Une thérapie, mon chéri ? (Reader #11)

196 26 436
                                    

*déboule une petite plaine, pour fêter la cinquantième partie, déjà !* youhouuuu....!

*arrive à la fin de sa déboulade et est K.O au sol* salut...tout le monde !

*se relève soudainement* Vous allez bien ?! Il s'est rien passé de trop grave pendant mon absence, si ?! *panique* Je suis quand même partie aller voir mes autres FanFictions pendant quelques heures, j'ai un peu peur qu'une catastrophe soit—

*se fait interrompre par des pleures*

*panique, sueurs* Hummm... on se fait hanté par des fantômes ou quoi ?

*s'approche du bruit, en se convainquant que c'est une BONHOMME, du coup elle devrait pas avoir peur*

J'AI PAS PEUR !

*apperçois Sans en pls, soulagée*
Heu...Sans ? Ça va, poto ?

Sans : *renifle* Je suis triste, laisse-moi.

Bon bah. Okay. J'te laisse tranquille frérot.
Mais juuuustement...tu représentes exactement le cliché que je voulais abordé dans cette partie ! Toi, Sans, qui est toujours dépressif dans les FanFictions ! Ce qui est vachement revu TOUT LE TEMPS.

Sans : *fronce des arcades* Et c'est sensé me faire sentir mieux, ça ?

*tousse, tOusSe, TOUSSE*

...non...?

...Heu....Place à l'exemple...?

Exemple : « PDV Reader



La vie est belle, les oiseaux chantent, les fleures s'épanouissent, la prochaine phrase devrait une référence à la génocide, parce que les auteurs ont manqués de stéroïde, mais vous inquiétez pas, l'histoire va pas se démolir, même si certaines de leurs FanFictions insinuent qu'ils sont pédophiles.

Moi : *sourire innocent*

Bref, allons voir Sans mon crush, parce que je suis légèrement nécrophile. Et vu qu'il est légèrement dépressif, il faut également que je le sorte de sa coquille. Et ainsi lui montrer ce que mon amour symbolise, parce que ce dernier s'enflamme comme de la gazoline.

Moi : Salut Sans ~

Sans : Qu'est-ce que tu veux {T/P} ? *soupire triste*

Moi : Rien, juste te parler.

Je me devais de jouer les héroïnes, comme ça je peux le léchouine, puisqu'après tout j'étais pas gouine. J'allais bientôt devenir sa cocaïne.

Sans : *soupire* Je me sens pas hyper bien, tu peux me laisser seul ?

Moi : BAH NON LOL. ON EST ENSEMBLE, PAS DE VIE PRIVÉE, JE VAIS RÉGLER TOUS TES SOUCIS ~

Sans : Tu trouves pas que la thérapie serait mieux ?

Moi : QUOI ?! JE SUIS TA THÉRAPEUTE.

Sans : *fronce des sourcils* pourquoi on est ensemble déjà ?

Moi : shhhh, dis-moi tous tes soucis.

Sans : Mon frère continue de se faire trucider devant mes yeux, encore et encore. Au point où je ne sais même plus si c'est la réalité, et les simples moments où je vis dans le présent sont ruinés par mes pensées ou mes crises de panique. Je suis même pas sûr que la vie en vaille la peine, mais même ça j'en ai pas le choix.

Clichés UndertaleWhere stories live. Discover now