Chapitre 37 : Les dés sont lancés

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Je...

Je peux atteindre 440k de DGT CRIT (cumulé) avec l'ult de Xiao.

174,6% de DGT CRIT. C'est plutôt sympa (j'ai eu que 2 artefacts DGT CRIT en 10 mois de jeu. Quand je vous dis que le jeu m'aime pas xD). Si j'étais un Whale pour l'avoir C6 et que j'avais la lance de Jade raffinement je sais pas combien, j'ose même pas imaginer le truc 😳 Du coup je considère que pour un f2p, ça va 😭

Je vois tout le monde hype par Baal alors que moi, je vais la skip avec Kokomi parce que je veux juste Gorou, Scaramouche et le rerun d'Albedo. Wsh.
Même si j'avoue qu'elle est ptn de badass Baal.

Sinon ouais, j'attend la 2.1 avec impatience. J'ai quasiment plus rien à faire 😭

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Sa respiration était accélérée et il sentait comme une pression au niveau du cœur. Il tenait tellement fermement le Dodoco que l'on pouvait se demander s'il n'allait pas le mettre encore plus dans un piteux état.
Puis il arriva au synthétiseur et très vite, la pression redescendit à coup de soupir. Il n'y avait personne, pas même une petite bougie en guise de lumière. C'est avec plus de sérénité qu'il s'en rapprocha pour pouvoir réparer la peluche de sa petite sœur. L'objet fut entouré d'une lumière blanche bleutée, envoyant quelques particules au-delà et très rapidement, un Dodoco tout neuf apparus. Sa simple vu dessina un sourire chaleureux sur le visage de l'alchimiste. Il allait faire plaisir à l'une des personnes les plus importantes de sa vie grâce à l'alchimie. Rependre le bonheur grâce à son savoir venu d'ailleurs était comme il l'avait médité plus tôt, son objectif finalement. Devrait-il faire comme le voyageur et aider les gens ? Non. Cela lui demanderait beaucoup trop d'énergie. Il n'était pas Aether. Peut-être que ce n'était pas là le sens du bonheur. Peut-être était-ce de réaliser des choses pour le bien commun. Après tout, il était capitaine du service d'enquête de l'Ordre des Favonius. L'Ordre s'occupe de protéger les habitants, c'était donc en quelque sorte déjà tracé. Et Kaeya, avoir compris ses sentiments après un an d'ignorance alors que lui-même l'aimait sans le savoir. S'être avoué ses sentiments après tant d'appréhension vis-à-vis des relations amoureuses, plus épuisante que n'importe quelle autre. Il vera bien cela avec le temps.
Après ces petites réflexions il décida de retourner à la taverne. Le chemin du retour avait été beaucoup plus rapide et le chemin, déjà court, lui avait semblé déjà moins long. C'était plus que de peur que de mal finalement.

À la taverne, l'ambiance n'avait pas changé. Tout le monde riait à plein poumon et Venti s'était mit à chanter avec sa lyre. Et comme ils étaient entre amis, il avait profité de l'absence de client pour chanter n'importe quoi. Seulement, il avait une seule personne qui n'arrêtait pas de regarder la porte et qui ne profitait pas du tout. C'était Sucrose. Ce qu'elle avait vu il y a peu la tracassait. Elle ignorait si elle devait en parler. Déjà qu'elle ne savait même pas pour cette histoire de Dodoco. En serrant les poings, armée de courage, elle se glissa entre les personnes pour rejoindre Kaeya qui chantait avec Venti, une pinte de vin à la main, définitivement déconnecté. C'est alors qu'elle l'appela timidement. D'abord en l'appelant puis en venant lui tapoter, ou plutôt lui effleurer l'épaule. Heureusement pour elle, il n'était pas totalement dans un état catastrophique et semblait avoir compris. Alors il se retourna, le sourire aux lèvres en lui demandant ce qu'elle voulait. Gentiment, l'assistante d'Albedo lui demanda de venir à part. Premièrement, parce que sa voix ne portait pas assez pour être entendu à la table et deuxièmement, parce que le sujet n'était pas très jovial contrairement à la situation. Comprennant le sérieux de la jeune femme, Kaeya afficha une mine intriguée et se leva en laissant son alcool sur la table. Le barde ne s'en priva pas pour finir le contenu une fois le capitaine au loin.
Sucrose avait enmené Kaeya à l'étage car il n'y avait personne. L'intimité était plutôt primordial pour elle dans ce moment précis. C'est alors qu'elle commença.

Plaisir corrompu (BL)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant