Et si Livai Ackerman te faisait monter au 7e ciel [Terminée] Livai X reader

Chapitre 16 : Une journée qui commençait bien

- Un mois après la Mission -

"Cette journée avait pourtant si bien commencé"

Comme à mon habitude je me réveille dans ma chambre avec les filles. Je me prépare ensuite pour aller manger un bout au réfectoire avec mes amis.

Comme à mon habitude je cherche le caporal dans la pièce. Pour ne rien changer à ses habitudes, le brun ne m'adresse la parole sauf pour me réprimander ou me faire faire des corvées... enfin devant les autres. Mais régulièrement, le soir après manger, je retrouve Livaï dans son bureau pour une partie de jambes en l'air. Nos rapports ne sont qu'un moyen de relâcher la pression.

A force de coucher avec cet homme, je commence à avoir un attachement envers lui. Ce sentiment est surtout dû au fait que je découvre un plus le caporal. Une fois notre action finie, on prend toujours le temps de parler sous la douche avant que je retourne discrètement dans ma chambre.

Et comparé à la première fois où l'ignorance du caporal chef m'avait apporté aucun sentiment, aujourd'hui je me sens blessé quand il me traite comme si de rien n'était.

Ymir : La terre appelle (T/P)...

(T/P) : oh pardon, je suis encore retourné dans mes pensées

Connie: on avait remarqué

Christa : ne t'excuse pas de penser (T/P), tu as le droit de vouloir partir loin de ce monde

Jean : je préfère qu'elle reste quand même dans le nôtre

Erean : ça c'est parce que tu aimes bien (T/P)

Jean : mais tu vas te taire le suicidaire

Eren : tu crois que tu me fais peur tête de cheval

Jean : répète un peu pour voir 

Mikasa : pas la peine de crier comme ça dès le matin

Connue : C'est malin tout le monde nous regarde maintenant

Sacha ; grunch grucnh moi ça ne me dérange pas

(T/P) : rien ne te dérange quand tu peux manger

Tout le monde éclata de rire. Sacha ne s'en rend pas compte mais elle calme souvent les esprits avec son côté désinvolte. Tout comme Christa avec sa douceur.

Ymir : on va s'entraîner ?

On range nos plateaux et nous partons en direction des terrains d'entraînement.

Sur le trajet, Ymir me rattrapa.

Ymir : Je peux te parler

(T/P) : si tu veux

On laisse passer les autres devants pour se mettre à la fin du groupe.

Jean : qu'est que vous faites ?

Ymir : rien ne t'inquiète pas je prends soin de notre chère petite (T/P). On vous rejoint.

Jean a rougis légèrement et il s'est exécuté.

Ymir : je crois que Jean t'aime bien

(T/P) : Tu penses, je le considère juste comme mon meilleur ami et je pense que c'est réciproque

Ymir : d'après les garçons, je ne suis pas sûr. Enfin bref permet moi d'être franche avec toi mais j'ai bien vu que tu n'allais pas bien en ce moment mais si tu caches bien ton jeu.

(T/P) : comment ça ?

Ymir : je pense que Jean est un garçon qui te comblera beaucoup plus que le caporal chef.