○About :
Un grand gaillard ténébreux part a la recherche de son bout d'étoile filante.🌠
_ _ _ _ _ _ _
"et il fixais de ses orbes sombre la voute qui s'offrais à lui : les astres dansais et les voie lactés se prenais dans leurs bras. Que pouvais-t...
Pas de ce bleu lapis, qui règne avec l'encre sombre des nuages quand la brûme s'éloigne accompagné par le vent.
Mais c'est l'une de ses soirées chaude qui étouffe et réchauffe les poumons.
Ou rien ne semble danser, écraser.
La haine de Keith augmente.
Plus il y pense, pire c'est.
Après avoir enjambé les dunes sous ses pieds, il demeure.
Le pied qui fond sous ses pieds endoloris ses muscles, le feu est environnant, et intérieur aussi.
Il n'existe plus.
Étrangement, l'amour va lui arracher le coeur une fois un pied dans leurs nids, il le sait.
Mais c'est ainsi.
Et non, il n'y reviendra pas.
Car c'est assez.
Il a remué le vide intergalactique, appeler tout les dieux au secours, personne ne lui a jamais donné mots.
Rien.
Si ce n'est un "Ne me retrouve pas".
Alors Lance n'a jamais existé.
Comme l'ombre d'un Keith fatiguée, comme un fantôme qui n'a jamais été là.
C'est ce qu'il préfère se dire, alors qu'il a tourné le dos a Shiro, plutôt tôt dans l'après-midi, son sac a dos sur une épaule.
Keith a mal.
De cette douleur incommensurable que rien n'arrête.
Il a peur aussi.
D'une anxiété tel, qu'il semble qu'il va mourir une fois le parquet boisé retrouver.
Alors il tremble, mais prend une bouffé d'air brûlant, et pousse la cabane.
Il pense : " Pourquoi m'a-tu laissé ? "
Il souhaite qu'une voix dans sa tête lui hurle une réponse.
"Pourquoi tu ne dit rien ?
Pourquoi devrais-je vivre quand tu n'est pas la ? Comment peut-tu me l'imposer ? Gardant ma haine et mon amour dans le creux de ton doigts mate."
Il sent que les larmes, pas celles qui dégouline sur les joues, mais celle sous la peau, qui viennent arracher la gorge sur leurs passages, arrivent doucement sous ses yeux.
Mais il entre, tête baissée.
Keith a abandonner.
Mais, dans l'entrebâillement, il y a une paire de bottes marrons.
Keith se rappel alors : c'est celle qui lui avait acheter pour l'un de ses anniversaires.
Personne d'autres n'aurait put les lui prendre, il s'agissait là d'un butin bien nauséabond pour les âmes errantes des villages voisins.
Alors qu'il tourne le talon dans ses doigts fin, l'espoir renaît.
Malgré lui, par automatisme.
Il fonce dans la toute pièce, une fenêtre est ouverte, le battant tape encore sur la parois de bois.
Tout est là, comme a son départ, mais la vie a pris possession des lieux.
Alors il crie son nom.
Mais surtout pour lui même, comme une façon de dire je t'aime, ou son propre nom.
Il pousse une autre porte derrière la toute petite cuisine, et découvre les draps blancs défait de leurs lit.
Keith meurt dans l'entrebâillement de la porte.
Bouche bée, plus rien ne s'échappe, pas même la poussière du sable qui loge dans ses poumons.
Doucement, il avance, comme si Lance se cachait sous le lit.
En bougeant la couverture, il retrouve sa chemise a carreaux rouge, celle qu'il avait tant embrassé quand ils avaient fait l'amour sur le plan de travail, a quelques mètres derrière lui.
Les draps sont froid, meurtris d'une peau depuis longtemps.
Mais un détail vient frotter contre ses sens.
L'odeur de Lance est la, dans les draps nuageux.
Il sert de ses deux mains le tissus, l'amène à son nez, plonge la tête dedans, finis par s'y loger.
Il souris, l'air béa, et recommence à hurler, le nom de Shiro cette fois-ci.
"-Sa y est !" Il rêve de dire.
Et lorsque ses deux doigts finissent leurs course dans un liquide, près de l'oreiller, son coeur s'arrête.
Curieux, il détourne le regard, et devient soudainement livide, alors que les pas du blancs résonne dans toute la Vallée.
Du sang.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
