Psy: ça va mieux depuis la semaine dernière ?
Moi: oui ça va, merci d'avoir arrêté la séance
Psy: c'est normal ok ? Bon Payton, comme la semaine dernière tu fais comme si tu n'étais pas là
Moi: c'est la dernière séance
Psy: je ne sais pas on verra selon toi
Moi: ok
Psy: allez on fait comme d'habitude
Moi: je vais super bien ! Le garçon qui m'embêté et me menacé à complètement arrêté de me regarder donc ça me soulage d'un poids et pour mon prof de svt, vu que je ne le vois plus et bien avec Payton il n'y a plus de tension à ce sujet.
Psy: ok...autre chose ?
Moi: non, je ne pense pas
Psy: et ce que tu veux continuer à nous raconter ce qu'il s'est passé
Je secoue la tête de gauche à droite
Psy: ok on ne le fera pas, appart si tu en décidés autrement.
Moi: j'ai juste peur de votre regard et de comment je vais réagir
Psy: moi je suis la pour t'écouter te confier d'accord et t'aider à aller mieux alors, peut importe ce que tu vas me dire mon regard pour toi ne changera pas. Tu es vraiment une adolescente extraordinaire et gentille et pleine de vie, tu ne dois pas te renfermer sur toi même à cause de ce qu'il t'arrive, encore plus que tu ne l'ai déjà. Fait de tes passages dans la vie difficile une force et tout ira mieux
Moi: merci...quand il a passé sa main sur ma jambe, j'étais tétanisée, je vous jure j'essayais de faire quelque chose, mais mon corps ne répondait pas à mes signaux...en-ensuite il a remonté ma robe- j'ai fais un mouvement, le seul que j'ai sû faire, j'ai griffé son poignet mais ça ne l'a pas arrêté. Je-j'veux pas-ra-raconté comment ça s'est passé mais après il a voulu me-me pénétré mais heureusement quelqu'un à toquer à la porte
Je pleure un petit peu, payton me rapproche de lui et me serre dans ses bras.
Psy: si tu devais mettre des mots sur ça qu'elles seront ceux que tu choisis ?
Moi: merci....merci à la personne qui à toqué, je lui en serai reconnaissante longtemps car sans lui ça aurait pû être encore pire.
Psy: mmh...et à nous ? A tes proches ?
Moi: pardon.
Psy: pourquoi tu t'excuse pour une chose qui n'est même pas de ta faute? Tu ne te considère pas comme victime ?
Moi: non. J'étais consciente de ce que je venais de faire.
Psy: non Mia, c'est là où tu as tout faux ma belle. Tu es victime. Tu es celle à qui ont doit des excuses. Pardon de ne pas avoir était là pour toi. Pardon de n'avoir rien pû faire pour toi. Pardon de ne pas avoir fait attention à toi. Mais pas pardon de m'être faite agressé.
Psy: c'est une agression sexuel Mia. Dit le !
Moi: je-j'ai étais-étais agressée-agressée sexuellement...
Dis-je avant de fondre complètement en larmes. Je crois que ses mots m'ont fait réaliser que je m'étais vraiment faite agressé. Et ça fait mal.
Psy: c'est bien, je suis fière de toi.
Moi: je suis pas fière de moi
Psy: si. Si tu l'es car ce que tu as vécu ce n'est pas anodin, et il faut encore plus de courage pour le raconter, allé en parler. Et encore plus pour aller le dénoncer. Pourquoi tu l'as dénoncé ?
Moi: parce qu'il me faisait peur. Je voulais pas que ça arrive à quelqu'un d'autre.
Psy: et ça encore une fois ça prouve que tu es une personne extraordinaire, tu penses aux autres alors que celle qui souffre le plus en ce moment c'est toi.
Moi: et je fais quoi maintenant ?
Psy: ça c'est à toi d'en décider, on sera toujours là pour toi, quoi qu'il arrive. C'est tes décisions.
Moi: mmh
Psy: merci, merci de t'être confier à moi, à ton copain, à ton directeur, nous on te crois, et on te croira toujours. Rappelle toi bien d'une chose, on est là pour toi.
Moi: je veux juste ne plus jamais le voir.
Psy: et bien on va tout faire pour ok ?
Moi: d'accord
Psy: bon allez c'est la fin pour aujourd'hui, même pour toujours si tu veux mais reviens quand tu veux. On sera toujours là pour te soutenir.
Moi: merci...
Psy: Payton on parle ensemble quelques instants ?
Pay: oui ! Retourne à la voiture, j'arrive
Il me fait un bisou sur le front et je pars avec ses clés dans la voiture.
Pdv Pay
Ma petite amie est vraiment courageuse, je vous jure que j'avais envie de péter un câble quand elle nous racontait ce qu'il s'était passé. J'avais même les larmes aux yeux à certains moments
Psy: bon..je pense qu'avec ce qu'on s'est dit aujourd'hui, il y a peut-être un déclic qui s'est fait, surtout soit là pour elle. Rassure là, en disant que tu es là, que tu la croit. Mais laisse la faire ses choix.
Moi: ok
Psy: il se peut que se déclic crée des choses, qu'elle ne faisait pas habituellement ou des choses qu'elle va arrêter de faire alors fait aussi très attention
Moi: oui pas de problème
Psy: alors on se dit aurevoir !
Moi: aurevoir ! Bonne journée
Je monte ensuite en voiture, Mia à l'air d'aller pas trop mal pour quelqu'un qui vient de se confier comme elle l'a fait
Moi: c'est bien..bravo je suis très fier de toi là. Merci de t'être confié devant moi
Mia: je crois que je n'aurais pas sû le faire sans toi à mes côtés....
Moi: tu veux qu'on rentre à la maison ?
Mia: au point où j'en suis avec mon agence !
Moi: alors go !
Quand on rentre à la maison, on s'installe au salon dans les bras de l'autre, elle est sur moi et je jour avec ses mèches de devant pendant qu'elle fait pareil avec mes cheveux.
Mia: je te jure Payton je veux rentrer en France
Mon cœur se serre quand elle dit des choses comme ça... Je veux pas imaginer quand elle sera partie...
Moi: pourquoi ?
Mia: pour plus penser à tout ça..
Moi: je sais mon ptit cœur, je sais que ça te fait mal, tu as le droit, c'est légitime mais je suis là, je vais tout faire pour que tu n'y pense plus ok ?
Mia: mmh...Pay ?
Moi: oui Mia ?
Mia: je t'aime....
Dit-elle avant de poser sa tête sur mon torse. Je souris comme un imbécile et embrasse son crâne
Moi: je t'aime aussi, très fort, Mia...
Elle pouvait vraiment pas me rendre plus heureux que maintenant, la sincérité quand elle me l'a dit, et son regard, Mia qu'est ce que tu m'as fait hein ?
1129 mots
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They'll Never Love U Like I Can
Fanfictionje sais pas je m'ennuie donc j'écris une histoire qui me passe par la tête même si je ne suis pas sûre qu'elle va sortir. Si elle sort c'est que je suis morte lol