Terminer_ Zodiac Yandere One Shots (traduction)

Capricorn

Vous avez travaillé dans un magasin d'artisanat près de votre collège.
Vous étudiiez en finances et c'était votre
dernière année. Votre principale raison de postuler
car ce travail était parce que tu es tombé amoureux du propriétaire Reiner Stints.
Un coup de foudre, vous l'avez appelé.
Tu ne croyais pas à de telles choses arriverait mais ils l'ont fait. La raison pour laquelle tu es tombé était qu'il a aidé à se débarrasser de certains indésirables attention.
Vous avez appris par hasard où il travaillait parce que vous achetiez des fournitures car vous aimiez faire du petit bricolage.
Vous étiez excité et vous aviez l'impression que c'était le destin quand vous avez appris qu'il était propriétaire du magasin. Vous veniez tous les jours pour parcourir et acheter des fournitures. Lorsque vous avez entendu qu'il y avait une offre d'emploi, vous avez été immédiatement postulé. Vous étiez extrêmement heureux de savoir que vous aviez obtenu le poste.
Trois ans se sont écoulés et vous n'avez jamais pu avouer vos sentiments. D'une part, il était toujours obsédé par le travail et ne parlait jamais de quoi que ce soit qui n'était pas lié au travail. Même pendant les pauses, il cherchait des moyens d'améliorer le magasin et la clientèle. . Une autre était que vous l'aviez vu rejeter plusieurs femmes au fil des ans. Vous aviez peur d'être rejeté, mais vous avez décidé de lui dire quand vous pensiez que le moment était venu.
Reiner n'aimait pas l'idée de renouer avec une relation.
La toute première femme qu'il ait jamais aimée l'a trompé.
Il tenait tellement à elle. Pourquoi devait-elle lui faire ça ?
Il avait reçu plusieurs aveux de femmes, mais il les avait toujours refusés. Il n'a jamais rien fait pour entraîner qui que ce soit et était d'accord avec ça. Il n'était pas prêt pour les relations.
Des semaines avaient passé, tu cherchais comment lui avouer. Vous alliez avoir votre diplôme dans deux mois et vous vouliez avouer. Peu importait que vous soyez rejeté ou non. Tu ne voulais plus te sentir comme ça. Tu attendais dehors que Reiner ferme boutique. Lorsqu'il sort, il est surpris de vous voir debout.
« T/P. Pourquoi es-tu ici ? C'est dangereux pour les filles de sortir si tard. vous dit-il avec inquiétude.
"Eh bien... Tu vois..." tu t'interromps.
Dire ce que tu voulais dire devenait de plus en plus difficile jusqu'à ce que finalement...
"Je t'aime vraiment beaucoup !" Vous dites plus fort que prévu. Vous laissez Reiner et vous-même abasourdis jusqu'à ce qu'il retrouve son calme.
"Ecoutez T/P, je suis désolé. Je ne veux pas être dans une relation en ce moment." Vous le regardez et souriez.
"C'est bon, je comprends. Eh bien, je te verrai demain au travail alors. Au revoir," dis-tu rapidement en tournant les talons et en t'éloignant avant que tes larmes ne commencent à couler.
Ça fait mal.
Mais encore une fois, à quoi vous attendiez-vous ? Vous saviez que vous alliez être refusé. Vous vous arrêtez net avant d'essuyer vos larmes. Ce n'était pas la fin du monde. Tu n'étais pas mort.
Cela prendrait du temps sans aucun doute, mais vous pourriez y arriver.
Et peut-être qu'un jour tu finiras avec quelqu'un d'encore meilleur.

Le lendemain, vous êtes allé travailler comme vous l'avez toujours fait et vous avez continué à tout faire normalement.
Vous avez salué Reiner quand il est entré.
"Bonjour patron", dites-vous avec un sourire.
Quand Reiner vous voit sourire, il commence à tâtonner pour trouver des mots à dire.
« C'est bon. » Reiner vous regarde.
"Je vais bien. Je ne t'ai pas dit mes sentiments pour que nous ayons atteint cette étape délicate. Je vais bien. Tu devrais l'être aussi."
"Ainsi, tout peut être comme d'habitude." Vous acquiescez.
Vous le voyez pousser un soupir de soulagement avant de se diriger vers l'arrière.
Lorsque vous êtes en pause, vous allez le voir et le voyez griffonner des chiffres et regarder une calculatrice.
« Quelque chose ne va pas avec les chiffres ? » Vous lui demandez en regardant les papiers. Il se tourne vers vous.
"Problèmes d'expédition. J'essaie de trouver le moyen le moins cher de tout livrer à temps."
"Je peux aider."
"Tu peux?"
"Bien sûr. Ma majeure est le financement, donc je suis assez bon avec les chiffres", dites-vous fièrement.
Vous vous asseyez à côté de lui et regardez les papiers.
"Je peux t'aider pendant mes pauses et après l'heure de fermeture. Tant que ça ne perturbe pas mon propre horaire de devoirs."
"Tout ce qui fonctionne pour vous."
Vous lui souriez et commencez à y travailler ensemble. Le problème est résolu assez rapidement et vous commencez à aider Reiner avec des problèmes d'argent. Vous pouvez dire que vous deveniez amis. Aussi heureux que tu sois, ça fait toujours mal. Tu l'aimais toujours. Quoi qu'il en soit, vous étiez heureux "vous étiez heureux" d'être ami avec lui.
Reiner était en fait surpris de te voir devenir son ami; c'était un homme réservé, alors il avait quelques amis. Tu avais une attitude amicale et voulait toujours essayer de nouvelles choses
et était très créatif.
Tu ne l'as jamais amené vous rejetant et respectant son espace personnel.
Il avait quand même sa réserve. Il n'avait pas
vos coordonnées et je ne savais pas où vous
vivez. Il a été tellement choqué d'apprendre que tu étais encore
Au collège.
C'était quelques jours seulement après avoir obtenu votre diplôme. Vous avez décidé de rentrer chez vous et vous aviez préparé une lettre de démission accompagnée d'une lettre. Vous étiez heureux d'être ami avec Reiner, mais maintenant il
devenait douloureux. Vos sentiments devenaient plus forts, mais vous saviez qu'il n'accepterait pas. Donc, à la place, vous avez demandé à l'un des autres travailleurs de le lui remettre.
Reiner, d'autre part, est tombé amoureux de toi.
Il voulait te dire quand tu es venu travailler mais tu ne l'as jamais fait. Il avait reçu les lettres mais n'avait pas encore eu le temps de les lire.
Lorsqu'il s'est déplacé, il a remarqué la lettre qui disait démission et l'autre qui lui était adressée.
Il  a lu ta lettre

