa et tomba par terre. J'ouvri les yeux, complètement agard, avec une migraine naissante. La lumière s'alluma et il surgit
-Tout va bien? Demanda t il la voix légèrement endormie
Je ne pu m'empêcher de penser a quel point il était sexy. Son pijama noir lui tombais tellememt bien sur les hanches... Je detournai le regard troublé.
-Je Suis tombé du sofa... Murmurai je, puis cela me parut stupide, pourquoi j'ai di ça!
Je me relevai et m'allongea sur le sofa, il repartit et eteignit l'ampoule. Inconfortable je m'assied et fixa le noir. Je ne voyais rien d'autre qu'une immense vue sur une ville éclairé en pleine nuit. Je somnolais a moitié, je me sentais vaguement endormi, j'étais entre les deux. En regardant l'écran plasma il affichait l'heure au bas en bleu, 11 heure 45. La porte de sa chambre s'ouvrit, puis la lumiède de la terrasse s'alluma. Il refît surface en face de moi, pied nue et les cheveux en desordre... Autant de beauté était illegal
-Venez j'ai une chambre libre, dit il
Quoi? Mais mais de quoi il parle....Je pris ma couette et mon oreiller puis retomba
-Laissez moi faire.
En une fraction de seconde, il me souleva sans difficulté, j'essayai de repliquer mais mes membres étaient endoloris, ses bras etaient puissant et la chaleur émanant de lui était bizarrement... Reconfortante. Je me laissai aller, et un frisson me parcouru en sentant ses mains sur ma peau nues. J'étais pétrifié, paniqué. Il ouvrit une porte et me posa délicatement sur un lit spacieux face a un balcon très large. Il Tira la couette du lit et me couvrit jusqu'aux épaules avant de repartir laissant la porte a Demi ouverte... Je dormis jusqu'au petit jour... Etant agité de temps a autre mais pas autant qu'avant... J'aimerais que ça cesse, ces cauchemards la nuit... Je voulais que ça cesse.

Be mineWhere stories live. Discover now