➙ [ ᴋɪʀɪꜱʜɪᴍᴀ ᴇɪᴊɪʀᴏ x ʙᴀᴋᴜɢᴏ ᴋᴀᴛꜱᴜᴋɪ ] :: Masaru Bakugo travaille dans l'entreprise de Haiko Kirishima depuis longtemps, il fait de bonne chose son entreprise, et ça, le directeur l'a remarqué.
C'est pour cela que Haiko lui propose d'être promu...
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— J'ai pas trop aimé le fait de tu m'embrasses pour que je la ferme...
— Arrête de râler, t'es vraiment un gros gamin.
— Je te parle sérieusement, tu pourrais faire un effort.
— J'm'en fous. Et puis me cause pas, je suis pas d'humeur. Ce nerd de Deku m'a énervé en m'envoyant des messages.
Voila ce qui c'était passé quand Eijiro était allé chez Katsuki, après la mission ratée pour mettre Mirio et Tamaki ensemble. Il était extrêmement déçu. Il adorait Katsuki, et il aimait beaucoup son caractère. Mais parfois il était vraiment méchant et égoïste.
Surtout quand il était pas d'humeur comme il le disait, là il était très froid, distant, et surtout vexant. Bien sûr Eijiro ne disait rien. Il ne voulait pas créer des tensions entre eux.
Mais ce jour-là, c'était la goute d'eau qui avait fait débordé le vase. Il n'avait pas du tout aimé les réponses de Katsuki, il lui parlait sérieusement et il en avait rien a foutre sous prétexte que Midoriya l'avait énervé.
Après ça, Eijiro était parti sans dire au revoir à Katsuki. Et puis, durant la semaine, il l'avait ignoré. Il attendait des excuses de sa part. Mais bon, c'était pas comme si Katsuki allait le faire. Savait-il qu'il devait s'excuser, même ?
Katsuki avait envoyé des messages à Eijiro après, pour qu'ils se voient, ou pour qu'ils s'appellent. Mais le carmin le laissait tout le temps en vu. Il ne comprenait pas. Ça l'énervait, il aimait se foutre de sa gueule ou quoi ?!
Donc toute la semaine, il s'était senti vraiment tout seul. Il pouvait pas se mentir, il passait beaucoup de temps avec Eijiro et sa présence était presque indispensable à sa survie. C'était le seul être humain sur cette terre qui arrivait à calmer ses crises de nerfs.
Il s'ennuyait tellement. Maintenant qu'il était en couple, ses week-ends étaient toujours chargés. Mais pour une fois, il ne faisait rien. Ça l'énervait.
Mitsuki rentra dans la pièce avec un panier qui contenait les vêtements propres de son fils, elle déposa la manne parterre. Puis elle lança un regard à Katsuki, il avait l'air triste. Elle ferma la porte et s'assit sur son lit. Son fils resta couché et n'accorda même pas un regard à sa mère.
— Tu veux quoi ?
— Savoir si tu vas bien. C'est rare que tu restes à la maison le week-end, tu passes tout ton temps chez ton amoureux.