Salut Reiner,
A présent, je suis probablement de retour à la maison.
Je m'excuse de ne pas l'avoir dit en face,
mais j'ai décidé d'arrêter puisque je rentre à la maison
et recommencer à neuf. Je t'aime toujours bien. Mais il est
d'accord,
Je comprends tes sentiments et j'ai décidé de ne pas pousser
plus sur vous. Merci pour le génial
temps. On ne se verra probablement pas mais ça va.
J'espère que tu trouveras quelqu'un de spécial.
T/P.

Reiner tient fermement la lettre. Tu l'aimais toujours. Comme il aurait aimé être assez intelligent pour demander votre numéro. Il sort son téléphone et commence à essayer de trouver des moyens de vous contacter, mais en vain.
Pendant plus d'un an, il a cherché mais il n'a pas pu vous trouver jusqu'à ce que votre nom apparaisse comme
conseiller financier.
Vous aviez créé votre propre petite entreprise après
un an et faisait plutôt bien beaucoup à votre
surprise. Vous avez donné des conseils sur la façon de gérer
l'argent et s'en sortait plutôt bien. Tu avais
a surmonté Reiner et était heureux. Pendant que tu
organisaient des documents un visage familier apparaît
dans.Reiner.
« Reiner ! Vous lui souriez.
"Content de te voir." Vous lui serrez la main.
"Je t'ai trouvé," dit-il calmement.
"Hmm?"
"Rien. Si ça ne te dérange pas, tu penses qu'on peut sortir un peu ?" Vous n'aviez pas beaucoup de travail à faire, alors vous avez accepté. Vous êtes tous les deux assis dans un café.
En buvant du café, vous demandez.
"Avez-vous besoin de conseils financiers?" Tu lui demandes. Il vous regarde surpris.
"Je veux dire, je ne t'ai jamais donné mes coordonnées donc..." tu t'interromps.
"Ouais, ouais," dit-il en hochant la tête.
"Je me mélange parfois avec les chiffres, donc ça aiderait si vous étiez là pour vous aider."
"D'accord, quand nous arriverons au bureau, nous pourrons discuter de ce qu'il faut faire."
Vous et Reiner discutez d'argent, et il vous rend visite chaque semaine.
Bientôt, il vous attend et vous commencez à traîner
après le travail. Tu trouvais ça sympa, mais tu avais besoin
lui dire d'arrêter parce que tu avais enfin un amant.
Il vous raccompagnait chez vous quand vous vous tournez vers lui.
« Reiner ».
"Oui."
"Je vous suis reconnaissant d'avoir eu la gentillesse de me ramener à la maison tous les jours, mais j'ai besoin que vous arrêtiez."
"Pourquoi?"
"Tu vois, j'ai quelqu'un de spécial dans ma vie et ils n'aimeraient pas savoir qu'un homme me raccompagne tout le temps à la maison. Je peus le faire toute seul donc ça va."
"... Je vois. Eh bien, j'espère que tu es heureux," dit-il avec un sourire avant de s'éloigner.
Lorsqu'il est loin de vous, il entre dans une ruelle et s'apprête à frapper un mur avant de s'arrêter net.
Tu ne l'aimais plus et pourtant il t'aimait toujours. Il n'allait pas laisser ça se terminer ainsi. Il a perdu sa première petite amie au profit d'un autre homme. Comme l'enfer, il allait te perdre de la même manière.
Il a commencé à traquer; toujours vérifier sur vous et votre autre significatif.
Ça l'a énervé à quel point tu étais heureuse avec lui.
Il aurait dû être celui avec toi. Il doit être celui à côté de vous.
Les jours ont passé lorsque vous recevez un appel de la police indiquant que votre partenaire est décédé.
Son corps a été retrouvé mutilé. Ça t'a rendu si triste.
Vous étiez dans votre appartement quand vous avez entendu la sonnette retentir.
Vous ouvrez la porte et voyez Reiner.
"J'ai entendu ce qui s'est passé. Je suis désolé pour votre amant, vous commencez à pleurer et à le prendre dans vos bras.
Reiner rend le câlin.

"Tout va bien T/P. Je suis là cette fois. Je ne te laisserai pas partir."

Je ne te laisserai pas t'éloigner de moi, se murmure-t-il.