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Pay: vasy je t'écoute

Moi: quand tu m'as quitté je suis allée à l'hôtel et je n'étais vraiment pas bien...enfin surtout pour toi qui venait littéralement de péter un câble, je m'en suis aussi voulu car c'était de ma faute...je t'ai cherché jusqu'à ce que tu t'énerve.  Ensuite quand Dylan est venu le lendemain j'avais décider que le lendemain de sa venue, tu suis toujours ?

Pay: ouai

Moi: de revenir te voir. Sauf que les filles m'ont appelé en me disant que non fallait pas, fallait que je reste là car c'était de ta faute si on s'était quitté que tu étais toxique et que tu ne me laissé pas vivre...je t'avoue y avoir un peu cru sachant que bah tu avais la main plusieurs fois sur moi...En plus ta mère m'avait dit que ça nous ferai du bien de nous éloigner et de nous rendre compte de nos erreurs . Donc j'ai décidé de pas revenir. Un soir je suis sortie et il y avait des gars bizarre, qui me disait des trucs...ils m'ont convaincu d'en acheter. C'était ça soit mon corps. Donc bon bah je l'ai fait

Pay: putain mais c'est une blague !

Moi: t'énerve pas. Je sais que tu aurais préféré que je-

Pay: Mia. Dit pas des trucs comme ça ! Tu sais très bien  que c'est faux !

Moi: tu l'as dit !

Pay: je sais...je m'en excuse ! Tu sais très bien que je regrette

Moi: mmh...bref quand je suis rentrée à l'hôtel j'avais prévue de le jeter mais je me suis laissé tenté en me disant que ça pouvait me faire décompresser et t'oublier l'espace d'un instant. Sauf que je me suis pas arrêté. Un jour Dylan et venu, j'étais complètement défoncée , il m'a engueulé comme jamais mais ça à rien changé alors il a abandonné mais il est plus venu me revoir jusqu'à la fois où il m'a conduit à l'aéroport

Pay: ok.

Moi: tu es pas content

Pay: chut je dors.

Moi: et toi ? Tu as quoi à me raconter, dans ce style ?

Pay: tout à l'heure j'ai failli mourir, avant de repartir à Los Angeles j'ai failli mourir et à LA j'ai failli mourir. Maintenant tais toi je dors

Moi: quoi !? Grand malade va ! Comment veux-tu que je te laisse dormir après ce que tu me dis là ?

Pay: on en parle plus tard ?

Moi: nan maintenant !

Je me relève et m'assoie enface de lui donc il se relève aussi en râlant et s'adosse à son lit

Pay: bon tu veux que je commence par quoi ?

Moi: tant que tu me racontes tout ça me va

Pay: bon...euh quand tu m'as quitté bah ça m'a soûlait et j'étais super triste mais les autres en on rajouté une couche, c'est pour ça que je suis parti. Dans la voiture, j'avais que cette pensée en tête mais j'ai pensé à ma mère...elle a déjà perdu mon père, alors pas moi..puis quand j'étais à Los Angeles j'ai fais pleins de crises et de cauchemards où tu me quitté donc j'étais encore plus mal et à chaque fois je me tailler les veines même si c'était pas toujours voulu. Un soir j'ai perdu vraiment énormément de sang et j'ai fais un malaise, un voisin a entendu et est venu. Je suis allé à l'hôpital pendant 3 jours

Je me jettes dans ses bras en posant ma tête sur son torse et il m'entoure après quelques minutes puis me caresse le dos.

Moi: ta mère est au courant ?

Pay: nan et je ne compte pas lui dire. Ça oui ferais trop de mal

Moi: mmhh

Pay: ça va ?

Moi: oui...oui

Pay: ensuite tout à l'heure quand Sam à parlé de mon père et de moi comme ça, j'étais vraiment à deux doigts de le faire. J'étais sur ma moto dans un virage et je l'ai pris en sens inverse, n'importe comment. J'allais le faire

Moi: qu'est ce qui t'en a empêché ?

Pay: un gamin à deux balles...

Le silence règne dans la pièce pedant plusieurs minutes, seuls nos respirations fortes ce font entendre . Puis il reprend finalement à voix basse

Pay: et toi...

Moi je pleure comme une conne à chaude larmes, j'essaie de ne pas lui montrer en pleurant en silence mais un sanglot prend le dessus et je reprend ma respiration trop fortement pour ne pas qu'il le remarque

Pay: hé hé qu'est ce qui a ?

Il me relève et je m'assoie en califourchon sur lui

Pay: mia pleure pas pour moi ! Pas encore...

Moi: mais Payton...tu as faillit mourir 3 fois PUTAIN ! 3 FOIS QUE TU AURAIS PÛ M'ABANDONNER ET PAR NOTRE FAUTE EN PLUS ! PARCE QU'ON TE TRAITE COMME DE LA MERDE TOUT-

il me prend le visage et m'embrasse, je réponds à son baiser et m'arrête quelques instants après

Pay: arrête...c'est bon je vais super bien maintenant :) tu as plus de quoi t'inquiéter, maintenant c'est toi et moi puis plus rien.

Moi: ok...

Pay: en plus je l'ai peut-être mérité

Moi: nan.

Pay: ok ok...tu me fais un câlin maintenant ?

Je lui souris et lui fait un câlin, on se rallongent et il me carresse les cheveux pendant qu'on se regarde dans les yeux

Pay: et nous maintenant ?

Moi: je veux qu'on prenne notre temps. Entre nous c'est allez trop vite â chaque fois

Pay: ok on prendra tout le temps qu'il faut

Moi: et toi ?

Pay: qu'est ce qui a ?

Moi: et bah tu me dis si un jour ça va pas hein ?

Pay: mais ça va Mia, juste quelques petits moments de faiblesse mais ça n'arrivera plus je te le promet

Moi: réellement ?

Pay: seulement si tu arrêtes de fumer cette merde de joint

Moi: pourtant toi tu le fait

Pay: un et en soirée seulement. Alors ?

Moi: okay

Pay: okay...

Il sourit en embrassant mon front puis je me colle encore plus dans ses bras et ferme mes yeux

Moi:*en français* mon amour...

Pay: qu'est ce que tu dis ?

Moi: rien, on dort ?

Pay: ça me semble être une bonne activité

On ferme nos yeux jusqu'à s'endormir complètement

1025 mots

They'll Never Love U Like I Can Where stories live. Discover now