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sous le préau lunaire, articulation des ombres sous les reflets myosotis, ce miroitement sporadique esquissant constellation sur visage des marmots. paix ruisselle où asmodée, accroupi, noie le bout de ses doigts. émerge la symphonie désaccor...
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douce existence doublée d'une doucereuse exubérante violence — amant de l'abandon dans le creux des reins de ces femmes d é c h i r é e s par ton agonie.
cratère spectrale de cette éducation ratée. colère a l c a ï q u e quand le monde ne tourne pas autour de ta connerie naissante.
g a m i n e r i e qui n'a jamais évolué, enfant maudit, enfant perdu du pays que tu imagines à chaque fois.
cicatrices du v i c e, peau martelée par les coups reçus plus jeune, candeur de ta peau qui s'effiloche toujours sur ton dos.
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Ton regard vert, tes yeux perçants,
Lucifer, tu t'étends,
Le sang coule le long de mon avant bras droit,
Pour la beauté du sale, la beauté du mal, sans foi,
Murmurer ces prières ironiquement,
Pour chasser tous les mauvais vents,
psychotique — maladie du malin te rappellent-ils. coup de martinets sur l'ivoire de ta peau marquée à tout jamais par cette satanée acrimonie.
immondice parentale, négligence grotesque, affamé par ces prêtres, pour chasser à tout jamais le démon, asmodée. liturgie sismique bercée par ces exorcismes laconique « vade retro satana » répètent-ils .
murmures de ces voix, chaotique symphonie naissante « tue-le p'tit, il le mérite, tue-le », voix évanescentes, voix disparates dans le creux de ta psyché, martelée par le besoin de se tirer.
cicatrices béantes, purulentes, cacophonie dans le creux de ton être, le temps de fermer les yeux que le couteau égorge le paternel — crise psychotique, géhenne imaginaire, démon satirique de tes illusions.
