🍋Chapitre 15 : Besoin de réconfort🍋

435 10 3
                                    

"Livaï : Comment t'es tu fait ça ?"

Il était là, dans la pénombre, affalé sur le mûr.

(T/P) : oh c'est vous caporal

Livaï : tu as l'air surprise de me voir ?

(T/P) : nous ne sommes pas particulièrement proches depuis... et même avant

Livaï : il est vrai que tu as raison... Sinon tu t'es fait ça comment

(T/P) : étonnant que vous ne soyez pas au courant de cette histoire à fait le tour du réfectoire quand nous sommes revenus de la mission.

Livaï : je n'y étais pas

(T/P) : maintenant que vous me le dites, je ne vous y es pas vu

Livaï : parce que tu voulais m'y voir

(T/P) : ce n'est pas ce que j'ai dit

Je rêve ou le caporal chef est en train de me chercher. Vu le sourire que j'arrive à légèrement apercevoir grâce aux rayons de la lune qui illumine le couloir, je dirais qu'il a une idée derrière la tête.

Mais ce n'est pas possible, il m'a bien fait comprendre que ce qui s'était produit dans la tour appartient au passé.

Cet homme me perturbe, mais en même je ne vais pas nier que je meure d'envie de revivre cet événement. Il m'est arrivée de rêver à plusieurs reprises du caporal Livaï et de coucher ensemble.

Le caporal se dirigea vers moi et il s'arrêta à 50 cm de mon visage. Sa démarche n'est pas comme d'habitude, on aurait dit que le caporal s'était fait mal à la cheville.

Livaï : Mais tu aurais aimé m'y voir ?

(T/P) : vous boitez, vous vous êtes fait mal ?

Je pouvais sentir son souffle sur mon visage. Ses yeux d'acier étaient ancrés dans les miens. Aucun de nous deux ne voulait rompre ce contact.

Livaï : tu voudrais bien répondre à ma question

(T/P) : si vous répondez à la mienne

Le caporal me poussa contre le mur derrière moi et m'embrassa. J'avais mal à ma lèvre, mais rien ne pouvait gâcher ce moment. Le baiser de Livaï avait un arrière-goût de whisky, comme quoi le brun ne boit pas que du thé.

Le caporal se rapprocha encore plus de moi, je pouvais maintenir sentir sa troisième jambe.

S'embrasser au milieu d'un couloir du QG était très excitant. De plus notre baisser est très fougueux.

Nous nous embrassions maintenant depuis plusieurs minutes avec passion quand une porte de l'étage claqua, ce qui nous ramena sur terre.

C'est impossible, on ne pouvait pas s'arrêter là, il nous fallait plus. Je voulais le sentir une nouvelle fois en moi.

Nous en avons le souffle coupé

(T/P) : Ou se... trouve votre chambre ?

Livaï : à côté de mon bureau...

Le caporal me prit par la main et il me tira dans l'obscurité du couloir jusqu'à son bureau.

Avant d'ouvrir la porte, mon supérieur se tourna vers moi.

Livaï : Hangie m'a dit qu'elle t'avait...

(T/P) : oui je prends bien la pilule et je n'ai vu personne d'autre que vous depuis que vous m'avez retiré ma virginité.

Une fois dans la pièce et la porte fermée, Livaï me plaqua le long de celle-ci pour m'embrasser. Je lui laisse l'accès pour mélanger nos langues. Le baiser devenait de plus en plus profond. Livaï attrapa mes jambes pour les passer autour de lui en me portant vers son lit. Il m'allongea sur le lit, puis il me retira mes bottes en les jetant au sol. Il enleva sa veste et son haut sans me lâcher du regard. Pendant ce temps-là je me suis mise à débouter ma chemise.

Et si Livai Ackerman te faisait monter au 7e ciel [Terminée] Livai X readerМесто, где живут истории. Откройте их для себя