PART XVIII

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Ce fan'art me donne beaucoup trop d'idées...oh bordel, j'ai déjà 3 fics à finir je vais me calmer...

C'était un des seuls fan'art de Yuji fem pas trop dégueu, lol. Y'en a où ses seins sont absolument énormes (encore plus que là) et c'est bizarre. (je dis pas que les gros tities c'est bizarre, juste que mon yuyu avec des gros oppai, ça l'est.)

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Deux heures plus tôt.


« Putain mais qu'est-ce que tu fous là ?! », demanda Yuji en train de revêtir son costume trois pièces qui avait été rapporté par Panda.

« Oh ça va, j'en ai déjà vu des culs dans ma vie, lui répondit Gojo, et puis je me suis dit que tu aurais besoin d'aide. »

« J'ai quasiment fini, t'es aveugle ? »

« J'aime pas. »

« On s'en fout de ton avis, Gojo. »

Le maître des lieux poussa un soupir exagéré en levant théâtralement les yeux au ciel.

« La période où tu m'appelais « sensei » me manque tellement tu sais. »

« Je sens que je vais aimer cette soirée moi...t'es obligé de venir ? »

« Sans moi, tu ne rentres pas. Vous êtes mes amis de France, mes plus un et deux, mon couple préféré... »

Yuji lui asséna un regard meurtrier et Gojo eût un sourire en coin comme à son habitude tout en haussant les épaules.

« Ce que je veux dire, c'est que là tu ressembles vraiment trop à Ryomen. »

« On est censés être « frères ». Je vois pas où est le problème. »

« Tu ne comprends pas, mon cher enfant. Le déguisement ne fait pas tout. Même si tu corriges ton attitude pour ressembler à quelqu'un d'autre tu vas inconsciemment te caler sur la personnalité de Ryomen, parce que lui ne jouera pas le jeu d'être entièrement quelqu'un d'autre, expliqua-t-il en regardant Yuuji de la tête aux pieds. Hum...comme ce regard noir que tu me lances là, il faut l'enlever. Les Français sont quand même mieux élevés que votre bande de mafieux. »

L'exorciste fît mine de profondément réfléchir à un des problèmes les plus sérieux avant de taper dans ses mains pour signifier qu'il avait enfin trouvé.

« Je sais ! Suis-moi ! »

Pas vraiment sûr de ce qu'il fallait faire ou non et n'ayant pas réellement le choix, Yuji se retrouva à l'étage de la demeure avec deux jeunes femmes qui avaient l'air d'être là depuis le début. Gojo avait comme à son habitude tout manigancé et Yuji pesta de s'être laissé avoir aussi facilement.

« Je te présente mes costumières personnelles qui s'occupent de ma garde-robe depuis des années, présenta Satoru. Elles vont bien s'occuper de toi. »

« Je t'ai dit que je n'avais pas besoin d'aide... »

« Pour enfiler une robe et des talons, si ! »

Et c'est ainsi que Yuji se retrouva malgré lui métamorphosé entièrement en une jeune Parisienne de la haute société.

Pendant qu'une des femmes s'occupait d'arranger quelques mèches du carré plongeant de sa perruque, il regarda la taille fine qu'il possédait grâce à son corset qui lui donnait des hanches marquées et élégantes.

Il portait un haut de tailleur noir à stries blanches, cintrée et un col roulé blanc. Son pantalon assorti moulé le haut de ses cuisses et finissait en étant plus lâche. Il portait des cuissardes sous celui-ci lui permettant d'être sur des plateformes en cuir. Sa tenue était complété par une ceinture qui rajouta une touche de raffinement à sa tenue.

Yuji se regardait, surpris de ne pas se reconnaître lui-même – oubliant totalement qu'il venait de se faire avoir par ce stupide puriste – et une des costumières lui donna une pochette en cuir, assorti à son ensemble.

Le jeune homme ressemblait réellement à une jeune femme chic et élégante, et il plissa des yeux en regardant son reflet essayant de se reconnaître. De plus entre temps, une autre maquilleuse était intervenue, avait affiné ses traits et l'avait maquillé de manière féminine.

« Vous êtes vraiment splendide ! » s'exclama une des costumières venant de se poster à ses côtés

Le jeune homme mordit ses lèvres maquillés et baissa les yeux. Cela lui faisait drôle qu'on le complimente et jusqu'à aujourd'hui, il ne s'était jamais rendu compte à quel point être un modèle lui avait manqué.

« Merci... »

Satoru choisit de rentrer au même moment et il allait lançait une remarque comme à son habitude, mais resta deux bonnes minutes à fixer Yuji sans rien dire.

« Bah quoi tu m'as jamais vu ? »

« Ta voix m'a ramené à la réalité ! s'exclama l'homme à la chevelure blanche. Il ne faudra surtout pas que tu parles ce soir, tu briserais le mythe de la femme parfaite que tu es. »

« Et t'apprends jamais à la fermer en fait ? »

« Vraiment, ne parle pas ce soir, c'est mieux. »

C'est sur cette note qu'ils descendirent et partirent rejoindre Sukuna qui devait lui aussi être prêt.

Quand Yuji franchit la porte, il eût une certaine appréhension ...et si Sukuna se moquait de lui... ?

Quand leurs regards se croisèrent dans le reflet du miroir devant lequel le tatoué se regardait, l'appréhension du jeune homme disparu instantanément et l'air se chargea en électricité. Sukuna se retourna avec une certaine lenteur, ne dit rien pendant plusieurs minutes dévorant de son regard carmin Yuji et eût un sourire carnassier.

« C'est censé être ma sœur, c'est ça ? Intéressant. » 

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Hey hey ! 

Vu que le chapitre est trèèèès court (ça m'arrive dès fois), je me vois dans l'obligation de vous publier également la suite ! Ne suis-je pas géniale ? 1 pour le prix de 2 ;)

Bon comme vous avez pu le remarquer, j'adore rendre tout le monde fem dans l'histoire (oui ça m'amuse beaucoup !) donc voici notre Yuyu fem ahah. 

Allez je vous publie dans la foulée le prochain chapitre et l'arrivée de plusieurs persos ;)

A tout !

Flawless fireOpowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz