Quarante-sept : Décision

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️ Tw : sex
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PDV Lilio :

La musique assourdissante nous englouti à peine avons nous passé les portes de la boîte de nuit. On se dirige rapidement vers les escaliers pour atteindre le carré vip que nous avons réservé. Vu que Lamario est le propriétaire j'ai juste eu à passer un coup de fil trente minutes avant notre venu pour avoir le coin vip pour nous tout seul. J'avoue, ya pas plus pratique.

Ce dernier est constitué de plusieurs grand canapé, qui forme un carré autour d'une table basse. Une grande vitre au verre sans teint nous permet d'avoir la vue sur la foule en bas sans que personnes ne nous vois. Je peux dire que c'est assez pratique pour surveiller ses proies. Et pour terminer il y a une petite estrade avec trois barre pour les danseuses.

Je me jette en premier sur le canapé du milieu tandis que Lamario prend place dans le coin de celui de gauche, lui permettant d'avoir un œil sur tout ce qui ce passe. Samy me rejoint sur mon canapé et trois autre de nos hommes occupe le dernier canapé.

Nous avons à peine le temps de nous installer qu'une serveuse nous dépose nos habituelle boisson. Une vodka pour moi, un wiskey pour le capo et des cocktails chelou pour les hommes qui nous accompagne.

Tandis que j'admire le spectacle que nous offre les danseuses, une pute viens s'assoir sur mes genoux. Et n'étant rien d'autre qu'un homme faible je ne peux empêcher mon mini moi de se dresser dans mon caleçon. Chose qui ne semble pas du tout déranger la demoiselle sur moi puisqu'elle commence petit à petit à s'y frotter en bougeant ses hanches au rythme de la musique.

Je me saisis de ses hanches pour l'immobiliser pile au dessus de mon sexe et en relevant mon bassin je lui fait sentir à quel point elle m'a rendu dur. Puis je me penche pour que ma respiration arrive pile derrière son oreille.

- Sens ce que tu as provoqué. Tu vas devoir m'arranger ça. Lui murmurai-je en la repoussant pour qu'elle tombe à genoux devant moi. Et tout de suite.

Bien que je ne sois absolument pas pudique je vérifie qu'aucun de mes compagnons ne me regarde avant d'ouvrir ma braguette pour libérer ma queue. Je ne voudrais pas qu'un des gars se branle en observant ma magnifique queue.

Je ne perd pas de temps pour me glisser entre ses lèvres. Je lui laisse le contrôle total sur cette fellation. Et bordel qu'elle suce bien cette salope. Ses lèvres pulpeuses entour la base de ma bite tandis qu'elle joue de sa langue sur ma longueur. Mon gland vient quelques fois taper le fond de sa gorge quand elle me prend plus en profondeur, ce qui lui cause quelques réflexe nauséeux. Mais ça ne m'empêche absolument pas de prendre du plaisir. Ma queue est de plus en plus dure et grosse.

Quand elle remarque que je suis à deux doigt de la délivrance, elle rajoute ses mains pour masser mes couilles. Ce qui vingt secondes plus tard me fait cracher au fond de sa gorges. Pas le moins du monde dégouté, elle avale tout goulument et en viens même à récupérer à l'aide de sa langue, les dernières goute de mon foutre qui dégouline de mon gland. Une fois qu'elle a finis, je lui tend un billet et lui fait signe de déguerpir tout en me rhabillant plus décemment.

Maintenant que je suis pleinement détendu, je vais pouvoir passer aux choses sérieuse. Parce que je vois bien que depuis le début de la soirée et même avant, Lamario est complètement perdu dans ses pensées. Il a même repousser absolument toutes les putes qui sont venues se frotter à lui. Il ne les a même pas regardé une seconde.

Et ce n'est vraiment mais alors vraiment pas son style, il est bien plus du genre a avoir constamment une femme à ses pieds prête à le sucer à n'importe quel instant. Il ne regarde même pas le spectacle que nous offre les putes qui se dandinent contre les barres.

Je change de canapé pour venir m'échouer à côté de lui. Et j'avais bien raison de m'inquiéter car il ne réagit pas alors qu'en temps normal il aurait déjà dégainé son arme pour me menacer. Il garde tout de même une position de Capo. Le dos carré dans le fond du fauteuil, les bras sur le dossier avec un verre dans la main gauche et une cigarette dans la droite et un pied sur le genoux opposé il domine toute la pièce.

