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sous le préau lunaire, articulation des ombres sous les reflets myosotis, ce miroitement sporadique esquissant constellation sur visage des marmots. paix ruisselle où asmodée, accroupi, noie le bout de ses doigts. émerge la symphonie désaccor...
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𝐑𝐄𝐐𝐔𝐈𝐄𝐌.
putride nirvana, bancs de prieuré s'évident au glas. du cercle infernal, clérical se forge allégorie barbare ; de piètres esquisses déclamatoires affectées d'occultes bidents et de délavée gouache.
toiles malades, car de l'enfer l'épistèmè s'avance ignare ; l'attester blasphématoire.
et ta peau de chagrin cajolée au satin du feu luciférien, et ta peau malingre estampillée de fer rouge d'une dévotion folle.
c'est l'amour ladre, à dépointer poitrail. l'amour crade, dilection massacre où crucifix larde. le christ bande diagonal, globe oculaire vanné à l'appendice rasoir.
tu le sens caresser épectase quand ta sénestre dépèce vestale ; et cuisse galbe vorace s'écarte, nonne mouille sale au chapelet enfoncé dans confins de gargue.
t'appuies fort jusqu'à ce qu'elle bave. « aspire et imagine-toi ; cabotine pour vieux film. les anges te regardent, vas-y, lèche leur croix. » que tu lui dis, à cette nana.