- Stai tenendo il broncio amore moi ? (Tu boudes mon amour ?) Lui demandai-je.

- Vaffanculo stronzo. (Vas te faire foutre connard).

- C'est la piccola farfalla qui te met dans cet état ? J'espère que tu penses tout de même pas à la dégager ?

- Je ne peux pas non plus la garder.

- Tu parles d'elle comme si c'était un objet.

- L'objet de mon désir oui surtout. Marmonne-t-il.

- Si ce n'est que ça le problème t'as cas la baiser. Je l'aime bien cette petite, je veux pas que tu la dégage sous prétexte que tu n'es pas capable de tenir ta queue.

- Je ne peux pas faire ça. Elle ne s'en remettrait pas.

- A parce que tu crois qu'elle s'en remettra mieux si tu la tues ?

- Je ne vais quand même pas la tuer. Non au contraire je vais faire en sorte qu'elle reprenne le cours de sa vie.

- Elle a si peur de croiser des gens qu'elle ne sort quasi plus de sa chambre et toi tu crois qu'elle est capable de reprendre une vie normal. Si elle ne sait pas encore effondrée c'est grâce au petit et à la sécurité que tu lui apporte. Mais sans tout ça, à peine aura t'elle passé la porte que ses démons l'achèveront.

- Elle ne met plus d'aucune utilité et je ne peux même pas assouvir mes envies. Ce serait juste de la torture pour moi de continuer à la côtoyer. Et au cas où tu ne l'aurais pas encore remarqué je ne suis pas maso.

- Tu ne peux pas lui faire ça, tu ne peux pas la trahir comme ça. En plus tu lui a donné ton prénom, elle pourrait te dénoncer.

Il me lance un regard plus que mauvais avant de finalement me répondre :

- Si j'avais le moindre doute sur le fait qu'elle me dénonce je lui aurais collé une balle entre les deux yeux sans hésiter. Alors ne joue pas sur ce tableau pour espérer me faire changer d'avis. Car la seule chose que tu peux espérer obtenir est sa mort.

- Tu es vraiment un connard doublé d'un fils de pute Lamario. Lui crachai-je.

- Un connard oui tout autant que toi, dois-je te rappeler que tu viens de te faire sucer en publique puis que tu as rapidement expédié la femme une fois ton plaisir rassasié. Moi au moins je lui aurais rendu l'appareil. Quand à ce qu'il s'agit d'être un fils de pute n'oublie pas de quel chatte tu viens et qu'elle femme t'a élevé. Et si tu ré oses insulter ma mère je te fais la rejoindre plus vite encore que tu éjacules.

Je ne lui réponds pas, me vengeant sur son verre qu'il a abandonné sur la petite table et que je descends d'un coup. Je sais qu'il reste mon chef et que je ne peux pas aller à l'encontre de ses ordres mais qu'il ne compte pas sur moi pour l'aider à finir de détruire Enola.

Cette petite a déjà bien trop souffert. Et bien que je sois capable du pire, allant du vole à la torture en passant par le meurtre. Ce qui reste de mon cœur saigne à l'idée que sa souffrance ne soit pas encore terminée.

Ne supportant plus l'ambiance glaciale je décide d'écourter ma soirée. L'odeur de cigarette froide me donne la gerbe et les basses de la musique résonnent dans ma tête à m'en filer un mal de crâne pour la semaine à venir.

Je me lève en titubant un peu, dû probablement à tout l'alcool que j'ai ingurgité. Je dépasse rapidement la table basse pour quitter cette pièce qui commence à m'étouffer. Mais en passant devant Lamario je l'entends m'achever :

- Ma décision est prise et tu ne peux rien y changer. Elle part en centre de réhabilitation dans deux jours. Fais toi y, ce sera mieux pour tout le monde.

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Je le redis au cas ou vous ne vous en rappeliez pas mais je ne suis pas responsable des décisions de Lamario. Il est bien assez grand pour faire ses propres choix.

Si vous souhaitez quand même venir m'insulter tenez mon insta : _cap_caps_

A vendredi pour la suite 😘

Alzarsi | T.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant